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jeudi, 19 mars 2020

VOIR LA VIE EN GREEN

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Le même Streptocarpus, mais autrement.

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Et une de mes crêpes de midi.

mardi, 17 mars 2020

LE FLACON DE CRISTAL TAILLÉ

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lundi, 16 mars 2020

LE MANCHE DE PARAPLUIE DANS LA VITRINE

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dimanche, 15 mars 2020

UNE DRÔLE D'OMBRE

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Recette du sandwich : une couche de transparence entre une tranche de soleil et une tranche de blancheur.

samedi, 14 mars 2020

UNE LUMIÈRE ET DES OMBRES

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vendredi, 13 mars 2020

DES OMBRES ET DES LUMIÈRES

 

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jeudi, 12 mars 2020

DES OMBRES PORTÉES ...

... ET DES REFLETS MOUVANTS.

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mercredi, 11 mars 2020

DES ARÊTES ET DES FACETTES

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Et pour finir, son Excellence le Clinamen (nul ne saurait échapper au clinamen).

mardi, 10 mars 2020

UNE OMBRE ET DES REFLETS

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3 juillet 2014

dimanche, 08 mars 2020

UN ANCÊTRE ?

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samedi, 07 mars 2020

MON ART (presque) ABSTRAIT

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dimanche, 02 février 2020

FEUILLE TOUTE NUE

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Il paraît que celle-ci est tombée d'un tulipier alsacien (juste au-dessus de Wuenheim-Jungholtz, tout près de Thierenbach, de son église et de sa collection d'ex-votos anciens).

dimanche, 22 décembre 2019

HUILE DE LIN

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Ceci est une bouteille en plastique contenant vraiment de l'huile de lin. Elle a été achetée en septembre 1969, pour des raisons qu'il serait oiseux d'exposer ici.

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La même bouteille en plastique vue de dessus en décembre 2019.

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Le bouchon et le goulot de la même bouteille. 

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Le curieux anneau d'huile solidifiée qui garnissait le fond du bouchon au moment de l'ouverture de la bouteille cinquante ans après son achat.

samedi, 21 décembre 2019

RIEN N'A CHANGÉ

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Photo prise en 2013 à travers la grille de la route du haut.

jeudi, 14 novembre 2019

DEVANT / DERRIÈRE

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Arrêtés (sans doute sur l'ordre du mâle dominant).

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En marche. A 2 ou 3 km/h., c'est bientôt la République E.M.

mardi, 08 octobre 2019

FLEUR DE CRISTAL

 

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dimanche, 06 octobre 2019

PRÊT POUR LE RETOUR A LA BOUGIE

Du moins tant qu'il y aura du pétrole.

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De jour, elle est seulement en état de marche (pour la voir en marche, voir ci-dessous).

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De nuit, l'ambiance est plus chaleureuse. On lira plus à l'aise, non ?

photographie,lampe à pétrole

photographie,lampe à pétrole

Heuh ! Pas sûr, s'il n'y a pas un peu d'électricité dans les parages !

mardi, 01 octobre 2019

PHOTOS SATELLITE ...

... DE LA LAMPE A PÉTROLE.

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Focus sur le réservoir.

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Focus sur le brûleur (ça change tout, non ?).

lundi, 23 septembre 2019

EN UNIFORME DE CLIENT

Je fréquente fort peu les hypermarchés, mais enfin, il m'arrive, de très loin en très loin, d'en franchir l'entrée, ne serait-ce que pour en utiliser les toilettes, impeccablement tenues, en général. C'est ce qui m'est arrivé un de ces derniers jours. Et je ne l'ai pas regretté. Je peux même dire que la scène m'a bien diverti : sortant de sa voiture à peu près en même temps que moi de la mienne, le monsieur s'est dirigé vers le hangar aux caddies, et surprise : sa tenue était parfaitement coordonnée aux couleurs des chariots. Le bleu du polo et le rouge du pantalon chantaient à l'unisson du rouge et du bleu de l'engin Carrefour. Chez le caméléon, on appelle ça le mimétisme. Carrefour serait peut-être bien inspiré de généraliser cette initiative individuelle : vous imaginez le parking, le samedi matin, où l'on verrait manœuvrer (je veux dire "grouiller") une armée de clients en uniforme bleu et rouge ? Je vois déjà la photo que pourrait prendre le drone de service. Un peu de blanc dans tout ça, et il y a fort à parier que la fierté nationale en sortirait ragaillardie.

J'avais l'appareil photo dans le sac à dos. Ne voulant pas bousculer le légitime désir d'anonymat de la personne, je me suis débrouillé pour prendre le cliché ci-dessous au moment opportun. 

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samedi, 21 septembre 2019

TROIS VISAGES

Il n'y a pas que la photo, dans la vie.

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2003, café de la Cloche. Le serveur, en m'apportant ma bière, m'avait aimablement glissé à l'oreille, un peu salaud : « Attention, elle est pas toute seule ». Cela ne voulait pas dire que quelqu'un l'accompagnait.

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2003, place Bellecour.

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2003, place Antonin-Gourju.

lundi, 09 septembre 2019

PAS PHOTOGRAPHE, MAIS

Il n'y a pas que la lumière dans la vie : il y a aussi l'aspect des choses.

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J'ai pris la photo ci-dessus lors d'une visite de chantier naval, quelque part dans le centre de la France. On voit l'état d'une coque métallique de bateau qui aurait bien besoin d'un kärcher.

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Ce qui m'a plu ici, c'est l'aspect de lavis vaguement aquarellé de l'édifice, dans une famille de gris entre sépia et noir et blanc.

