mercredi, 12 juin 2024
FRANÇOISE HARDY...
... PRÉSENTÉE PAR L'INOUBLIABLE MIREILLE
(sous le crayon moqueur de Marcel Gotlib, dans La Rubrique-à-brac).
Je suis assez d'accord avec Gotlib et avec la grimace qu'il prête à la créatrice de l'émission "Le Petit Conservatoire de la Chanson", après la prestation de la chanteuse à la voix languissante, plaintive et tristounette sur son plateau.
lundi, 20 mai 2024
DES VIOLEURS COMME S'IL EN PLEUVAIT
MÊME GASTON LAGAFFE !!!
Pauvre M'oiselle Jeanne ! Que fait la police ? Que fait la justice ?
Dessin trouvé dans un numéro de 1977 de la revue Circus.
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dimanche, 12 mai 2024
UNE DYNASTIE PREDESTINEE ?
Titre à peine "arrangé" d'un article paru dans le journal Le Progrès du samedi 11 mai 2024.
09:00 Publié dans DANS LES JOURNAUX, HUMOUR | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : journal le progrès, élection tchad, idriss déby
mardi, 07 mai 2024
MACRON DANS LE DICTIONNAIRE
Je me suis contenté de modifier la disposition du texte (Le petit Robert des noms propres, 1994) pour le faire entrer dans le cadre de façon confortable.
Tibère est l'empereur romain au service duquel le dit Macron s'était mis. Bon, c'est vrai que, quand on relit les Vies des douze César de Suétone, on ne compte plus les trahisons, les assassinats et autres joyeusetés – familiales ou non. Caligula ("petite godasse") en particulier, se fit remarquer par diverses fantaisies, lubies ou extravagances. En comparaison, Maurice Druon, avec ses Rois maudits, apparaît comme un petit fabricant de petite bière.
Peut-être notre président, par la seule force de son caractère et de sa volonté, échappe-t-il à la superstition et au poids de destin funeste que fait peser un Nom sur le malheureux qui le porte.
Ci-dessous le présumé buste en bronze de Naevius Sertorius Macro, remonté dans ses filets par un pêcheur de la baie de Naples le 21 décembre 1977.
samedi, 04 mai 2024
DU VIN OU DE L'EAU ? ...
... IL FAUDRAIT CHOISIR !!!
Ci-dessous les titres de deux articles parus dans le même numéro du journal Le Monde, le 27 avril 2024. Deux informations également déplorables. Simple coïncidence, n'est-ce pas.
***
A l'époque où une célèbre multinationale ("nestlé" signifie "petit nid", comme l'indique le logo ci-contre )
assaisonne au caca une marque d'eau minérale pétillante ("Perrier c'est fou"), on attend le retour d'un nommé Jésus pour qu'il nous refasse le "coup des Noces de Cana" (avec modération, bien sûr), puisque le capitaine Haddock échoue dans sa tentative de miracle.
Allons, reprenons en chœur : « J'ai le hoquet, Dieu me l'a fait, Vive Jésus, Je ne l'ai plus ».
***
A moins que ...
A moins que, à l'instar d'Aldebert de Beaufort, on demande à Sara, la vieille sorcière, de faire en sorte que les fontaines donnent non plus de l'eau, mais du vin. En usant simplement de "quelques formules cabalistiques".
Hélas, c'était longtemps avant les verdicts sans appel du lobby des hygiénistes fanatiques, vous savez, ces pisse-froid, prétendus scientifiques, qui se sont regroupés sous l'étendard de la "santé publique", et qui ne rêvent que d'une société rationnellement gouvernée par les statistiques, les comptables et les gens "raisonnables".
PROSIT !
09:00 Publié dans BANDE DESSINEE, HUMOUR | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : journal le monde, france vin, consommation de vin, inondations, dubaï, climat, réchauffement, dérèglement climatique, bande dessinée, les aventures de tintin, les sept boules de cristal, capitaine haddock, hergé, georges rémi, peyo, johan et pirlouit, la guerre des sept fontaines, jésus
lundi, 22 avril 2024
VIVEMENT LA PRESIDENTIELLE !!!
Vous serez d'accord : lire un tel titre dans le journal Le Progrès ne saurait laisser indifférent. La candidature de l'individu a-t-elle été examinée par le ConsCons (Conseil Constitutionnel) ? Le mystère plane au-dessus des eaux primordiales dans l'attente d'une hypothétique Révélation en forme de coup de théâtre.
