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mardi, 09 octobre 2012

VAS-Y COPé !!!!

Pensée du jour : « Les lois sont des toiles d'araignée à travers lesquelles passent les grosses mouches et où restent les petites ».

 

MONTESQUIEU

(ce pourrait être un proverbe bantou)

 

 

LE PAIN AU CHOCOLAT ET LE RAMADAN

(fable édifiante et didactique).

 

 

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Je n’aime certes pas, d’une manière générale, l’arrivisme vorace, le carriérisme confortable, la cuisine immangeable que concoctent inlassablement les guignols qui nous gouvernent, et en particulier les amuse-gueule que JEAN-FRANÇOIS COPÉ jette par jeu aux charognards de presse, quand ce renard aux dents longues a fini son repas dans le poulailler national.

 

 

Ce qu’il y a de public chez cet homme est certainement assez antipathique. Pour une raison évidente : ayant bien compris l’époque, il a jeté aux orties les oripeaux inutiles d’une doctrine politique quelle qu’elle soit. Pour lui, ceux qui ont des idées politiques sont soit des imbéciles, soit des menteurs. BALZAC et ZOLA notaient déjà que le sac aux grandes idées était un ballon de baudruche. Et que la seule idée vraiment politique (ou réelle) était la voracité extrême des gens habités par le goût du pouvoir.

 

 

Jusque-là, je ne saurais le désapprouver totalement : l'humanité a fait le tour complet des idées politiques possibles, et retour. Mais ce que je réprouve, en revanche, c'est la gnaque "décomplexée" : trop visiblement, il veut le pouvoir. Et ce seul fait rend l'individu méprisable. Vouloir régner, a-t-on seulement idée ? Lui ? Plus besoin de masque : le pouvoir nu, le pouvoir en soi, le pouvoir pour soi. Pas le pouvoir pour façonner le monde. Je veux le pouvoir pour l'exercer. N'est pas NAPOLÉON qui veut.

 

 

Pendant que l'homme de gôche agite comme un étendard la baudruche de ses idées, l'homme de drwate brandit comme un drapeau le mirage de ses fantasmes. Une minute de silence, s'il vous plaît, en vous inclinant devant cette phrase.

 

 

 

HOLLANDE, sous son babil papelard et vaguement cagot, n'a pas agi autrement. Il aurait pu être élevé chez les bons Pères (c'est peut-être le cas, je n'ai pas vérifié). COPÉ a déjà l'air satisfait, mais encore  gourmand de celui qui détient un pouvoir, mais qui n'a pas encore atteint le sommet.

 

 

Rappelez-vous CHIRAC en 1995, cet extraordinaire contentement de père Bidochon quand il a enfin pu s'affaisser dans le fauteuil présidentiel : « Putain, j'y suis arrivé, finalement ! ». Finie, l'ambition. Il était comblé. A quoi servirait encore de désirer ? Il a pu donner libre cours à son absence de vision poltique. COPÉ, il n'a pas encore une tête de père Bidochon. Il a encore des perspectives.

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Tout ce que COPÉ juge à même de l’amener à bon port est donc bon à prendre. Oh, le petit a de qui tenir : NICOLAS SARKOZY, en son temps, a procédé de même (non, pas de photo de lui, il a épuisé son stock des unes de magazines pour au moins deux cent trente-huit ans quatre mois vingt-deux jours trois heures et trente sept minutes (je vous fais grâce des secondes) !). Ne lui doit-on pas une publicité gratuite et spectaculaire pour une marque célèbre de nettoyeurs haute pression ? Peut-être le meilleur et le plus historique de ses apports.

 

 

L’élève souhaitant arriver au même but que le maître, il pense savoir à qui il doit s’adresser pour susciter l’adhésion du plus grand nombre. Il sait aussi qui aura l'impression d'avoir reçu la gifle de son propos insultant sur la joue droite de son intellect formaté : cette perspective le réjouit au plus haut point. C’est la stratégie de toute bonne publicité : « Dites du mal de MOI, dites du bien de MOI, pourvu que vous parliez de MOI ». C'est ça qui fait vendre.

