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mardi, 18 octobre 2016

ISLAM : ENCORE UNE COUCHE !

DERRIÈRE LES FRANÇAIS MUSULMANS 

Non, l’islam, de façon radicale, n’est pas une religion ni une croyance « comme les autres », dont il faudrait tolérer la pratique, à égalité avec toutes les autres, sur le territoire européen en général, et français en particulier. N’en déplaise à tous les tolérantistes enragés, toujours prêts à dégainer l’accusation d’islamophobie, la religion musulmane est inassimilable par l'estomac de la République.

Deux exemples entre bien d'autres : 1 – En Grande-Bretagne, pays où le communautarisme est la règle, les islamistes se sont infiltrés dans les rangs du parti travailliste (la tactique typiquement trotskiste de l’ « entrisme »), ce qui leur a permis de prendre progressivement le contrôle d’un certain nombre de municipalités. J’ai envie d’ajouter : pour commencer, et en attendant mieux.

2 – Une jeune française (Leïla ?) se réclamant du féminisme ose poster sur les réseaux sociaux une vidéo dans laquelle elle déclare qu’elle considère l’islam, la religion dans laquelle elle a été élevée, comme une duperie et un mensonge, et qu’elle le rejette désormais, au même titre que toutes les autres religions, au motif qu’elle refuse de vivre dans la perspective d’un futur et hypothétique paradis, et veut vivre pleinement sa vie terrestre.

Une belle audace ! Mais que n’a-t-elle mesuré le risque avant de se lancer ? Aussitôt, en effet, elle voit déferler dans sa direction un Niagara d’insultes et même de menaces de mort. Elle se voit dans l’obligation de poster une autre vidéo, dans laquelle elle présente ses excuses à tous ceux qu’elle pourrait avoir blessés (une bande-son, entendue le 17/10 aux matins de France Culture). En matière de tolérance, messieurs les musulmans, tirez les premiers ! Mais j'ai l'impression qu'en la matière, on peut attendre qu'il pousse des dents aux poules.

Le seul musulman autorisé à quitter l’islam est le honteux qui tient surtout à ce que nul n'en sache rien : non seulement il ne se vante pas de ne pas faire le ramadan, voire de manger du jambon ou de s'envoyer un whisky, mais il ne tient pas à ce que ça se sache. En revanche, gare aux malotrus qui ont le toupet de crier sur les toits qu'il se soucient comme d'une guigne d'Allah, de Mahomet et du paradis promis. Le grand pianiste turc Fazil Say en sait quelque chose, lui qui a subi un procès pour blasphème envers l'islam parce qu'il avait osé déclarer publiquement qu'ils faisait aussi grand cas de celui-ci que de sa première chemise. Tant que les nations musulmanes laisseront inscrits à leur Code pénal les crimes de blasphème et d'apostasie, on ne pourra rien en attendre de bon. Et je ne parle pas de la "charia".

Je conclus de cette intolérance ahurissante (et potentiellement violente) que l’islam, que les Français sont invités à admettre comme une réalité banale, est une belle saloperie. J’ajoute que je dis ça d’autant plus volontiers que j’ai lu le Coran, invraisemblable puzzle fait de pièces et de morceaux sans queue ni tête, de sentences péremptoires et de rengaines obsessionnelles, et dont le message peut se résumer à cette commination : « Prosternez-vous, ou il vous en cuira ! ».

Soit dit en passant, je voudrais savoir à quoi ressemble le cerveau de tous ces enfants des écoles coraniques sommés d’apprendre par cœur un texte à ce point haché menu, et en combien de morceaux est fragmenté le dit cerveau. A ce sujet, il faudrait remettre en circulation la belle pensée de Thomas d’Aquin : « Timeo hominem unius libri » ("je crains l’homme d’un seul livre", a fortiori d’un seul Livre). Je crois fortement que les prêcheurs de tolérance sont avant tout des salopards, tout prêts à faire entrer la horde des loups dans la bergerie.

Non, trois fois non, la religion musulmane n’est pas comme les autres. Elle est organisée en réalité comme une mafia, qui punit sévèrement tous les membres qui montreraient des velléités de la quitter, comme si l’apostasie ressemblait en quoi que ce soit à la trahison d’une cause sacrée. Chez les catholiques au moins, ça fait belle lurette que l'excommunication ne défrise plus grand monde dans la population, et que l'autorité papale n'ose plus brandir cette arme devenue loufoque.

Cela dit, admettons par hypothèse désintéressée que les Français musulmans qui s’affichent comme tels sont sincères et seulement animés de bonnes intentions. Admettons. Cela ne doit pas nous amener à oublier à quoi tient l’expansion de l’islam depuis l’accession de Khomeiny au trône spirituel et temporel de l’Iran en 1979, et la transformation de la religion en instrument de conquête politique.