Allez, je serai bon prince : je révèle l'identité de l'inconnu, sachant que je n'ai rigoureusement rien changé à la formulation trouvée dans les pages équines du journal — je veux parler de la rubrique guettée semaine après semaine par les turfistes, je veux dire par les gens qui, à force de savants calculs et d'espoirs déraisonnables, se verraient bien en train de siroter des boissons de luxe au bord d'une piscine du même acabit, devant le rutilant manoir normand dont ils se seront rendus acquéreurs grâce à la justesse de leur pronostic.
Maintenant, une question se pose : le grand poète Apollinaire se sentirait-il honoré de voir le titre génial (à deux détails orthographiques près) d'un de ses immortels chefs d'œuvre servir de nom de baptême à un cheval de course ? J'en doute un peu quand je relis, dans les dernières pages de La Défaite de la pensée d'Alain Finkielkraut (Gallimard 1987), cet ouvrage si clairvoyant et, d'une certaine manière, prémonitoire : « C'est quand il entendit parler pour la première fois d'un cheval de course génial qu'Ulrich, l'homme sans qualités de Musil, renonça définitivement à ses ambitions » (p.143).
Certains rétorqueront que l'excellent compositeur Ferruccio Busoni avait appelé son chien "Giotto" (que le maître prononçait "Tchoddo", si l'on en croit les souvenirs d'Elias Canetti). Alors, évidemment, dans ce cas, ... passons. Ce qui reste tout à fait certain, c'est que Calligramme (le cheval), s'il était élu, exercerait son mandat aussi honnêtement (y a pas de raison) que le cheval de l'empereur Caligula lorsque ce dernier eut la formidable idée de le nommer consul.
P.S. : j'ignore si Calligramme a finalement gagné la course dans laquelle il était jugé "présidentiable".
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samedi, 20 avril 2024
DES HOMMES ET DES FEMMES
Cette image empreinte de délicatesse et de courtoisie montre que même les hommes les plus suspects de masculinisme patriarcal, de virilisme exacerbé ou de goujaterie rébarbative sont capables de se conduire, quand ils sont mis en présence d'une dame, avec le plus pur esprit chevaleresque, digne des temps anciens.
On trouve ce dessin à la page 5 de Objectif Cormoran, épisode des aventures de "Bernard Prince", héros inventé par l'immense Hermann.
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jeudi, 11 avril 2024
DRÔLES DE MORTS SUR ...
... CE MONUMENT.
Version corrigée (12 avril) après vérification des sources.
La scène se passe dans une petite ville rurale du centre de la France. Nous sommes le 11 novembre : rassemblement imposant autour du monument aux morts de la Grande Guerre. On chante la Marseillaise avec entrain et conviction. Et puis Madame le Maire, après lecture d'une brève adresse à la population invitée à se souvenir, entreprend de lire chacun des noms gravés des paysans envoyés au casse-pipe il y a un siècle et qui n'en sont pas revenus debout. La petite fille (quatre ans) qui est à côté de moi me glisse dans l'oreille : « C'est tous les rois de France qui sont morts à la bataille d'Alésia ! » Je n'ai pas le cœur de la détromper.
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dimanche, 07 avril 2024
DES SPÉCIALISTES COMME ...
... S'IL EN PLEUVAIT !!!
Aujourd'hui, nous plaignons le praticien d'un métier trop souvent vilipendé : le journaliste. Car à l'instant où il naît professionnellement à son métier, je veux dire : le jour de la remise solennelle de son diplôme en véritable parchemin d'âne (ben si : on dit précisément "peau d'âne"), le journaliste reste un être profondément, essentiellement, définitivement et cosmologiquement embryonnaire, imparfait, incomplet. Bref, le journaliste fait partie de ces groupes humains que l'on désigne en novlangue, avec un zeste de distance mêlée de commisération, « en situation de handicap ».
C'est humain : quelle que soit la spécialité à laquelle il se destine, il ne peut pas tout savoir. Mieux : il n'a pas le droit de sortir de lui-même l'intégralité des informations qu'il est chargé de délivrer.
C'est la raison pour laquelle les organisateurs de la profession recommandent au futur journaliste de cultiver l'art de s'entourer, je veux dire de donner de la légitimité au thème et aux contenus qu'il développe en ne s'exprimant pas en personne, mais par le truchement d'un professionnel qualifié dans le domaine du savoir dont il traite.
Celui-là, appelons-le, si vous le voulez bien, le SPÉCIALISTE. J'ignore si le journaliste dispose d'un budget qui lui permette de rémunérer l'intervention du spécialiste. Ce qui m'intéresse ici, c'est l'infinie biodiversité qui règne dans les rangs de cette famille animale, de l'espèce la plus banale et la plus générale (mettons "historien", ou à la rigueur "sociologue") à la plus surprenante, en passant par toute une guirlande bigarrée de branches improbables.