 

 

C’est ce que les journalistes (ci-dessus évoqués en des termes moins neutres) appellent « l’art de se placer au centre du débat ». NICOLAS SARKOZY, en son temps, a dépensé beaucoup d'énergie (et de "brain storming" de son staff) à tirer cette grosse ficelle (instituteur contre curé, magistrats "petits pois" laxistes, et tant d'autres), pas toujours à bon escient, il faut bien dire, car même le staff peut errer.

 

 

L’effet est garanti : la fourmilière entre en ébullition (tant pis pour la cohérence des images ; et puis tout de même, n’y a-t-il pas, à la surface de la fourmilière bousculée le même friselis (approchez l'oreille, c'est flagrant) qu’à celle de l’eau qui ne va pas tarder à bouillir ? Ceux qui un jour ont botté une fourmilière me comprendront).

 

 

En l’occurrence, puisqu'il est question de pain au chocolat et de ramadan,  toutes les âmes vertueuses des associations antiracistes, au premier rang desquelles le chœur des « indignés » de SOS Racisme, ont entonné le refrain qui les fait jouir et vibrer, en même temps que l'estomac de ces âmes angéliques se soulevait.

 

 

N'oublions pas HARLEM DESIR, nouveau pilote ectoplasmique du bateau ivre du PS. Qui surnommera monsieur DESIR le "Hollandais flottant" (hommage au commandant du navire, qui flotte à présent dans ses vêtements), par allusion à Der fliegende Holländer, de RICHARD WAGNER ? Certainement pas moi, pensez.

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Pour condamner le "pain au chocolat du ramadan" de JEAN-FRANÇOIS COPÉ, deux mots coulaient comme une bave de la lippe de la pauvre larbine désignée comme porte-voix par SOS Racisme : « Propos stigmatisants ». Elle en ajoutait parfois un troisième :  « clivants ». Ces gens pourraient faire un effort pour enrichir leur vocabulaire, que diable ! Je leur propose de commencer dès maintenant.

 

 

Sans passer toutefois en revue la longue liste des synonymes, il y a quelque profit à y puiser, par exemple et entre autres « anathématiser, incriminer, jeter la pierre, diffamer, clouer au pilori ». Le pilori est d’autant plus seyant que plus personne n’en a vu depuis 1789, qui l’avait interdit, et que 1848 a aboli le « carcan », qui l’avait remplacé.

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Pauvre larbine ! Elle est bien dévouée ! Et vous avez deviné pourquoi le sang de SOS Racisme n'a fait qu’un tour ? Mais c’est exactement pour la même raison qu’on a tout fait, au moment de l’affaire MOHAMED MERA, pour accréditer la thèse de crimes fascistes, avant de se rendre à l’évidence : l'auteur des crimes était bien un Mohamed, et pas un Aubierge, un Tiburce ou un Frédéric.

 

 

Et le motif djihadiste a crevé l'écran. En même temps qu'a été confirmée, accessoirement, l'importation chez nous du conflit israélo-palestinien (mais il y avait déjà eu KHALED KELKAL). Il ne faut pas heurter les Arabes établis en France. Nous sommes prévenus.

 

 

Voilà ce que je dis, moi.

 

 

A suivre.

 

 

vendredi, 28 septembre 2012

DU RACISME ANTI-FRANçAIS

Pensée du jour :

« Entre l'absence et la chemise,

Le temps d'une exhalaison,

Fume le corps de gourmandise

De nos appétits sans raison ».

 

 

Ainsi, monsieur JEAN-FRANÇOIS COPÉ, un clone de NICOLAS SARKOZY, drague les voix d’extrême-droite en soutenant qu’il existe un racisme anti-blanc, sur le territoire même de la République Française, une et indivisible. A entendre, les bouchons dans les oreilles, les hurlements des accusateurs, on se dit que JEAN-FRANÇOIS COPÉ est un salopard fasciste.