Cela ne doit pas nous faire oublier que, derrière tous ces bons musulmans sincères qui se disent français, s’agitent un certain nombre de forces, qui ne sont pas forcément animées des meilleures intentions du monde. Derrière les Français musulmans, on voit en effet à l’œuvre des réseaux d’influence qui ne veulent pas que du bien à l’Europe et à la France.

Ce n’est un mystère pour personne que beaucoup de mosquées construites chez nous depuis vingt ans et plus ont été financées par l’Arabie saoudite, le Qatar, le Maroc, que sais-je ; que les imams qui mènent le prêche, d’une part, le font souvent en arabe, et d’autre part, sont d’obédience wahabite ou salafiste, quand ils n’appartiennent pas à la secte des « frères musulmans ».

C’est cet islam-là, le plus rigoriste, le plus rétrograde, qui, sous couvert de piété et de stricte observance des préceptes de la foi, creuse peu à peu le fossé qui éloigne les Français musulmans des Français « de souche ». C’est cet islam-là qui, en provoquant l’adhésion des femmes, les amène à porter le voile soi-disant islamique, et à se faire ainsi, qu’elles le veuillent consciemment ou non, de simples propagandistes, de vulgaires "femmes-sandwichs" bénévoles, des militantes enthousiastes qui se chargent de faire la publicité gratuitement.

Le voile qui se répand dans nos villes n’est que le signe le plus visible de l’efficacité de la propagande conçue à l’extérieur de nos frontières, par des gens de pouvoir, calculateurs, qui se moquent bien des principes républicains en général, et de la laïcité française en particulier.

Des gens qui doivent se dire qu'il n'est jamais trop tard pour se venger de Poitiers, de 732, de Charles Martel et de toutes les « humiliations » subies au cours de l'histoire. La différence est que l'argent qui leur vient du pétrole qu'ils vendent leur donnent barre sur leurs clients, forcés d'être gentils avec eux (voir Hollande, voir Sarkozy), et leur permet, très pacifiquement cette fois, de poser une botte sur les démocraties. Quelle lâcheté, quel aveuglement, voire quelles compromissions guident ceux qui nient cette réalité qui fait pourtant tache d'huile ? 

Autant les croyances des individus sont respectables (quoique ça puisse se discuter), autant les calculs de ceux qui font de l’islam un instrument de conquête politique sont à combattre sans faiblesse, et surtout sans lâcheté. Les Français qui prêchent la tolérance à tout prix à l’égard des musulmans, qui brandissent le délit d’islamophobie à la moindre occasion, qui récitent les prières du bréviaire des bons sentiments, font semblant de ne pas voir, derrière la foi pourquoi pas sincère des individus, les manœuvres de ceux qui instrumentalisent la religion à des fins politiques.

Ils sont juste coupables de félonie envers la France.

Voilà ce que je dis, moi.

lundi, 23 novembre 2015

UN MAUDIT VENDREDI 13 ...

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Devant "Le Carillon".

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... POUR DIRE LA PLACE DE LA FRANCE DANS LE MONDE

 AU SÉNÉGAL

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EN ALLEMAGNE

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EN ALLEMAGNE

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MÊME EN ARABIE SAOUDITE !

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EN CHINE

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AU ROYAUME-UNI

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AUX PHILIPPINES

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AU LIBAN

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A HONG KONG

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EN BELGIQUE

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EN COLOMBIE

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AU JAPON

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AUX ETATS-UNIS

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AU CANADA

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EN ITALIE

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EN ALGERIE

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AUX ETATS-UNIS

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EN ESPAGNE

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Moralité : en janvier, quand Cabu, Wolinski, Bernard Maris et les autres de Charlie Hebdo, ont été assassinés, j'avais été estomaqué d'apprendre que des gens, sur la place principale d'Oulan Bator, capitale de la Mongolie, eussent disposé des bougies pour crier "Je suis Charlie" !

Aujourd'hui, je (re)découvre que le monde aime la France. Aujourd'hui, les Anglais chantent la Marseillaise, et les Corses, pour une fois, ne la sifflent pas.

Aujourd'hui, je découvre que des citoyens d'origine arabe et/ou musulmane (on peut cliquer) se déclarent fiers d'être français, ou poussent un coup de gueule (idem 2'55") pour appeler les musulmans à faire le ménage, pour que des salopards cessent de salir leur "belle religion".

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Antoine Leiris, journaliste au Monde qui a perdu sa femme au Bataclan, écrit une lettre bouleversante : "Vous n'aurez pas ma haine".