Ci-dessous, quelques exemples picorés au hasard de mes écoutes radiophoniques (je fournis toutes les références pour permettre aux curieux de vérifier que je n'invente rien).
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Spécialiste de la gouvernance des migrations (France Culture, 11 novembre 2022 à 12h30).
Spécialiste des îles Andaman (France Inter, 11 novembre 2022, vers 13h24).
Spécialiste des relations armées / société (France Inter, 11 novembre 2022, vers 18h39).
Spécialiste de la morphogénèse (France Inter, 13 novembre 2022, vers 19h46).
Spécialiste des Jeux Olympiques (France Inter, 14 novembre 2022, vers 6h15)
Spécialiste de la Chine contemporaine (France Culture, 14 novembre 2022, vers 12h38).
Spécialiste des droits des médias (France Culture, 25 juillet 2023, vers 7h23).
Spécialiste des droits de l'enfant (France Culture, 25 juillet 2023, vers 7h34).
Spécialiste de la grande distribution (France Culture, 1 août 2023, vers 7h25).
Spécialiste des punaises au Muséum National d'Histoire Naturelle (France Culture, 5 octobre 2023, vers 7h05).
Spécialiste des actions anticorruption (France Culture, 28 décembre 2023, vers 7h07).
Spécialiste de la littérature russe (France Culture, 28 décembre 2023, vers 7h45).
Historien spécialiste de l'édition (France Culture, 29 décembre 2023, vers 8h14).
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Bon, j'arrête ici, avant l'indigestion. Il va de soi que ne figure dans cette liste qu'un minuscule échantillon de l'impressionnante panoplie offerte à l'auditeur par les ondes radios du service public. Il va de soi que j'éprouve un peu de pitié pour les gens qui font profession de journalisme : vous vous rendez compte ? Obligés d'effacer leur présence derrière les savoirs dûment estampillés de gens qui ont fait leur pré carré d'un petit champ du savoir, précisément délimité et cloisonné ? C'est la dure loi du métier de journaliste : s'absenter de lui-même, ne pas exister par lui-même, disparaître.
Que la profession journalistique dans sa globalité et sa diversité veuille bien trouver ici l'expression de ma plus profonde compassion.
09:00 Publié dans HUMOUR | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : journalistes, spécialistes, profession journaliste, école de journalisme, france culture, france inter
vendredi, 05 avril 2024
QUE DES BONNES NOUVELLES !!!
Le Molnupyravir bloque la polymérase virale.
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La villa de Silvio Berlusconi en Sardaigne compte 126 pièces.
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L'artiste Joanna Vasconcelos a renoncé à présenter à Versailles son grand lustre en Tampax : ç'aurait été une provocation inutile.
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La Comédie Française compte 3.000 pièces à son répertoire.
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Les "Variations Goldberg" de Jean-Sébatien Bach ont été enregistrées dans 600 versions différentes.
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La dernière mouture du D.S.M. (Disease Statistical Manual) publié par l'A.P.A. (American Psychiatric Association) — D.S.M. 5 — inventorie 450 troubles mentaux. Le D.S.M. 1 (la première version) en comptait 60.
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Les spécialistes des sciences humaines, toutes disciplines confondues, appliquent avec rigueur les méthodes de la zoologie à l'espèce humaine (individus, groupes, ethnies, sociétés, etc.). « On n'arrête pas le progrès : il s'arrête tout seul » (Alexandre Vialatte). Répétez après moi : « Les Sciences Hume-Haine ».
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Le pape François a envoyé à l'occasion de Pâques sa bénédiction turbide et morbide.
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En langage journalistique, un pseudonyme s'appelle un "perruquier".
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La série télévisée "Tchernobyl" a fait exploser le "tourisme de catastrophe". (France Culture, 13 juin 2019, autour de 8h50, Mathilde Serrell).
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Ils sont environ 200 : ce sont les grands journalistes, responsables de presse, éditorialistes, chefs de service, etc. Ils font la loi, la pluie, le beau temps et le reste à la tête des médias français.
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Les Peuls sont présents dans 22 pays en Afrique.
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Recensement en Chine : 7.000.000 d'agents recenseurs.
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« L'humanitaire, c'est le Service-Après-Vente des marchands d'armes » (une belle et horrible vérité entendue sur France Culture le 2 juillet 2020 vers 18h58, dans la bouche de madame Monique Chemillier-Gendreau).