 

 

Je ne crois pas que JEAN-FRANÇOIS COPÉ soit un salopard fasciste. Il est juste un politicien français. Pour lui, la présidence de l’UMP n'est qu'une rampe de lancement. En direction du perchoir national : la Présidence de la République. Avec son « racisme anti-blanc », il se contente de répliquer à l’annonce surprise de FRANÇOIS FILLON de 45.000 parrainages en vue du prochain congrès de l’UMP. « Il faut lâcher le congrès », lisait-on jadis dans l’Album de la Comtesse, du Canard enchaîné (contrepèterie relativement facile).

 

 

Il faut le comprendre, COPÉ : FILLON lui a grillé la politesse, en annonçant dans les médias un nombre pharamineux de signatures et de soutiens. Cramé, COPÉ. Obsédé par la Présidence, que vouliez-vous qu’il fît ? Son raisonnement ? « Comment vais-je lui faire manger ses dents, à ce Néandertal ? » Une petite séance de « brain-storming » avec son « staff » (je cause moderne), et voilà le racisme anti-blanc qui arrive sur le devant de la scène. Vas-y à fond, coco ! C’est tout bon ! La best réplique sur l’échelle de Richter. Enfoncé, FILLON.

 

 

C’est entendu : COPÉ drague les voix du Front National, c'est-à-dire la frange droite des militants UMP. Il n’est pas fasciste pour autant. Monsieur COPÉ est un pur produit de la politique à la française : la politique considérée comme une carrière. En son temps, ALFRED JARRY avait écrit un article paru dans Le Canard sauvage, n° du 11 au 17 avril 1903, intitulé « La Passion considérée comme course de côte ». De nos jours, tout est possible, et l’horizon de l’ambitieux s’élargit au-delà des dimensions humaines, comme l’horizon russe au moment où monsieur HITLER se mit dans l’idée fixe de l’envahir.

 

 

COPÉ ? Il va juste à la pêche. C’est, comme on dit, une opération de communication. Elaborée dans un bureau de petit comité. Les penseurs de ça sont dix au maximum. FILLON  dispose d’une équipe identique. Tout le monde est grassement payé, en spéculant sur l’avenir, comme MANUEL VALLS et ARNAUD MONTEBOURG l’ont fait avant l’élection de HOLLANDE. Aucune de ces personnes n’a, à proprement parler, de « ligne politique ». Exercer le pouvoir est le seul objectif.

 

 

Reste, paraît-il, le « débat ». On parle ici de faits et de réalité. Existe-t-il, aujourd’hui en France, un racisme anti-français ? Existe-t-il un racisme anti-blanc ? Eh bien, mesdames et messieurs, au risque de choquer, je dis que la réponse est OUI. Il faut, certes, relativiser : le racisme anti-français se développe dans des portions très délimitées, et même très limitées du territoire national. Il n’empêche, il existe. La haine de la France se développe dans certaines villes de France.

 

 

Maintenant, regardons un peu ce qui s’est passé dans les principaux pays arabes pendant les trente dernières années : l’Egypte de ANOUAR EL SADATE, l’Algérie de CHADLI BENJEDID, la Tunisie de ZINE EL ABIDINE BEN ALI. La Libye de KHADAFI est un cas à part : j’aurais envie d'opérer un rapprochement entre le « Guide de la Révolution » et un certain JOSIP BROZ, dit TITO (Yougoslavie). Tant que le dictateur fait régner son ordre, les populations vivent dans une unité relative. Lui disparu, l’Etat central et unificateur a tendance à se désagréger.

 

 

Mais ailleurs ? SADATE, et MOUBARAK après lui, achète la paix à coups de mosquées, réprimant les Frères Musulmans, mais en ayant soin de leur laisser gérer la misère sociale, l’entraide mutuelle, les associations de secours à la population. Si la situation diffère en Tunisie, et surtout en Algérie, elle s’en approche. Tunisie ? Mosquéisation à fond la caisse, gestion du social aux islamiques. Algérie ? Arabisation à fond la caisse pour éradiquer le souvenir même de l’infect colonisateur, gestion du social aux religieux.

