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mercredi, 20 juin 2018

MOUCHE

J'aime bien les variations sur un thème.

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Une fin d'après-midi.

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lundi, 11 juin 2018

EAU MINERALE

MON ARCON

(temporain)

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Juste quelques variations sur le thème.

samedi, 09 juin 2018

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samedi, 02 juin 2018

ESENŢĂ DE ROM 1990

SOUVENIR DE ROUMANIE

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Acheté à Tulcea, dans le delta du Danube, en 1990.

Jamais utilisé dans les pâtisseries maison.

L'évaporation ? Evidemment, gros malin !

vendredi, 01 juin 2018

GOUTTES

MON ART ABSTRAIT

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samedi, 26 mai 2018

COMBIEN DE CERISES ?

Le temps du muguet, le temps d'apprendre à vivre, le temps des amours, il est toujours joli le temps passé une fois qu'ils ont cassé leur pipe. 

Je vous présente, en "écriture inclusive" s'il vous plaît (et un peu suggestive), "Le temps de la/des cerise/s". Comme dit Sempé : « Rien n'est simple, tout se complique ».

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Les premières cerises siamoises que je vois (il y avait bien deux noyaux). Pourtant, c'est acheté chez un producteur bio de Saint-Rambert-d'Albon.

De quoi rappeler les frères Tocci, de célèbre mémoire.

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samedi, 12 mai 2018

PHOTOGRAPHIE

Voilà, c'est fini, le coup d’œil dans le rétroviseur. C'est fini, le petit retour sur ma petite collection de petites considérations sur la façon dont le vaste monde marche aujourd'hui.

En fait, si j'ai remis en ligne des propos tenus ici depuis 2011, c'est que je viens de passer par des moments pas drôle [oups ! pardon : pas drôles]. Je n'en dirai évidemment rien ici, parce que ça ne regarde que moi et ceux qui savent. La vie reprend son cours, presque comme avant. Pour mon petit compte personnel, je trouve néanmoins intéressante la relecture, de façon compacte et en continu, de ces trente et un billets choisis parmi ceux que j'ai consacrés, en six ou sept ans, à l'observation de l'état du monde, dans ses diverses modalités : politique, économique, écologique, sociologique, philosophique, climatologique, etc. Et cela renforce une impression qui reste d'habitude fragmentaire et fugitive, parce que liée à une circonstance, à un moment ou à un contexte particuliers : s'il n'y a pas de "convergence des luttes", comme le scandent les incantations de quelques poignées de rêveurs endurcis, il y a indéniablement convergence des facteurs d'alarme. C'est pourquoi j'aimerais aujourd'hui faire entendre (visuellement) le tocsin. Ci-dessous un détail photo du tocsin (fabriqué en Chine).

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Contrairement à une première et fausse impression, cette photo est d'une netteté impeccable. Ce qui m'intéresse ici, c'est justement le contraste entre le caractère fuyant des ombres sombres, qui sautent aux yeux tout en semblant vouloir échapper au regard, et la géométrie parfaite des orbes dont on devine les cercles concentriques, autour d'un centre qui est là, mais restera le grand absent définitif.

Je ne me fais guère d'illusions, comme on peut s'en douter, sur le retentissement qu'un tel tocsin peut avoir sur la marche du monde. 

vendredi, 02 mars 2018

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jeudi, 01 mars 2018

PHOTOGRAPHIES

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Avec la lumière venue du monde extérieur.

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La même, avec la lumière intérieure.

lundi, 19 février 2018

PAS PHOTOGRAPHE, MAIS ...

Mon art abstrait.

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vendredi, 05 janvier 2018

JE L'AI RETROUVÉ ...

... L'ANCIEN KIOSQUE A FLEURS, PLACE BELLECOUR,

... avec ses marronniers superbes.