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Il a grandi, le bébé tout nu nageant devant un gros billet vert qui figure sur la pochette du disque "Nevermind" du groupe Nirvana (Curt Cobain). Aujourd'hui adulte, il a porté plainte contre le groupe. Selon les sources, pour cause de "détresse émotionnelle" ou pour "pédopornographie".
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Un quart de la production française de livres va directement au pilon.
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Graffiti dans un urinoir où il est demandé de ne jeter aucun papier : « DAKO MESSI OVOA ».
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La B.D. se porte très bien en France : en 2020, les éditeurs ont produit 16 albums par jour = 5.840 B.D. dans l'année. Cela dit, je doute que tous les auteurs mangent à leur faim grâce à leur seul travail de bédéastes.
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Entendu sur l'antenne de France Culture le 18 septembre 2018 :
« Des Parisiens viennent de s'installer dans un village du Var. Au bout de quelque temps, ils demandent au maire de faire cesser le chant des cigales. Refus du maire. »
« Des Parisiens s'installent dans un village du Cantal, près d'une installation bovine. Ils intentent un procès à l'éleveur pour "nuisances olfactives". Le tribunal, puis la Cour d'Appel leur donne raison ».
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Donald Trump réagit aux méga-feux qui ravagent la Californie : « S'il y avait moins d'arbres, il y aurait moins d'incendies ».
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Entendu sur l'antenne de France Culture (11 janvier 2021 vers 12h30) : « Les violences conjugales pendant le confinement ont connu une véritable explosion par rapport à la normale ».
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Les héritiers et ayants droit d'Antoine de Saint-Exupéry peuvent être contents : 350 marques se disputent le marché des produits dérivés estampillés "PETIT PRINCE".
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L'expression « Nacht und Nebel » (Nuit et Brouillard), utilisée par les nazis pour désigner le projet d'extermination des juifs, tsiganes, etc., figure dans le texte de L'Or du Rhin, opéra-prologue de la Tétralogie de Richard Wagner. C'est Alberich, roi des Nibelungen, qui, coiffé du casque magique ("Tarnhelm"), disparaît à la vue en chantant : « Nuit et brouillard, plus personne ».
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dimanche, 31 mars 2024
CHOSES VUES (ET ENTENDUES)
Plateau Croix-Rousse. Dialogue à la caisse du Mini Market. C'est un couple, lui, un gros massif, elle, une petite boulotte qui porte un mini-chien sur un bras: « Non, ne donne pas de sucre au chien, il va devenir aveugle. – Mais je lui donne pas de sucre. ». Puis le gars, s'adressant directement à l'animal : « Hein que je te donne pas de sucre. Dis la vérité. »
Plateau Croix-Rousse. La rue est déserte. Une jeune femme promène un petit chien au bout d'une laisse. Le chien éternue. La dame : « A tes souhaits, Roméo ! ».
Plateau Croix-Rousse, dans notre bar habituel. Deux asiatiques sont assis à une table voisine. Un type sort des toilettes, les aperçoit, se tourne vers eux les mains jointes et s'incline en disant quelque chose comme : « Mi Han ». Les deux asiatiques se récrient dans un français irréprochable : « Nous sommes Coréens ! » Le gars s'en va la queue entre les jambes.
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mercredi, 06 mars 2024
CHOSE VUE
Plateau de la Croix-Rousse, une petite rue sombre. Je marche derrière une dame qui promène son chien. Elle a les cheveux très roux. Le chien est petit, a de longs poils et un museau fin. Tout d'un coup, il lève la patte, se soulage contre le mur mais, au moment de reposer la patte pour repartir, voilà qu'il se dresse sur les pattes de devant le cul en l'air, fait plusieurs pas dans cette posture, puis repose le tout et suit sa maîtresse. Amusé et curieux, je m'approche de celle-ci et l'interroge : « Je vous assure, monsieur, répond-elle, que personne ne lui a appris à faire ça. »
09:00 Publié dans HUMOUR | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : lyon, croix-rousse, humour
mardi, 05 mars 2024
CHOSE VUE
Plateau de la Croix-Rousse. Je marche dans la rue. Soudain, j'entends de grands cris venant d'une rue perpendiculaire, comme une engueulade carabinée. Une voiture arrêtée, puis un piéton, qui s'engage précipitamment dans une autre rue. J'arrive là, entre la librairie et la boulangerie. Longue file d'attente devant cette dernière. Le piéton marche vite. La voiture s'engage, stoppe, et le chauffeur en jaillit et hurle : « Ho ! Viens là si t'es un homme ! T'as même pas de couilles ! Moi j'en ai, des couilles, et des grosses ! » Puis, regardant la file d'attente devant la boulangerie : « Oui, madame, j'ai des grosses couilles ! »
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dimanche, 03 mars 2024
UNE SALLE D'ATTENTE ...
