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vendredi, 23 mars 2012

MOHAMED MEHRA, MUSULMAN DE FRANCE ?

Musulmans de France, avant toute autre considération, vomissez publiquement et officiellement MOHAMED MEHRA ! Dites une bonne fois qu'il n'est pas musulman. C’est une condition pour vivre en paix. 

 

Introduction 

 

En France, les homosexuels de tous les sexes, les femmes de tous les « genres », y compris le genre féministe, les musulmans de tous les islams réclament l’égalité de traitement avec les autres sexes, les autres genres, les autres religions. 

 

Tous ces gens crient à l’égorgement, voire au crime historique, quand on fait mine de s’en prendre, par exemple et au hasard, aux cinq prières de l’Islam, quand elles ont lieu dans la rue ; ou bien quand une des deux lesbiennes d’un couple se voit refuser l’autorité parentale par un tribunal ; ou encore quand une agence de publicité lance (c’était il y a déjà un moment) une célèbre campagne de publicité pour la crème fraîche semi-épaisse Candia « Babette » : 

 

« Babette, je la lie, je la fouette,

et parfois elle passe à la casserole ». 

 

Dans les trois cas, la catastrophe, mes amis ! Si vous aviez vu les chiens (et les chiennes) de garde se déchaîner en concerts d’aboiements rageurs et haineux. Le paradoxe, qui n’est pas du tout amusant, c’est que tous ces gens avaient l’énorme culot de se présenter comme des « victimes » et de hurler à la « stigmatisation ». 

 

Il est aussi arrivé que les critiques de mode ne soient pas tendres, mais alors pas tendres du tout, avec certaines manifestations publiques de la dernière mode vestimentaire coranique. Pourtant, nombreuses étaient les voix qui acclamaient les superbes modèles, inspirés par Allah, retouchés par son prophète, caractérisés par l’ampleur des lignes, la profondeur des plis, le moiré des tissus. 

 

Et cette fente dans les étoffes, si habilement conçue pour donner tout son éclat à l’intensité du regard, soulignée par le trait charbonnant du khôl du meilleur goût, ah, quelle trouvaille ! Ah, cette fente dans les étoffes, qui fait trépider le cœur du fiancé le soir des noces : « Vais-je dénuder Vénus en personne ? Vais-je tomber sur un boudin moustachu ? ». On ne dira jamais assez combien il est nécessaire de préserver le mystère de l’amour jusqu’au dernier moment. 

 

Bon, je cesse de tourner autour du pot tout en noyant le poisson, c’est de l’Islam que j’avais l’intention de parler. Pour dire mon ras-le-bol. Islam par-ci, musulman par là, mosquée par ailleurs : la nausée, je vous dis ! On nous fait bouffer de l’imam, de l’UOIF, du CFCM, du DALIL BOUBAKEUR, de l’islamisme fondamentaliste, du Frère Musulman et du salafiste jusqu’à nous en fourrer dans les trous de nez. 

 

Plus possible d’écouter la radio ou de regarder la télévision sans se faire apostropher sur le « nécessaire dialogue des religions ». Plus possible de déambuler en ville sans tomber sur ces insultes ambulantes que constituent des femmes couvertes de tissu et des hommes habillés d’une grosse barbe et d’une longue robe. Je me dis : « Il est en train de se passer quelque chose ». 

 

Je vais vous dire, moi, le « dialogue des religions », je m’en tape, pour la bonne raison que les religions, toutes les religions, déjà et d’une, je m’en tape. Et que j’estime avoir le droit de vivre et de marcher dans la rue sans me faire bassiner par des religieux, quelle que soit la mitre dont ils sont coiffés. 

 

L’Europe n’a pas réussi, après de longs siècles de travail guerrier, à se laïciser, pour que des outrecuidants, le plus souvent venus d’ailleurs (c’est le simple constat d’une vérité de fait), viennent piétiner en rangs serrés le devant de la scène médiatique. Si les outrecuidants parviennent à y rester, sur le devant de la scène, c’est qu’il se passe quelque chose. Quoi ?

 

Voilà ce que je dis, moi.

 

A finir demain.