 

 

Vous avez repéré les termes de l’équation ? Le clan au pouvoir (MOUBARAK et sa famille, BEN ALI et sa femme, la redoutable LEÏLA TRABELSI et toute sa parentèle, une clique de généraux puissants et BOUTEFLIKA qui leur sert de faux-nez) vit sur le tas d'or qu'il a piqué, achetant ici et là les bonnes volontés influentes et utiles ;  la population, pour l’essentiel, croupit dans la misère et le chômage ; l’Islam progresse, prospère, croît et embellit sur le fumier du social, négligé par le pouvoir.

 

 

Maintenant regardez les « quartiers » français. Ôtez le clan prédateur de l’équation, reste quoi ? L’Islam d’un côté, de l’autre, la misère et le chômage. Ajoutez à l’équation la guerre israélo-palestinienne : MOHAMED MERA est une exception du fait qu’il passe à l’acte, c’est le moins qu’on puisse dire.

 

 

Mais le sentiment anti-français qui l’animait, la motivation qui était la sienne, pensez-vous qu’ils demeurent une exception, dans nos banlieues ? L'identification aux Palestiniens comme victimes est largement répandue. Et imaginez maintenant cette misère chômeuse, trafiquante et islamisée avec des kalachnikovs dans les mains. C’est juste une image. J’espère.

 

 

C’est sur ces entrefaites (tiens donc !) qu’on apprend, ces derniers jours, que le Qatar, qui a déjà acheté, entre beaucoup d’autres, le P.S.G., a proposé au gouvernement de créer un fonds d’investissement qui serait là pour aider des jeunes des banlieues (d’origine essentiellement maghrébine) à créer leur entreprise. Le dit gouvernement s’est empressé d’accepter, en précisant évidemment qu’il serait présent dans le financement pour contrôler. Mon oeil !

 

 

Sans même parler des prêches dans les mosquées le vendredi, est-il vrai que les responsables politiques français, nationaux et territoriaux, laissent des « associations » plus ou moins confessionnelles s’occuper des populations « issues de l’immigration » ? Oui ou non ? Une petite subvention par-ci, on ferme les yeux par-là ? Que croyez-vous qu’il arrivera, à la longue ?

 

 

Et monsieur HARLEM DESIR (avec ses congénères prêcheurs stipendiés de la diversité, de la mixité sociale, du « métissage » et de la tolérance) s’indigne (le mot est faible) qu’un politicien français « droitise » son discours et récupère des idées du Front National.

 

 

Ces idées ne sont celles du Front National que parce qu’une portion non négligeable de la population française « de souche » a l’impression, en certains lieux, de ne plus être chez elle. Car le Front National n’existe que parce qu’il a une clientèle : toute demande suscite une offre qui se propose de la satisfaire. C’est la loi du marché.

 

 

Maintenant, prenez un politicaillon – mettons qu’il s’appelle JEAN-FRANÇOIS COPÉ – qui désire progresser en direction du pouvoir et qui, pour cela, a besoin d’occuper un poste-clé au détriment de son principal rival – mettons FRANÇOIS FILLON. « Ah, FILLON me grille la politesse en proclamant le nombre de ses soutiens UMP ? Puisque c’est comme ça, je me mets « au centre du débat » (pour parler comme les « journalistes ») en claironnant sur le thème ». Car il ne s’agit que de rassembler des voix sur son nom. Pas de résoudre un problème.

 

 

Mais cela ne veut dire en aucun cas que le problème n’existe pas.

 

 

Voilà ce que je dis, moi.

 

 

vendredi, 22 juin 2012

DIVERSITE MON CUL !

Résumé : « De l’esclavage des nègres » (MONTESQUIEU, De l’Esprit des lois, 1748). Les blancs, nous sommes d’accord, ont fait le commerce des noirs (« triangulaire »). Et l'esclavage des noirs, qui ont été transportés dans des conditions inhumaines d'Afrique en Amérique, ce fut totalement intolérable. Et je dis bien "ce fut", car on en parle, heureusement, au passé. FRANÇOIS BOURGEON en a magistralement parlé dans trois volumes (Le Comptoir de Juda, L’Heure du serpent, Le Bois d’ébène) de sa formidable série Les Passagers du vent. Les noirs ont donc RAISON de dénoncer l’esclavage dont ils ont été les victimes. Mais ils ont TORT de faire des blancs les seuls coupables. Et surtout des COUPABLES RETROSPECTIFS.