“Vous n’aurez pas ma haine”

Vendredi soir vous avez volé la vie d’un être d’exception, l’amour de ma vie, la mère de mon fils mais vous n’aurez pas ma haine. Je ne sais pas qui vous êtes et je ne veux pas le savoir, vous êtes des âmes mortes. Si ce Dieu pour lequel vous tuez aveuglément nous a fait à son image, chaque balle dans le corps de ma femme aura été une blessure dans son coeur.

Alors non je ne vous ferai pas ce cadeau de vous haïr. Vous l’avez bien cherché pourtant mais répondre à la haine par la colère ce serait céder à la même ignorance qui a fait de vous ce que vous êtes. Vous voulez que j’ai peur, que je regarde mes concitoyens avec un œil méfiant, que je sacrifie ma liberté pour la sécurité. Perdu. Même joueur joue encore.

Je l’ai vue ce matin. Enfin, après des nuits et des jours d’attente. Elle était aussi belle que lorsqu’elle est partie ce vendredi soir, aussi belle que lorsque j’en suis tombé éperdument amoureux il y a plus de 12 ans. Bien sûr je suis dévasté par le chagrin, je vous concède cette petite victoire, mais elle sera de courte durée. Je sais qu’elle nous accompagnera chaque jour et que nous nous retrouverons dans ce paradis des âmes libres auquel vous n’aurez jamais accès.

Nous sommes deux, mon fils et moi, mais nous sommes plus fort que toutes les armées du monde. Je n’ai d’ailleurs pas plus de temps à vous consacrer, je dois rejoindre Melvil qui se réveille de sa sieste. Il a 17 mois à peine, il va manger son goûter comme tous les jours, puis nous allons jouer comme tous les jours et toute sa vie ce petit garçon vous fera l’affront d’être heureux et libre. Car non, vous n’aurez pas sa haine non plus.

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Gratitude au monde : nous, citoyens français, soyons à la hauteur de cet amour. Cet amour nous oblige. Des salauds nous offrent une occasion de nous ressaisir : saisissons-la.

L'espoir renaît : allons, tout n'est peut-être pas perdu ! 

 

jeudi, 11 octobre 2012

VOUS AVEZ DIT "ISLAMISATION" ?

Pensée du jour : « Publicité : j'étais chauve, et je le suis resté, grâce aux pastilles de menthe ».

ANDRÉ ISAAC, dit PIERRE DAC

 

Permettez-moi, surtout si vous avez des objections, de mettre un mot sur cette réalité qui vient : entreprise d'islamisation. Regardez la folie qui s'empare de certains au seul ouï-dire d'une saloperie de petit minable film anti-musulman (qui l'a vu ?). Regardez la fatwa renouvelée contre SALMAN RUSHDIE. Regardez l'effet boeuf produit par les caricatures de Mahomet. Regardez l'effet du sort indigne des Palestiniens sur les voisins d'Israël (je ne parle même pas des ennemis). Regardez ce qui se passe au Mali.

 

 

Comparez maintenant la longueur des robes des femmes en Egypte ou en Tunisie en 1960, avec ce qu'elles sont devenues en 2012 (on pourrait aussi parler de la France, et de l' « idée » que plus grand monde ne s'en fait, coucou DE GAULLE). Regardez la douceur extrême du salafiste tunisien moyen, qui ne se met qu'à quinze pour passer à tabac un touriste qui n'entre pas dans les cadres ou pour saccager un cinéma projetant des films "blasphématoires".

 

 

Je ne connais pas monsieur Ramadan, mais regardez le sort indigne qu'il fait au pain au chocolat. J'arrête ici une litanie de faits cohérents et convergents qui pourrait continuer. Est-ce paranoïaque, de mettre tous ces faits bout à bout ? Suis-je « islamophobe » ? Je récuse par avance, totalement, cette allégation.

 

 

Je me dis qu'il y a quelque part des rats vigilants qui grignotent méticuleusement toutes les miettes que des pays occidentaux exténués, ayant perdu l'appétit, n'ont même plus l'envie de ne pas laisser tomber de leur table. Des rats qui cherchent à intimider jusqu'à la peur les populations des pays démocratiques (relisons Chlorophylle contre les rats noirs, la belle BD de MACHEROT) ? Un jour, les rats n'hésiteront pas à monter se servir directement dans les assiettes.

 

 

Tout ça en prenant appui sur l'interdiction que les démocrates s'imposent à eux-mêmes de ne pas nommer crûment, nûment, sèchement, directement les choses, sous le prétexte de ne pas « stigmatiser toute une part de la population, cliver la république une et indivisible, discriminer sur une base religieuse » ?

 

 

Moi je dis que l'euphémisme est capable de tuer. C'est l'arme du masochiste, vous savez, le pistolet qui troue l'oeil de celui qui vise. Et son cerveau, pour faire bonne mesure. Ce manège donne tous les péteurs de trouille politique, en France, qui, sous prétexte de ne pas donner des armes aux islamistes radicaux, livrent sans combattre, et depuis les années 1980, les banlieues aux « associations musulmanes » et l'enseignement de l'arabe aux « associations musulmanes » (presque plus de profs d'arabe dans l'enseignement public).