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Photo sur papier, prise il y a bien longtemps avec les moyens du bord, puis scannée de même. J'avais à l'époque un petit Voigtländer acheté 50 DM à Annweiler-am-Trifels (Rheinland-Pfalz), dont le format 18x24 permettait de faire 72 photos à peu près potables (optique fixe, assez rustique donc, mais Zeiss !) sur une pellicule de 36, et qui a fini son existence sur une maladresse impardonnable : il a peut-être mal supporté la température de l'eau du torrent franchi au cours de la belle traversée de Sixt à Chamonix. Peut-être l'eau tout court, après tout, allez savoir, avec les appareils photo ? Du matériel allemand, pourtant ! 

Comme l'accident s'est produit au moment de quitter le sentier du plan et des chalets de Sales pour bifurquer vers le col et les chalets d'Anterne (n'oublions pas le lac), c'est-à-dire à peu de choses près au début du parcours ou pas loin (j'avais fait le même, mais en sens inverse, quelques années auparavant), l'aventure s'est vue privée d'une immortalisation méritée, la pellicule mouillée ayant fait apparaître au développement (il ne faut jamais perdre espoir) d'intéressantes formes gaufrées, intéressantes pour qui apprécie ce qui ressemblerait aux nids d'abeilles, mais impropres à produire quelque image un peu déchiffrable, si l'on reste attaché à la représentation figurative.

Il n'y avait pas que des kiosques à fleurs, à Lyon. Il y avait aussi des « kiosques de musique » sur les places (Bellecour, Morand, devenue Liautey, Monplaisir rebaptisée Ambroise Courtois, ...). Quand j'étais gamin, on voyait encore ces kiosques, mais plus personne n'y jouait de musique, et sans doute depuis longtemps. La radio l'avait déjà apportée à la maison : on n'en avait plus besoin au-dehors. Manquent-ils ? Pas forcément, quand on voit, sur la carte postale ci-dessous, qui faisait la musique. Quel genre de musiciens se hasarderait aujourd'hui à jouer en képi (et en uniforme) ? La légende : "L'heure de la musique à Bellecour".

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mercredi, 03 janvier 2018

UN "M" QUE LE MONDE N'AURA PAS

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, le magazine du Monde, consent noblement à publier chaque semaine une photo prise quelque part dans le vaste monde par un de ses lecteurs. Une photo représentant obligatoirement, c'est la condition, un M, en même temps ou au choix, original et majestueux, allusif et spectaculaire, remarquable et modeste, douteux et péremptoire, drôle et surprenant, mais qui autocélèbre la revue, si possible de la façon la plus valorisante. Et ça marche ! Les lecteurs, magnanimes ou fiérots, consentent à abandonner entre les mains de M-le-magazine les œuvres que le hasard ou leur recherche fiévreuse leur a fournies.

C'est le même principe qui pousse les adeptes de la consommation à se promener dans les rues, au sortir de leurs achats, en portant un grand sac en papier avec en gros, gras, grand, épais et large le nom de la marque qu'ils viennent de subventionner de leurs deniers. En récompense de leur emplette plus ou moins onéreuse, la dite marque les autorise à faire pour elle de la publicité, en leur permettant de déambuler en ville, au vu et au su de tous, avec au bout du bras l'aveu de leur défaite morale en lettres énormes. Car on l'admettra, il ne faut pas une grande force de caractère pour, en plus d'avoir fait l'honneur au commerçant d'acheter le vêtement chez lui, se sentir honoré qu'on lui permette de jouer les hommes-sandwichs au bénéfice de celui-ci. On s'étonne de voir des gens distingués ou cossus, ou qui veulent le paraître, arborer comme des étendards, avec une feinte indifférence ou une authentique fatuité, leurs maroquineries Louis Vuitton.

En quelque sorte, photographier des "M" de toute sorte pour les envoyer à la revue à des fins de publication éventuelles, en dehors de se chatouiller l'ego à peu de frais, revient à subventionner sans rétribution la campagne publicitaire pour un véhicule de cadre supérieur, dont la rutilante carrosserie, dessinée par quelque styliste à la mode, laisse longuement résonner dans l'espace, après son passage, la même longue réverbération creuse que le pas du vicaire désœuvré qui arpente les dalles de sa cathédrale désaffectée en se demandant ce qu'il fait là.