 

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Les premiers esclaves NOIRS ont été réduits en esclavage par des NOIRS. C’est l’époque de l’antiquité, la « règle » veut que, dans une guerre, le vaincu devienne l’esclave de son vainqueur qui, au surplus, se sert largement dans la réserve des femmes du dit vaincu. On en sait quelque chose à travers l’histoire des Grecs et des Romains.

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Les deuxièmes esclaves NOIRS ont été faits par les ARABES. Rendez-vous compte que l’esclavage a été officiellement aboli dans la péninsule arabique en 1923. « Officiellement », car de temps en temps, on entend parler d’une petite domestique philippine qui s’est échappée (ou qui est morte) parce qu’elle ne supportait plus sa situation (travail, viol, brutalités, …). Mais chacun sait, n'est-ce pas, que l'Arabie Saoudite est un pays éminemment progressiste.

 

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La traite transsaharienne et la traite maritime (à partir de la côte EST de l’Afrique) fut très importante, et elle a duré bien plus longtemps que la traite transatlantique (côte OUEST), celle qui a fait les troisièmes esclaves noirs de l’histoire. Je rappelle accessoirement que si des noirs ont été vendus à des blancs comme esclaves, c’est parce que d’autres noirs les leur vendaient. Qu'on se le dise, des NOIRS ont, depuis les origines, toujours vendu des NOIRS. On pourrait presque dire que pour certains, c'était un métier. Et lucratif.

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LE NAVIRE NEGRIER DESSINE PAR FRANÇOIS BOURGEON

 

Il faut que ce soit dit :

 

LES NOIRS ONT TOUJOURS VENDU DES NOIRS

 

 

Tout ça pour dire quoi ? Pour dire tout simplement qu’il faut arrêter, avec les histoires de culpabilisation, de repentance, et tout ça. Il faut que YANNICK NOAH arrête de nous bassiner avec "Mama africa". Qu'on arrête de nous bassiner avec ce slogan politique à géométrie variable, "les Africains". "Les Africains", cela n'existe définitivement pas. Il n'y a pas de "nation africaine". La fraternité de la couleur de peau, c'est une énorme fumisterie.

 

 

Revenons aux esclaves. Pour que les Blancs se sentent coupables de quelque chose, il faudrait que les Arabes et les Noirs eux-mêmes se frappent la poitrine en même temps, en disant qu’ils regrettent, qu’ils s’excusent, qu’ils demandent pardon à genoux pour tout le mal qu’ils ont fait aux noirs. La scène ne manquerait certes pas d’un certain piquant.

 

 

Il faut savoir que des instances internationales évaluent à 26 MILLIONS, le nombre actuel d'esclaves dans le monde, dont pas mal sont africains, vivent en Afrique, et sont les esclaves de citoyens africains. Qu'on me dise combien il y a d'esclaves chez les blancs. Et si vous ne pouvez pas me renseigner, alors, dites-moi qui est RACISTE, tiens, si vous l'osez.

 

 

Je digresse, je me laisse emporter, je dessine des « arabesques » (dixit CHATEAUBRIAND). Alors maintenant, la DIVERSITÉ. C’était ça, le sujet, en fait. Mais ce qui précède permet de situer une partie du problème, puisqu’il y a, paraît-il, problème.

 

 

Comment ? On essaie de nous convaincre que la composition des plateaux de télévision, de la Chambre des Députés, du Sénat, des conseils d’administration des grandes entreprises ne reflètent pas la composition de la population actuelle de la France ? Minute, papillon ! Et puis quoi encore ? Bon, ne parlons pas de la télé et des entreprises. Restons-en aux « élus du peuple ».

 

 

Combien sont « issus de la diversité » ? « Dix, sur 577, c’est un scandale ! », glapissent aussitôt les militants du CRAN (Conseil Représentatif des Associations Noires de France), LOUIS-GEORGES TIN en tête. Ben oui, c’est lui le président. Combien sont issus « issus du sexe féminin » ? « Cent cinquante-cinq, sur 577, c’est un scandale ! », glapissent les féministes.