 

 

La France a choisi de se coucher (devant le Qatar, qui achète les morceaux de banlieues défavorisées que lui abandonne le gouvernement, mais aussi devant tous les responsables des « associations musulmanes » qui lui susurrent à l'oreille ce mensonge qu'ils sont à même de bien "encadrer leurs ouailles", à condition, bien entendu, qu'on les laisse faire et qu'on leur alloue quelque subvention). Les autres ne vont pas se priver de lui marcher dessus. Ils seraient bien bêtes de ne pas en profiter.

 

 

L'Islam actuel est le début d'un problème. Le 11 septembre 2001 a inauguré une ère de conflit. Et c'est très curieux : moi qui ne suis pas chrétien (bien que de culture catholique, mais je n'ai pas jeté le bébé avec l'eau du bain, il aurait fallu me décerveler, et je chante même parfois : « Chez nous soyez reine, nous sommes à vous, Régnez en souveraine, Chez nous, chez nous. Soyez la Madone, qu'on prie à genoux, qui sourit et pardonne, chez nous, chez nous », juste parce que ...), je suis blessé par la haine islamiste.

 

 

L'Islam ne dispose pas d'un Pape : il n'y a pas d'excommunication chez les musulmans. L'Oumma, c'est la communauté de TOUS les musulmans. Moi, qui suis si primaire, j'en conclus, sans doute très bêtement, que, dans ces conditions, dénoncer une "tendance" (radicale, intégriste, wahabite, salafiste ...) de l'Islam, c'est dénoncer TOUT l'Islam.

 

 

Certes, ce sont des musulmans qui vous disent que le terrorisme, le djihad, la destruction des tombes des saints soufis, ce n'est pas l'Islam. Mais qu'est-ce que j'en peux croire ? Mystère. Comment faire le départ entre le croyant pieux et pacifique et l'illuminé prêt à se ceinturer d'explosifs ? Et boule de gomme. L'Oumma règne au-dessus de tout. La communauté de tous les musulmans. J'ai de plus en plus tendance à penser que l'Islam est un bloc. Ou plutôt, peut-être, disons qu'il y a, vivace dans tout l'Islam, le sentiment de constituer un bloc (soudé par les cinq piliers : chahada, hadj, zakat, çalat, jeûne du mois de ramadan). L'Oumma, quoi.

 

 

Sans vouloir me donner trop d'importance, pour que j'aie ce sentiment, il doit bien y avoir une histoire de civilisation, ma parole. L'euphémisme est la naïveté du bien-pensant qui se donne une généreuse bonne conscience face à l'intolérance (prenez et mangez, la formule est sans droits d'auteur). Mais c'est le même bien-pensant qui croyait aux emprunts russes avant 1917.

 

 

La langue de bois ("les Françaises et les Français") et l'euphémisme ("non-voyant" pour "aveugle", "personnes" pour "Arabes") sont les brèches dans lesquelles s'engouffre la brutalité prochaine du monde réel. L'intégration des "minorités" dans la communauté nationale ne saurait en aucun cas passer par l'occultation dans le langage de leurs infirmités ou de leurs tares. Franchement, elle n'est pas bien tapée, cette phrase ?

 

 

« Si les signes vous fâchent, ô combien vous fâcheront les choses signifiées ». Ce n'est pas moi qui le dis, c'est RABELAIS (Tiers Livre, 20). La lâcheté de l'euphémisme, avoir peur de dire les choses telles qu'elles sont, c'est commencer à mentir et à se coucher. C'est déjà avoir la trouille. Et c'est lancer un boomerang : les "choses signifiées", c'est le monde réel. Or le réel, il vous reviendra forcément dans la figure.

 

 

Réfléchissez à ce qui s'est passé tout récemment. L'Islam vient de réussir le tour de force d'occuper tous nos médias pendant une bonne quinzaine de jours. Une façon comme une autre de déclencher une opération d'occupation des esprits, ne pensez-vous pas ? Toujours la même logique publicitaire (« Parlez de moi », car je dois rester impérativement « au centre du débat »).

 

 

Mais ce n'est plus ici un petit SARKOZY qui se met au centre, ce n'est plus les « jouets par milliers» du Père Noël, c'est du SARKOZY djihadiste, un Père Noël de communication de masse, avec sa hotte coranique tirée par ses rennes salafistes. Demandez aux mains coupées du Mali ce qu'elles en pensent, des fascistes tarés qui font régner la terreur. Ne doutons pas que, pour certains, c'est avant tout un produit d'exportation.