... TRÈS HOSPITALIÈRE.
Arrive une femme en compagnie de son fils. Ils viennent d'une campagne profonde, comme le montre la suite. Il marche en tongs, pantalon large élimé par le bas. Il désigne un siège libre à sa mère. Elle a tout de la "gueule cassée" façon guerre de 14-18 : le visage complètement de travers, les mâchoires pas dans l'axe, bouche tordue. Cela ne l'empêche nullement de s'exprimer. Ce sont des onomatopées, voyelles et consonnes informes et totalement incompréhensibles, des "hon-hon" expulsés à coups de souffle. Le fils, lui, comprend tout ce que veut dire sa mère et lui répond de façon parfaitement intelligible. Elle n'arrête pas de parler. Quand elle s'arrête, c'est à son fils de se lancer dans un monologue. J'ai noté quelques-unes de ses expressions : « Les gens de la ville sont tous malades. Les gens de la ville, ils savent pas vivre. C'est tous des abrutis. »
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jeudi, 29 février 2024
UN JOYEUX ANNIVERSAIRE ...
... FRANÇOIS-BAPTISTE-EPHRAÏM !!!
Joyeuse cent-quatre-vingtième année, cher sapeur !
Ben oui, ça fait cent-quatre-vingts ans jour pour jour (le 29 février 1844, je vous laisse calculer ce que ça fait en nombre d'années bissextiles — autour de 45 à vue de nez, non ?) que la naissance de François-Baptiste-Ephraïm Camember a été déclarée en la mairie de Gleux-lès-Lure (Saône-Supérieure) par son père Anatole, époux de Polymnie Cancoyotte.
J'ignore cependant si le pantalon rouge du sapeur comporte un "trou de Lamoricière". Mais il est vrai qu'Alexandre Vialatte n'évoque cette particularité qu'à propos de la culotte des zouaves. Le trou de L. permettait d'après lui à la culotte de se vider après la traversée d'un oued. Camember, lui, n'est qu'un humble, quoique fier, sapeur.
Et ci-dessous, en prime, ce que n'a pas vu Anatole Camember sous le bureau du secrétaire de mairie de Gleux-lès-Lure. Georges Colomb, alias Christophe, professeur de sciences naturelles de son état, n'est pas très gentil avec ce fonctionnaire, sûrement consciencieux.
mercredi, 28 février 2024
LA FLEUR AU FUSIL ...
... D'EMMANUEL MACRON.
Un seul mot : il est indécrottable ! Au point d'en devenir inquiétant. Notre président ne peut s'empêcher de parler, ça on le savait déjà. Une devise lui colle même à la peau : « Tu causes, tu causes, c'est tout ce que tu sais faire ! » (Raymond Queneau). Il lui arrive, quand il se sent en forme, je veux dire quand son imaginaire s'échauffe et s'enflamme sous l'effet de circonstances parfois obscures, de partir dans des rêveries qu'il ne tarde pas à prendre pour la réalité.
Pas besoin de l'avis de ses conseillers ! Pas besoin de se concerter avec les partenaires européens ! Pas besoin de prévenir les Alliés de l'OTAN ! Flamberge au vent ! Bille en tête ! J'y vais et qui m'aime me suive ! Résultat ? Macron prend toutes sortes de projectiles venus de son propre camp, sur un thème unique : « Faites-le taire, quelqu'un ! »
Car cet homme, qui est aussi un président, un mari, un enfant gâté et diverses autres spécificités, est un malade. Je l'ai diagnostiqué de façon sûre, sur la base des sept années qu'il vient de passer à la tête de l'Etat : Macron est malade de lui-même. On se souvient de son Conseil National de la Refondation. On n'a pas oublié son Grand Débat National. On garde en mémoire toutes les occasions qu'il s'est données de briller par sa maîtrise (indéniable) de la parole.
Le seul petit problème, quand on fait le bilan de toutes ces admirables performances, c'est quand on fait passer ces kilomètres de discours à la pesée : rien, il ne reste rien du verbe présidentiel, qu'il s'agisse de l'immortel "plan massif d'investissement pour l'hôpital public" ou autres initiatives lancées au gré des agitations et des interventions. S'il y avait un championnat du monde de "paroles verbales" (formule géniale proposée autrefois par Le Canard enchaîné), Emmanuel Macron serait déclaré médaille d'or haut la main. Quand il tient le Verbe, il a l'impression de tenir le monde. C'est dire la confusion qui règne dans son esprit.