 

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ON SE FAIT SON CARRÉ DE PATATE COMME ON PEUT, LÁ OÙ ON PEUT

 

Moi je demande à tous les glapisseurs de scandales combien ils étaient, avant. Après tout, 10 députés à la peau noire ou avec des noms maghrébins, disons-nous que c’est mieux que zéro ou presque, comme c’était le cas. Pour les femmes, il faut savoir que, de 1978 à 1997 (il y a donc quinze ans), le nombre d’élues est passé de 20 à 63. Je ne vois pas en quoi celui de 155 constituerait pour la France une honte quelconque. C'est un progrès, d'un point de vue arithmétique, s'entend. La suite ? Eh bien on verra, c'est tout.

 

 

Je m’en tiens à ce que je considère comme une vérité : si la « diversité » est un FAIT, elle ne saurait en aucune manière être promue et érigée en DROIT. Le métissage (la « créolisation », si l’on veut) est le RESULTAT auquel aboutit, sans que personne l’ait voulu, le mouvement de l’histoire, et rien d’autre. Il y a, selon moi, de l’idéologie chez ceux qui en font un BUT. Il ne faut pas transformer ce qui n’est qu’une CONSEQUENCE, liée à l’écoulement du temps, en OBJECTIF à atteindre. Une CONSEQUENCE venue du simple flux de l'histoire ne saurait être par magie érigée en FINALITÉ. En PROGRAMME.

 

 

En France, le métissage viendra forcément, et dans un temps sans doute pas très éloigné. Il n’y a qu’à entendre les noms de bien des nouveaux journalistes qui interviennent sur les chaînes de radio publique (HAKIM KASMI, TEWFIK HAKEM) pour constater que l’affaire est en route, et sans qu’on ajoute aux lois existantes des lois imposant des quotas, quoi qu’en disent Monsieur LOUIS-GEORGES TIN et ses amis du CRAN. Il est déjà assez désolant qu’on y ait eu recours pour les femmes.

 

 

Que la diversité, comme conséquence d’une évolution dans la durée, devienne la diversité, comme pur SLOGAN politique (et même pas politique, mais ethnique), ce n’est pas bon signe. C’est une manie importée des USA, que des groupes spécifiques (des « minorités », des « communautés », mots également très à la mode) tentent de faire valoir pour leur propre compte. J’ai envie de dire à tous ces gens qu’ils me font penser à des enfants impatients et capricieux, pour qui seul existe le « TOUT, TOUT DE SUITE ».

 

 

Je leur dis : laissez faire l’histoire et le temps, ils travaillent pour vous. Si ce n'est pas vous qui récolterez les marrons du feu, ce seront vos enfants. Faites comme les islamistes : travaillez dans la perspective du millénaire à venir, et pourquoi pas, de l'éternité. Cela prouverait au moins une petite chose : que vous ne voulez pas, par-dessus tout - comme on pourrait légitimement vous en soupçonner -, exercer le pouvoir

 

 

En attendant, prenez le temps de prendre votre place, d'avoir de l'ambition, d’arriver à des postes, de gravir les échelons, de prendre du galon, avec le désir et les moyens de cette ambition, et dans le fond, de mériter une reconnaissance sociale.

 

 

 

J'ai tendance à me contenter d'un vulgaire premier degré. C'est ainsi qu'à mes yeux, la diversité est un FAIT, jamais un DROIT. Le métissage est la CONSEQUENCE d'un processus, jamais un BUT. Qu'on arrête donc de glapir, à propos de la « DIVERSITÉ », à l'injustice, et de brandir des DOCTRINES bourrées d'arrière-pensées qui sentent l'envie de la REVANCHE et du POUVOIR (voyez le détail des trajectoires de HARLEM DESIR (touche pas à mon pote) et de MALEK BOUTIH, logiquement atterris au coeur du Parti « Socialiste », jugés, comme on dit dans le football, excellents "milieux récupérateurs" de voix) !

 

 

Voilà ce que je dis, moi.