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LIBERATION DU 8 OCTOBRE 2012 

 

Alors que faire, docteur ? Le seul truc qui reste, c'est, pour les gens qui causent dans le poste, de faire croire au bon peuple, le "vulgum pecus", qu'ils sont en mesure de lutter (pour la défense des « valeurs », soyons-en sûrs) contre la montée de la méfiance, de l’intolérance, du racisme et de la haine, en assurant la communauté juive, par exemple, qu'il est hors de question de ne pas la défendre contre toute agression (suivez mon regard, n'est-ce pas, HOLLANDE ?). A moins qu'on n'ait un intérêt tactique, au contraire, à attiser le feu.

 

 

Vous avez compris pourquoi, aux yeux de tant de gens de la gôche généreuse, JEAN-FRANÇOIS COPÉ est l’homme à abattre ? Et vous avez compris pourquoi la « doctrine politique » de JEAN-FRANÇOIS COPÉ comprend le pain au chocolat pendant le ramadan ? Je ne veux pas plus de HOLLANDE que de COPÉ.

 

 

COPÉ, je n'aime pas le monsieur, c'est certain, mais je n'aime pas davantage les âmes vertueuses dont le poil se hérisse quand on touche aux « droits de l’homme », à condition que cet homme soit « de couleur » (puisque le blanc est ce pelé, ce galeux, d'où nous vient tout le mal), comme des rats prêts à la moindre occasion à bondir du fond de leur fromage, pour hurler des comptes qu’ils n’auront jamais fini de régler. Les âmes vertueuses (qui n'ont de vertueux que le discours doucereux et émasculé) n'ont pas fini de mentir et d'aboyer. Pauvres de nous.

 

 

Voilà ce que je dis, moi.

 

 

FIN (jusqu'à la prochaine occasion)

 

samedi, 12 mai 2012

LA TURQUIE N'EST PAS EN EUROPE

La Turquie fait-elle partie de l’Europe ? Regardez juste la carte : l’ongle du petit orteil qu’elle a sur la rive européenne du Bosphore correspond exactement à 3 % de sa surface totale. La réponse à la question ne vous paraît-elle pas évidente ? C’est NON.

 

 

La Turquie n’est pas en Europe, mais en Asie. Même si c’est l’Asie Mineure. Certes, les Turcs ont longuement empoisonné l’histoire de l’Europe, ne serait-ce qu’en occupant longuement des portions importantes de son territoire (Bulgarie, Grèce, Albanie …), et jusqu’à assiéger Vienne à deux reprises (1529 et 1683), à l’époque où on l’appelait l’empire ottoman.

 

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GILLES VEINSTEIN, professeur au Collège de France, raconte par le menu que le souverain de La Porte (parfois qualifiée de « sublime »), lançait avec gourmandise ses soldats dans des raids sur les terres chrétiennes, avec mission de ramener dans leurs filets le plus possible de très jeunes mâles, adolescents chrétiens (grecs, bulgares, serbes, russes) dont les plus costauds et les plus capables étaient destinés à être intégrés dans le prestigieux corps d’élite des « Janissaires », et dont certains pouvaient finir leur carrière à des postes éminents et enviables.

 

 

 

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Précisons que le sort de ces garçons était, tout simplement, l’esclavage, assorti d’une conversion immédiate à l’islam. Il semblerait que la « charia » (le Coran comme source unique du droit) spécifie bien qu’un musulman n’a pas le droit de traiter en esclave un autre musulman. Rien de plus « normal », donc, que le Sultan soit allé se servir chez les chrétiens.

 

 

Mais je pose la question : pourquoi, alors, les convertir à l’islam ? Il y a là une curieuse subtilité de raisonnement qui m’échappe. Mais réfléchissons. « Vous imaginez qu'on puisse dire que moi, le Grand Turc, je suis défendu par une armée composée de chrétiens ? Ça la foutrait mal. » 

 

 

Très rares furent ceux qui désertèrent pour revenir en Europe. GILLES VEINSTEIN résume quelque part l’aventure de l’un d’eux, CONSTANTIN MIHAILOVIC, qui gardera pudiquement le silence, dans ses Mémoires d’un janissaire, sur son islamisation forcée. Il y a aussi l’histoire d’un chevalier allemand, dont je n’ai pas réussi à retrouver le nom.

 

 

Le corps d’élite des janissaires, formé en 1329, connaîtra une fin piteuse en 1826, sous le sultan MAHMOUD II, qui les fit massacrer parce que devenus trop encombrants. Dans l’histoire, les Turcs n’ont donc pas fait de bien à l’Europe, c’est le moins qu’on puisse dire. On peut même dire qu’ils lui ont fait beaucoup de mal. Ils l’ont considérée comme une terre de conquête.