Aujourd'hui, en déclarant qu'en Ukraine, face à la Russie, « aucune hypothèse n'est exclue, en particulier des troupes au sol », il parvient à mettre en danger la sécurité de la France. Et non seulement la France, mais encore l'Europe, sans oublier les alliés du Traité de l'Atlantique Nord.
Je rappellerai simplement à notre va-t-en-guerre présidentiel et national les quelques mots que le général Pierre de Villiers a prononcés suite à sa mise à la retraite d'office par Macron quand il a osé émettre un avis personnel sur la façon dont le président considérait les forces armées françaises.
« Qu'est-ce que c'est, un chef ? C'est quelqu'un qui commande et donne les ordres, c'est entendu. Mais une fois qu'on a dit ça, on n'a rien dit. Car le chef doit ensuite s'assurer qu'il n'est pas tout seul à sortir de la tranchée, et que ses ordres sont suivis d'effet. Et si les ordres du chef restent lettre morte, c'est que celui-ci n'a pas veillé à suscité l'adhésion de ses subordonnés. L'adhésion ! Car seule l'adhésion de tous peut donner au chef la certitude qu'il emmène effectivement ses troupes en direction de l'objectif. » (En substance.)
Malade de lui-même, Emmanuel Macron, ai-je dit. Et cette maladie porte un nom : la solitude. Le premier de la classe qui s'affirmait, se voulait, se rêvait "jupitérien" au début de son sacre commence à entendre l'écho produit par ses gesticulations orales de par le vaste monde. Il apparaît à présent aux yeux de tous pour ce qu'il est en définitive : un bonhomme Playmobil (ci-dessous portrait en pied du président de la France).
09:00 Publié dans DANS LES JOURNAUX, HUMOUR | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : france, politique, société, président de la république, emmanuel macron, ukraine, russie, vladimir poutine, otan, nato, conseil national de la refondation, macron grand débat national, le canard enchaîné, paroles verbales, traité atlantique nord, général pierre de villiers
mardi, 20 février 2024
LES COULISSES DU CONSEIL CONS
CHEZ LES SAGES DE LA RUE DE MONTPENSIER.
Laurent Fabius est un homme courtois, civil, affable. La preuve ? Vous voulez découvrir dans quelles conditions sont élaborées les décisions du Conseil Constitutionnel (dont il est le président) ? Rien de plus facile : il vous invite à visiter le vaste atelier des machines où les lois relevant de sa compétence sont examinées.
Sur la photo ci-dessus, il présente les augustes membres du Conseil ainsi que les petites mains qui œuvrent dans l'ombre et s'affairent anonymement pour débroussailler le chemin et permettre aux titulaires de prendre leurs décisions en toute connaissance de cause. Il n'hésite d'ailleurs pas à "mettre-les-mains-dans-le-cambouis" lorsqu'il aperçoit la moindre anicroche.
Le visiteur peut constater par lui-même avec quel soin méticuleux les machines sont entretenues et avec quel souci de perfection les lieux sont maintenus dans un excellent état de propreté. Ainsi acquiert-il la certitude qu'aucune poussière, aucune impureté, aucun élément adventice ne viennent souiller la majesté de ses arrêts et jeter le plus petit doute sur leur légitimité. Le visiteur en ressort rassuré.
***
La société Daimler Truck a fourni la photo au journal Le Monde du 16 février, où je l'ai piquée . J'ai eu l'idée saugrenue de voir une certaine ressemblance (voir ci-dessous) entre le vieux politicard français et Michael Brecht, président du conseil des salariés de l'usine de Gaggenau (Bade-Wurtemberg). Je me suis dit qu'entre présidents de quelque chose, il y avait motif à permutation, y compris à ma façon rudimentaire.
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samedi, 17 février 2024
J.O. PARIS 2024 ...
... TOUT LE MONDE SUR LE PONT ! A VOS POSTES DE COMBAT !
On a beaucoup glosé, débattu et controversé au sujet des bouquinistes des quais de Seine qui, dans un premier temps, ont été virés d'un trait de plume autoritaire, avec leurs "boîtes" si typiques, au nom de la sécurité (enfin, c'est la raison qui était alléguée) et qui, dans un dernier temps, ont été graciés par sa Majesté Jupiter junior (Jupiter senior restant définitivement indétrônable). Maintenant, les pouvoirs publics ont-ils pensé à quelques autres menus problèmes qui pourraient se poser, touchant l'immobilier parisien ?
Voilà un presque-titre trouvé dans le journal Le Monde daté 16 février 2023, p.17. Avec mon esprit mal tourné, je me suis juste amusé à ajouter un petit mot au titre original et à changer deux lettres.