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Le verre à vin d'Alsace. Là, on comprend tout de suite : c'est le jeu des complémentaires.

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Là, c'est un très beau dessin au trait, que peuvent piétiner impunément tous les passants de l'avenue Adolphe Max.

dimanche, 08 septembre 2019

PAS PHOTOGRAPHE, MAIS

Quand la lumière traverse la matière (pas n'importe laquelle).

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Les drôles de vitres à l'ancienne (et le marronnier en fleurs).

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La drôle de carafe.

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Le drôle de cubisme.

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Le drôle d'effet de prisme.

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Les drôles de tranches.

samedi, 07 septembre 2019

COMMENT JE REGARDE MES PHOTOS

Je ne sais pas si j'ai raison et je ne suis pas sûr que ça vaille le coup. Je n'ai aucune théorie à défendre, mais si je voulais essayer d'expliquer comment je regarde mes photos (et la réalité à l'occasion), je prendrais aujourd'hui l'exemple d'un cliché pris entre 1988 et 1990, lors d'une réunion de famille à l'occasion de Noël. Cette photo montre deux personnes. Celle qui est à droite de la photo est dans une attitude banale et montre un visage, selon moi, plutôt neutre (le sourire un peu figé ?). Et je me rends compte que, si je lui prête davantage d'attention qu'à la personne qui se trouve à gauche, c'est uniquement à cause de la manche droite de son gilet, qui fait une curieuse cascade du fait de l'ombre étrange (je ne comprends toujours pas d'où elle vient) qui s'y projette. Et à force de focaliser mon attention sur ce détail, je finis par me convaincre qu'il est peut-être là, le centre de l'image, qu'un recadrage va mettre en évidence (après tout, si je me souviens bien,c'est ainsi que procède le photographe du film Blow up pour faire apparaître le pistolet). C'est peut-être idiot, ça n'a sans doute aucun intérêt. Après tout, c'est peut-être seulement l'étrangeté du détail qui aura attiré mon regard plus que de raison. Quoi qu'il en soit, il serait vain de tirer de tout ça un concept, une théorie, une doctrine quelconques.

Etape n°1.

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Etape n°2.

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Etape n°3.

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vendredi, 06 septembre 2019

PAS PHOTOGRAPHE, MAIS

Quand la lumière dessine la matière.

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Les tilleuls en hiver (clin d’œil à qui les a connus).

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La cuisine de la brasserie, sur le boulevard.

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La vie derrière la vitre.

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Après une bonne pluie d'été.

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Le chapeau de lampe.

mardi, 03 septembre 2019

PAS PHOTOGRAPHE, MAIS

Je ne suis pas photographe, je le sais, je l'ai dit à maintes reprises, je n'ai à cet égard ni prétention ni ambition. J'aime juste prendre des photos, comme tout le monde. Je pratique cette activité depuis mes douze ans (six décennies !), quand ma chère marraine (la délicieuse et tendre tante Madeleine D.) a eu l'étrange et magnifique idée de m'offrir un superbe appareil : un Ultra-Fex (pellicule 6 x 9 "petit trou", que je faisais développer chez Perrichon, rue Puits-Gaillot), une drôle de machine, extrêmement rudimentaire et à lentille "rustique", dont il fallait à la main tirer la partie "objectif" pour faire la partie "chambre".

En ai-je gâché, de la pellicule et de l'argent de poche ! J'ai quand même gardé quelques mauvaises images d'un voyage à Rome et à Naples, de quelques camps "scouts" et de quelques vacances à Tence, à Corbeyssieu ou ailleurs. Je ne suis pas devenu photographe pour autant : si je suis aujourd'hui content d'avoir fait quelques clichés pas inintéressants, c'est que j'ai beaucoup erré, beaucoup tâtonné, beaucoup raté, je veux dire beaucoup gaspillé.

Tout ce qui relève de la technique, du matériel ou du travail de laboratoire m'indiffère, m'agace ou me rase. Moi, ce que j'aime, c'est regarder. Une histoire de rapport au monde. Je demande à mon appareil photo de me restituer le plus fidèlement possible l'image que mon œil a aperçue – espoir le plus souvent déçu, faut-il préciser. Qu'est-ce qui attire mon œil ? Difficile de répondre de façon limitative. Je dirai que le point commun à beaucoup des images que j'ai produites a quelque chose à voir avec le passage de la lumière dans (ou sur) la matière. 

Tenez, il y a quelques jours, je passe comme tous les soirs dans le couloir où est punaisé au mur un plan mural plastifié de la ville de Lyon. Je remarque que la petite lampe allumée, de l'autre côté de la porte, s'y reflète de façon particulière et "intéressante", et voilà ce que ça donne : une espèce de grosse molaire fluorescente, une sorte de sculpture lumineuse à l'épiderme grumeleux qui ravit mon œil. C'est tout ce que je demande : que ça me plaise.

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Il m'arrive d'appeler le résultat de ce genre de moment "Mon Arcon" : le recadrage, en effet, fabrique parfois une image qui me fait dire que beaucoup d'artistes "contemporains" ne font après tout que s'inspirer d'un réalité qui apparaît à qui veut, pourvu qu'on la regarde d'assez près ou dans les détails.

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Comme ces "artistes", je me fiche de savoir ce que peut bien représenter l'objet visuel qui découle de la démarche. Je me dis que le détail, s'il est porté à l'échelle de la perception commune, a le droit de susciter mon intérêt. Et pourquoi pas, celui de quelques autres (on peut rêver).