 

 

Sur cette volonté de conquête de l’Europe par l’empire ottoman, on peut lire un petit livre écrit par ISMAÏL KADARÉ, Les Tambours de la pluie, où l’on voit le très puissant Turc se heurter contre le mur d’une citadelle albanaise, où l’on voit exploser l’énorme canon fondu « in situ » pour la détruire, et où l’on voit l’armée turque se faire littéralement « avaler » par la ville et disparaître.

 

 

Certes, les temps ont changé, l’empire ottoman a été englouti, les Arméniens ont été massacrés et MUSTAPHA KEMAL ATATÜRK a occidentalisé l’écriture de la langue et jeté les bases de l’Etat turc moderne. Oui, c’est vrai. Et alors ? Est-ce que ça change quoi que ce soit à la carte géographique ?

 

 

Et puis, est-ce que les temps ont autant changé qu’on le croit ? Tenez : connaissez-vous une délicieuse coutume de ce délicieux pays qu’est la Turquie ? Cela s’appelle le « crime d’honneur ». Cela veut dire qu’un crime est commis pour laver l’honneur bafoué de la famille.

 

 

La plupart du temps, c’est évidemment une femme ou une fille qui l’a bafoué, l’honneur de la famille, soit l’épouse adultère, soit la fille fréquentant un garçon interdit (= un chrétien). Il est arrivé qu’une fille de 14 ans, enlevée et violée pendant quatre jours par un garçon de 20 ans, soit étranglée par son père et son frère. Cela s’est passé en 2009.

 

 

En 2010, une fille de 16 ans a été déterrée, retrouvée, en position assise, au fond d’une fosse creusée dans le jardin familial. Elle avait de la terre dans les poumons. Ses proches l’avaient enterrée vivante. Cela se passe même en pays étranger. Tiens, en Allemagne, où vivent des millions de Turcs, une quarantaine de femmes turques auraient (je mets le conditionnel) été victimes de crimes d’honneur. Cela vous donne-t-il envie de laisser entrer la Turquie dans l'Union Européenne ?

 

 

En remontant dans le temps, on trouve dans Les Mémoires d’Outre-Tombe, de CHATEAUBRIAND, quelques passages édifiants sur la Turquie. Aujourd’hui, de tels passages seraient brutalement censurés et/ou traînés en justice pour « incitation à la haine raciale » et « xénophobie », pour le moins.  

 

 

 

La preuve ? C'est ce qui est arrivé récemment à mon ami R. Il avait eu la mauvaise idée, dans un article destiné à un vague follicule qu'il est inutile de citer, de rendre compte du livre Un Ange noir, de FRANÇOIS BEAUNE, et de citer un passage peu aimable pour les Turcs. Les staliniens de l’équipe ont été unanimes : « A la trappe ! ». Bon, ce n’est certes qu’un obscur comité de salut public militant pour le politiquement correct, mais c’est assez parlant.

 

 

CHATEAUBRIAND, quant à lui, n’y va pas de main morte. Après avoir souhaité que le tsar, qui venait de prendre la ville de Varna aux Turcs, ait assez d’énergie pour basculer ceux-ci dans les eaux du Bosphore et restituer ce bout de territoire à l’Europe chrétienne, voici ce qu’il déclare (Mémoires d’Outre-Tombe, XXX, 12) :

 

 

« Prétendre civiliser la Turquie en lui donnant des bateaux à vapeur et des chemins de fer, en disciplinant ses armées, en lui apprenant à manœuvrer ses flottes, ce n’est pas étendre la civilisation en Orient, c’est introduire la barbarie en Occident [c'est moi qui souligne] : des Ibrahim futurs pourront amener l’avenir au temps de Charles Martel, ou au temps du siège de Vienne, quand l’Europe fut sauvée par cette héroïque Pologne sur laquelle pèse l’ingratitude des rois.

         Je dois remarquer que j’ai été seul, avec Benjamin Constant, à signaler l’imprévoyance des gouvernements chrétiens : un peuple dont l’ordre social est fondé sur l’esclavage et la polygamie est un peuple qu’il faut renvoyer aux steppes des Mongols ».  Il écrit ça autour de 1839, pour relater des faits datant à peu près de 1828. Il est loin, le temps où FRANÇOIS 1er trouvait du bénéfice à faire alliance avec la Sublime Porte.

 

 

Encore une petite remarque, à propos de la Turquie, et de cet ongle du petit orteil qu’elle a réussi à maintenir sur le continent européen. Je ne parle pas des innombrables îles, juste de cette partie continentale qui représente 3 % du territoire turc. Regardez, sur une carte, les frontières orientales de la Grèce et le la Bulgarie : 200 + 200 kilomètres de frontières avec la Turquie.