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mercredi, 14 février 2024
L'ENFER DE MATIGNON
Ce n'est pas moi qui ai inventé l'expression "L'Enfer de Matignon". Qui fut le premier ex-premier-ministre à le dire ? Peu importe. Seule compte la réalité.
Ce qui est sûr, c'est que les témoignages se sont accumulés au fil du temps : des nuits blanches, raccourcies ou interrompues en plein milieu du sommeil paradoxal (le meilleur, paraît-il) ; jamais un moment à soi ; et pour couronner le tout, une collection de subordonnés indisciplinés pour qui être nommé ministre ne signifie pas servir dans une équipe pour servir le pays, mais mettre les doigts dans une prise qui, si le rocher est bon et franc, permettra de grimper plus haut et, pourquoi pas, d'atteindre le sommet.
On l'a donc compris, pour briguer le poste de premier ministre, il faut appartenir à la catégorie des masochistes amateurs de l'extrême, ou à celles des naïfs intégraux, des utopistes incorrigibles, des exaltés sourds à tous les conseils avisés, des apprentis-dictateurs aveugles sur leurs propres capacités, des humoristes catastrophistes, etc.
Et cela explique que la longévité du "locataire" (ironie : un des très rares locataires en France à être richement rétribué pour occuper les lieux) de l'hôtel Matignon soit en général très très très mesurée. Toujours est-il que le poste de premier ministre use prématurément le titulaire.
Ce qui fait que l'actuel occupant de l'Elysée, M. Emmanuel Macron, est constamment à la recherche de l'homme au profil impeccable, c'est-à-dire assez fort pour tenir bon face au stress ou aux agressions pendant une durée pas trop ridicule (façon Edith Cresson, de célèbre mémoire) ; mais aussi pas assez fort pour que lui vienne l'idée saugrenue qu'il pourrait prendre la place du président.
La photo ci-dessous, prise en secret par Brigitte Macron, montre Emmanuel Macron dans un de ces moments où la presse n'est pas invitée, où les nerfs du président le trahissent un bref instant, et où il confie son désarroi de façon émouvante contre l'épaule de Jacques Attali, l'homme aux cent plumes qui sait tout, qui a tout compris mais qui, dans les circonstances les plus difficiles, sait trouver les mots qui essuient les larmes les plus grosses.
Hergé, "Les Aventures de Jo, Zette et Jocko", La Vallée des cobras, p.49 (texte à peine retouché).
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mercredi, 24 janvier 2024
AH ! LE BON ESPRIT DU FOOT !
Donc, l'équipe de Saint-Priest disputera les huitièmes de finales de la Coupe de France de football. La joie légitime de ces équipiers sympathiques n'a pas échappé au photographe du journal Le Progrès Stéphane Guiochon dans le numéro du 22 janvier 2023.
En regardant la photo d'un peu plus près, il arrive qu'on puisse distinguer certain détail (ici une main gauche gantée de noir) qui donne une idée de l'état d'esprit qui peut animer une équipe.
Allez, on va mettre ce détail sur le compte de l'enthousiasme. Que celui qui n'a jamais fait un doigt d'honneur lui jette le premier ballon (d'or massif) dans la gueule.
dimanche, 21 janvier 2024
« IN GRAS WE TRUST »
Voilà la fière devise de ceux qui aiment les bonnes choses !!!
Ceci est un morceau de veau, animal végétarien s'il en est. Et pour être précis, un morceau de bas de carré. Et accompagné d'un copeau de l'excellent gras qui nimbe le rognon de l'animal. Saler à plaisir (fleur de sel, S.V.P.). Couvrir. Cuire à feu très doux. Patienter. Une autre fois, je dirai ici comment je fabrique le jus. N'insistez pas.
Bon appétit à tous.
*****
Au moment de passer à table.
Un seul mot : délectable !
09:00 Publié dans ECOLOGIE, HUMOUR | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : cuisine, veau bas de carré, gastronomie
lundi, 01 janvier 2024
JOYEUSE ENTRÉE DANS 2024
Je me suis permis d'ajouter à l'explosible et terrible crèche vide que le dessinateur algérien Dilem a dédiée en "une" du Monde du 21 décembre à ce qui se passe en Israël-Palestine (je me mouille pas) un bœuf et un âne "à la lyonnaise", le seul authentique Guignol, en compagnie de son acolyte, l'unique Gnafron de noble lignée ("noble" signifiant qu'il n'y a que du vrai beaujolais qui circule dans ses veines).