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J'ai donc ici l'honneur de déclarer à la face du Monde que j'autorise son magazine du samedi, le plus souvent plein à ras bord de la vacuité de l'air du temps, de la mode et des gens en vue, à ne pas publier la photo ci-dessus : l'enduit plus très blanc d'un passage piéton lyonnais, qui n'avait que le tort d'avoir été encore un peu tendre au passage d'un pneu forcément malveillant et trop pressé. 

lundi, 01 janvier 2018

MES MEILLEURS VŒUX ...

... POUR 2018 !

Qu'on me permette d'offrir cette petite carte de vœux envoyée de la lune, cachet de la poste faisant foi, une lune qui n'était pas "dans le caniveau" (Goodis).

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jeudi, 21 décembre 2017

GRAPHISMES

Mon art contemporain.

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Aujourd'hui : mon "outre-toute-noire".

mardi, 19 décembre 2017

ÇA FAISAIT DES BULLES

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mardi, 28 novembre 2017

APRÈS LE JOUR ?

Et si la nuit ne revenait pas ?

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18h 20'

Qu'on se rassure, la nuit revient.

On est bien à la Croix-Rousse. La ville et sa modernité lumineuse ne sont pas loin.

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18h 33'

(Je préfère la photo du haut, bien sûr.)

lundi, 27 novembre 2017

APRÈS LA NUIT ?

Charles-Ferdinand Ramuz a publié un livre dont le titre reflète les peurs qu'éprouva sans doute la première humanité : Si le Soleil ne revenait pas ? (1937), des sentiments qu'il prête à bien de ses montagnards, gens restés tant soit peu sauvages, ou du moins "rustiques". Je peux encore, à l'heure actuelle, répondre que ce n'est pas pour demain. La preuve.

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mercredi, 01 novembre 2017

IL Y EUT UNE CROIX-ROUSSE

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ANGLE NUITS-DUMONT-D'URVILLE 2011 (Photo prise au 20 mm.)

Noter qu'on a déjà pris soin de sectionner la vigne vierge à mi-hauteur.

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ANGLE NUITS-DUMONT-D'URVILLE 2017

La boîte aux lettres a disparu.

L'angle n'est pas le même, mais le cœur y est.

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CHANTIER TRÈS BIENTÔT LIVRÉ, RUE CLAUDIUS-LINOSSIER 2017

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GROS OEUVRE TERMINÉ, ANGLE LINOSSIER-THÉVENET 2017

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DÉMOLITION TERMINÉE, ANGLE CHARIOT-D'OR-THÉVENET (LIVRAISON 2018 ?)

... ET CE N'EST PAS FINI : ATTENTION A CE QUI SE PRÉPARE RUE DU MAIL, RUE DE CUIRE, ETC.

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Non, pas de regret du passé : juste la banalité immobilière qui marque la transformation d'un quartier, et qui fait monter les prix.

samedi, 28 octobre 2017

MON ART ABSTRAIT

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Photographie Frédéric Chambe, prise rue commandant Charcot, à Lyon.

jeudi, 28 septembre 2017

TOURNÉ AU SOLEIL

 

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lundi, 25 septembre 2017

ECRITURE

Quand la lumière en vient à l'écriture, ...

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... ce n'est pas la photo qui est floue, ...

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... c'est un ailleurs qui rend visite.

samedi, 16 septembre 2017

POINTS CARDINAUX

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mercredi, 13 septembre 2017

RÉSERVOIR DE

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jeudi, 07 septembre 2017

DRÔLES DE NUAGES

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jeudi, 06 juillet 2017

UNE VARIATION RETROUVÉE

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Allez, une dernière pour la route.

Photographie Frédéric Chambe (non recadrée).