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C'EST BISMARCK QUI DISAIT QUE

LA SEULE CONSTANTE DE L'HISTOIRE,

C'EST LA GEOGRAPHIE 

 

Et pendant que tous les jolis cœurs de l’humanitaire européen, battant de générosité, dénoncent, non sans raison ce qui se passe sur l’île italienne de Lampedusa (tiens, au fait, qu'est-ce que ça devient ?), qui est-ce qui fait attention à la grande passoire d’immigration illégale, sur fond de filières mafieuses, située au point de contact entre le continent européen et le continent asiatique ? Est-ce en construisant un mur que les Grecs l'empêcheront de rester une passoire ? Et comment cela se passe-t-il à la frontière bulgare ?

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ALORS, QU'EN PENSEZ-VOUS ?

ÇA CREVE LES YEUX, QUE LA TURQUIE EST EN ASIE.

 

Dans son Eloge des frontières, REGIS DEBRAY compare une frontière à la peau qui nous enveloppe, définissant un dedans et un dehors, mais qui passe son temps à respirer au moyen des pores, à faire en quelque sorte communiquer le dedans et le dehors. A cet égard, l’Europe ressemble au Saint Barthélémy du mur du fond de la Chapelle Sixtine, qui tient sa peau à la main, parce qu’il a été condamné à être écorché vif (en laissant la peau en un seul morceau, s'il vous plaît).

 

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IL EN A RECUPERE UNE, MAIS C'EST PARCE QU'IL EST RESSUSCITE 

 

Mais que proposent les supporters de l’ « Espace Schengen » ? Une véritable pompe aspirante pour immigration illégale. Je sens qu’on va me traiter de facho, alors que je me borne à constater un fait : la frontière entre l’Europe (Grèce et Bulgarie) et le morceau européen de la Turquie est juste une porte largement ouverte.

 

 

Et l’on essaiera de me convaincre que l’Europe n’est pas cette espèce d’énorme machin flasque comme un plat de pâtes trop cuites, à l'encéphale spongiforme et bovin, gélatineux au milieu et mou sur les bords. Comment ne pas être écœuré ?

 

 

Voilà ce que je dis, moi.

 

 

 

mardi, 08 novembre 2011

L'OBSCURANTISME EST REVENU

MERDE A TOUTES LES « CAUSES »

 

Cela fait fort longtemps que j’ai cessé d’acheter Charlie Hebdo. Philippe Val dirigeait alors l’hebdomadaire, et dans son éditorial, il abreuvait le lecteur de considérations prêchi-prêcha vaseuses et oiseuses. Cette maladie s’aggravait avec le temps. Mais il lui fallait remplir ses deux colonnes de la page 3. Qu’est-ce qu’il a pu tirer à la ligne ! Il a bien fait d’aller écraser les arpions de la rédaction de France Inter. Ça n’a pas sauvé moralement le piteux Charlie Hebdo. Et je n’écoute jamais France Inter, que pour « Le Jeu des mille euros ». 

 

Et ce monsieur « de gauche » (il devait être directeur) se faisait, en tant que principal actionnaire du journal avec trois autres (est-ce que c’est Bernard Maris, Cabu, Cavanna ?), ses 300.000 euros de revenus dans l’année. Sans compter son salaire de responsable.

 

Quant aux dessinateurs, Luz, Riss, Jul, Charb et d’autres, moi je veux bien, mais d’une part, ils n’arrivent pas à la cheville des Gébé, Wolinski, Reiser, et d’autre part, ce n’est pas en agrandissant démesurément les dessins pour remplir les pages que le journal acquiert plus de force. CABU est resté, et il est resté le même. J’aime toujours bien ce qu’il fait. Il est quand même actionnaire, il me semble.

 

J’ai gardé ma collection du premier Charlie Hebdo (1970-1981), celui qui a succédé à Hara Kiri Hebdo, zigouillé en novembre 1970. Il faut savoir que Charles De Gaulle est mort à peu près en même temps que se produisait la catastrophe du « cinq-sept », une boîte de Saint-Laurent-du-Pont qui a brûlé avec 147 jeunes. Ils avaient fait leur « une » comme suit : « Bal tragique à Colombey : un mort». Le gars qui a trouvé ça, il doit encore en rigoler comme un bossu. 

 

Franchement, vous voulez que je vous dise ? Ce Charlie Hebdo, qui a aussitôt emboîté le pas à Hara Kiri Hebdo, en fut l’incomparable héritier et successeur ! Laquelle des « unes » de l’époque, publiée aujourd’hui, ne serait pas un cocktail Molotov, ou ne finirait pas en prison ? Si vous insistez beaucoup, je les descends de leur perchoir. En comparaison, celles d’aujourd’hui ont l’air d’avoir été castrées. 