09:00 Publié dans HUMOUR | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : journal le monde, gaston lagaffe, bande dessinée, franquin, lyon, guignol, gnafron, crèche de noël, petit jésus, le boeuf et l'âne, dilem dessinateur, théâtre de marionnettes, neichthauser, leurent mourguet
vendredi, 15 décembre 2023
iL GARDE LE MORAL !!!
... ET LE SENS DE L'HUMOUR !!!
Ce gars-là, il est atteint de la maladie de Charcot. Adepte des jeux de raquettes, il a constaté au fil du temps qu'il avait de plus en plus de mal à faire usage de ses bras. Et puis le verdict est tombé. D'abord les bras, et peu à peu le reste a suivi. Lucide, il envisage la fin, y compris celle qu'il aura décidée lui-même. C'est dire que. Et vous savez, le gus, ce qu'il sort au micro de France Culture, en ce vendredi 15 décembre 2023, entre 7 heures 25 et 7 heures 30 ? Un truc de grand humoriste, mais du genre féroce puisque c'est à ses propres dépens (la citation est textuelle).
« C'est pas parce que ma femme est végétarienne que je veux finir en mode légume ».
Alors là, dans un humour comme celui-là, j'entre chapeau bas. Desproges n'est pas loin. Merci Monsieur pour cette leçon de savoir-vivre et savoir-mourir.
09:00 Publié dans HUMOUR | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : humour, france culture, les matins de france culture, guillaume erner
jeudi, 14 décembre 2023
PETIT RECUEIL DE BÊTISES ...
... PARSEMÉ DE QUELQUES VÉRITÉS.
ou ... les plus courtes sont les meilleures (c'est du vrac).
Un critique américain, sur Amériques d'Edgar Varèse : « Symphonie pour voiture de pompiers et marteau-piqueur ».
Contrepèterie : Le Quai des brumes.
Entendu à la radio le 27 juin 2022 à 8 h. 38 : « Si vous avez été enceinte ou enceint ».
Mon petit, je vais te chanter une perceuse.
Alger vous faire voir.
Contrepèterie : Les ponts et les quais de Lyon.
Ne pas confondre la sauce islandaise et la saucisse landaise.
Dicton paysan : « C'est à la fin du marché qu'on compte les bouses ».
De Quentin Laffay, un samedi matin sur France Culture le 9 septembre 2023 : « Le Tombereau de Couperin de Ravel ».
Putsch au Gabon : Gabon Banania.
Le Molnupyravir bloque la polymérase virale.
Météo du 1 octobre 2023 : il fera 7 à Troyes.
27 octobre : on a vu des crocodiles nager dans les rues d'Acapulco frappé par l'ouragan Otis.
Maladie d'Alzheimer : le cerveau des Danaïdes.
24 octobre 2020 : Quartararo est champion du monde en moto GP. Le journaliste : « Historique, le mot n'est pas trop faible ! »
Ah, visiter Paris en bateau moche !
La paquebeau et le coquelaid (fable).
Contrepèterie (régulière dans le journal) : Ni fleurs ni plaques.
11 janvier 2021, France Culture, infos de 12h. 30 : « Les violences conjugales pendant le deuxième confinement ont connu une véritable explosion par rapport à la normale ».
« Tu sais même pas c'que ça veut dire, être amoureux. — Ben si ! Ça veut dire qu'on a un cœur ! » G. ♂ et N. ♀ (8 et 5 ans) en train de jouer.
Contrepèterie : L'huile ou la caisse.
Les faux steaks hachés : les faussetés cachées.
Plus de 20.000 meurtres chaque année aux Etats-Unis : le dérèglement crimatique.
09:00 Publié dans HUMOUR | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : humour, amériques d'edgar varèse, le quai des brumes, france culture, quentin laffay, gabon bananiamolnupyravir, polymérase virale, mexique, acapulco, ouragan otis, maladie d'alsheimer, tonneau des danaïdes, états-unis
mardi, 05 décembre 2023
THE BRAND-NEW GASTON ?
"Brand-new", ça veut dire "tout neuf". Ben il paraît qu'ils ont osé, les cloportes, donner une suite au Gaston de Franquin. Vous rendez compte ? Non, messieurs-dames, cela ne se fait pas !!! Pas touche à mon Gaston !!! L'humour, faut pas plaisanter avec ça !!!
Voici comment il convient de l'accueillir, le prétendu "nouveau Gaston" !!!
09:00 Publié dans BANDE DESSINEE, HUMOUR | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : bande dessinée, franquin, gaston lagaffe, delaf, des gaffes et des dégâts, gare aux gaffes d'un gars gonflé