samedi, 18 avril 2020
TENTATIVE DE DÉCONFINEMENT
BANDE DESSINÉE : QUELQUES RÉPLIQUES MÉMORABLES
POUR FAIRE COMME TONTON GEORGES (BRASSENS !) :
« En rigolant,
Pour faire semblant
De n'pas pleurer ».
(C'est dans Mon Vieux Léon).
***
3 - GOSCINNY
Supposant assez connues d'un public normalement cultivé les bandes dessinées sorties des plumes de René Goscinny et Albert Uderzo, j'ai jugé inutile, oiseux et superfétatoire d'indiquer de quel album était tirée chaque vignette.
***
Ci-dessus et ci-dessous, simples clins d’œil en passant (bleu de Prusse, soutient mordicus). A propos de Jeux olympiques, je ne suis pas mécontent de la tournure prise par les événements actuels.
***
GAROVIRUS
Et si j'ajoute l'image suivante, ce n'est pas à cause de la réplique, mais évidemment à cause du nom du gouverneur de Condate (Rennes), lié aux circonstances. On trouve GAROVIRUS dans Astérix chez les Helvètes. Et je garde précieusement le nom du "traiteur romain" de Garovirus : Fellinus en "traiteur pour orgies", je ne suis pas sûr que Federico Fellini n'aurait pas aimé..
09:00 Publié dans BANDE DESSINEE | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : bande dessinée, humour, goscinny, uderzo, astérix, obélix, les aventures d'astérix, astérix et cléopâtre, le tour de gaule d'astérix, astérix le domaine des dieux, astérix et les goths, astérix le bouclier arverne, astérix en hispanie, astérix aux jeux olympiques, astérix chez les helvètes, federico fellini, georges brassens, brassens mon vieux léon, coronavirus, covid-19, sars-cov-2, pandémie, confinement
jeudi, 16 avril 2020
TERRORISME ET CORONAVIRUS
Imparable, le coronavirus. Vous vous rappelez sûrement le 13 novembre 2015 et les temps qui ont suivi. Après le Bataclan, les gens s’asseyaient fièrement en foule aux terrasses des cafés pour narguer les massacreurs fanatiques auxquels ils criaient : « Vous ne nous ferez pas changer de mode de vie ! ».
Les Américains, par la bouche de George W. Bush, avaient proclamé les mêmes grandes intentions au lendemain de l’attentat contre les Twin Towers par la bande à Ben Laden. On avait fini par se dire que nous étions plus forts que toutes les menaces.
Et puis patatras, voilà que ce que des terroristes avaient échoué à provoquer, un simple virus microscopique le réalise avec une efficacité terrifiante. Tout le monde obéit : « Restez chez vous ! Stay home ! ». Car on me dira ce qu’on voudra : les Français, pour l’essentiel, ont grosso modo accepté de se soumettre aux consignes édictées dans l’urgence sanitaire. Tous aux abris !
A bien y réfléchir, cette docilité paraît bien extraordinaire quand on se souvient de la révolte durable des gilets jaunes et des contestations vigoureuses de la réforme des retraites. Elle semble bien loin, l’époque où M. Emmanuel Macron traitait en bloc les Français de « Gaulois réfractaires à toute réforme ». Quelle belle discipline, dans l’ensemble !
Et vous savez l’idée complètement tordue que cette constatation m’inspire ? Je me dis que l’éventuel jour futur où une éventuelle (vraie) guerre serait déclarée, les Français se soumettraient d’assez bonne grâce aux brutales mesures militaires que le pouvoir politique serait obligé d’adopter. Le Covid-19 comme séance d’entraînement grandeur nature à la Mobilisation Générale pour de futures hostilités de grande ampleur ? Quel beau champ de manœuvres ! Quel excellent parcours du combattant ! C'est tout de même le président Macron, chef des armées, qui a fait cette déclaration solennelle : « Nous sommes en guerre ! ».
Vous vous dites : pure et folle élucubration ? Vous vous dites, comme le maire de Champignac : « Témoignage éthylique et nébuleux dont je ne tiens pas compte » ? Je veux bien.
Mais demandez-vous si les circonstances n'offrent pas aux forces de l’ordre une occasion unique de tester les meilleures recettes de contrôle de la population. Si les stratèges des forces militaires n'observent pas avec une grande attention la façon dont les différents acteurs du confinement (télévisions, radios et réseaux sociaux compris) organisent le mode de vie de la population. Si tous les pouvoirs ne décortiquent pas soigneusement le déroulement concret des opérations.
Alors, complètement tordue, mon idée ?
09:00 Publié dans L'ETAT DU MONDE | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : coronavirus, covid-19, épidémie, pandémie, emmanuel macron, mobilisation générale, nous sommes en guerre, bataclan, attentats 2015, george w bush, twin towers, les américains, gaulois réfractaires, contrôle social, maire de champignac
vendredi, 10 avril 2020
CORONAVIRUS : LES À-CÔTÉS
Entendu sur l'antenne de France Inter le lundi 6 avril aux alentours de 13h12 (44'10" au minutage de l'émission, qui commence à 12h32). Emmanuel Grabey fait un reportage à Paris, du côté de Belleville, pour informer sur la façon (aléatoire) dont les aides sociales sont distribuées dans les bureaux de poste. Ce ne sont pas les premiers mots du reportage, mais pas loin.
« Appuyée sur une béquille, Sabrina est en tête de queue ... ».
Merci à Emmanuel Grabey pour ce petit instant de petit bonheur. Il ne se doute peut-être pas de la chose, en ces temps d'angoisse et de confinement.
09:00 Publié dans DANS LES JOURNAUX | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : france inter, emmanuel grabey, coronavirus, confinement, épidémie, pandémie
jeudi, 02 avril 2020
TECHNIQUES DE LA PANDÉMIE, OU ...
... GASTON LAGAFFE ET LE CONFINEMENT (2/2).
Prunelle,
Lebrac,
Moiselle Jeanne,
Fantasio,
avec Gaston, tout le monde y passe.
Le vecteur du virus est apparemment immunisé.
09:00 Publié dans BANDE DESSINEE | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : pandémie, confinement, coronavirus, covid 19, bande dessinée, andré franquin, gaston lagaffe, contagion, humour
mercredi, 01 avril 2020
TECHNIQUES DE LA PANDÉMIE, OU ...
... GASTON LAGAFFE ET LE CONFINEMENT (1/2).
Ce qui est sûr, c'est que Lagaffe est contagieux et que, de toute évidence, il n'a pas son attestation dérogatoire.
Et qu'il a exclusivement des bonnes intentions.
Et qu'il se fait du souci pour la vie d'autrui.
Malheureusement, il ne pense pas à tout.
Heureusement, nous, on a les "gestes-barrière".
09:00 Publié dans BANDE DESSINEE | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : pandémie, confinement, coronavirus, covid 19, bande dessinée, andré franquin, gaston lagaffe, contagion, humour