 

Tiens, voilà que ça me donne envie. En voilà quelques-unes, descendues pour vous. Le 14 août 1975 ? Un curé portugais en soutane et petit chapeau (l’uniforme, quoi !) montre les dents en tendant le bras bien droit vers le haut en criant : « Heil Dieu ! ». En plein scandale Roméo Castellucci à Paris, ça relativise les gamineries imbéciles  des intégristes du « Renouveau Français ». 

 

Le 18 décembre 1975 ? Pas de dessin, mais : « Joyeux Noël ! Chiez dans les crèches ! Achevez les handicapés ! Fusillez les militaires ! Etranglez les curés ! Ecrabouillez les flics ! Incendiez les banques ! ». Ça sentait bien fort son Hara Kiri, à l’époque. Et la liberté d’expression. Combien de procès, aujourd’hui ? 

 

Ça a une autre gueule que le pauvre Indignez-vous !  de l’humaniste cacochyme, quoique valétudinaire Stéphane Hessel, quand même, avouez ! Allez, une dernière pour la route. Le 3 juin 1976, sous le titre : « Marchais flatte les chrétiens », une caricature du même, due à Gébé, qui lui fait dire, d’un air gourmand et réjoui : « J’ai enculé le pape ! ». 

 

Maintenant, pour être juste, il faut dire que les sensibilités n’étaient pas  aussi hystériques, et que les tribunaux n’étaient pas harcelés au plus léger froissement d’amour-propre des politicards de mes douilles, à la plus légère entorse au « droit à l’image » des vedettes, et à la moindre susceptibilité de ces hommes tellement pieux qu’ils se disent de religion juste au moment de mettre le feu. 

 

Et pour une fois que Charlie Hebdo sort de sa réserve timide et habituelle, patatras ! Voilà que le ciel (!) en personne lui tombe sur la tête. Enfin, pas « en personne » : le bras armé. Ne cherchez pas, messieurs les flics, Allah a envoyé un ange lancer le cocktail Molotov. Il est reparti au ciel. Quelle idée aussi d’habiter au rez de chaussée ! C’est tenter le diable ! 

 

Je n’ai évidemment pas trouvé le numéro en kiosque : kidnappé par les collectionneurs ! C’était bien, cette trouvaille : « Charia Hebdo » en surtitre. Un Mahomet dessiné par Luz, qui dit : « 100 coups de fouet si vous n’êtes pas morts de rire ». Mais bon, ça fait trop longtemps que j’ai divorcé de Charlie Hebdo. Unilatéralement. 

 

Reste que, aujourd’hui, et d’une, Dieu ou le Diable, tu sais plus bien. Et de deux, tu sais plus bien à quel étage ils crèchent. Voire à quelle adresse. Même que le facteur s’emmêle les pinceaux, que des lettres à Dieu se retrouvent en enfer et inversement. C’est le sac de nœuds. 

 

Même l’humoriste patenté de la « une » du Monde, qui se fait appeler PLANTU, de son vrai nom Jean Plantureux, a accepté de rentrer les épaules et de courber la tête. Là, ce ne sont pas des islamistes qui l’embêtent, c’est la direction même du journal, secondée de son cabinet d’avocats qui veillent au grain (et qui doivent coûter cher), on ne sait jamais. 

 

Le problème de Plantu, c'est qu'il remplit une fonction très claire, au Monde. Il sert de caution, d'alibi. Il n'est pas là pour exister vraiment. Il est le clin d'oeil de la grosse bête qui se sert de lui, la part d'humour de l'homme grave qui regarde ses propositions des dessins du jour, écarte ceux-ci, jette son dévolu sur celui-là. 

 

L'homme Plantu s'écrase. Son dessin aussi. C'est un homme qui, dans l'affaire, perd quelques attributs. C'est pour ça que ses dessins ne disent jamais grand-chose. Ce sont des dessins qui pourraient tenir compagnie aux femmes du harem sans danger pour le front du sultan. 

 

Résultat, si « eunuque » était un dessin satirique, il serait en « une » du Monde. Epoque misérable ! 

 

Epoque misérable, où l’on assiste à des offensives de plusieurs sortes contre la liberté d’expression. J’ai évoqué ici l’arrogance du « combat » féministe contre le sexisme (il faudra un jour prochain que je commente ce mot incroyable). J’ai défendu ici même, début août, le droit intégral des fascistes, des racistes et des antisémites d’exprimer publiquement leurs opinions extrêmes. 

 

Il n'y a pas de raison valable pour laisser les limaces idéologiques ramper leur voix visqueuse dans les caniveaux de la démocratie, et se perdre dans les broussailles négligées que les gardiens des temples de la liberté ont laissé pousser dans leurs abords immédiats. Les dits gardiens n'avaient qu'à tenir la pauvre promesse de simple justice qu'ils avaient eu l'imprudence de faire juste avant d'être admis à s'asseoir à la table du pouvoir.  

 

A suivre, demain sans faute.