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jeudi, 14 mai 2015

LE GÉNIE DE LA LUMIÈRE

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mercredi, 13 mai 2015

VU A LA CROIX-ROUSSE

 

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Réforme du collège : tout le monde s'étripe. Nivellement par le bas contre souci d'équité. Je n'entre plus dans le débat : trop de mal a été fait au système éducatif français depuis quarante ans. 1975 : réforme Haby, le collège unique, je ne veux voir qu'une tête, et surtout pas une qui dépasse. On a continué avec la réforme Legrand : classes indifférenciées contre pédagogie différenciée (il fallait à tout prix « enseigner autrement »). Tout comme ça, ça n'a pas arrêté. A force de faire bouger l'édifice, celui-ci a tremblé sur ses bases, les murs se sont lézardés, le logement a été peu à peu rendu inhabitable. 

On n'a pas cessé de réformer l'école, réacs élitistes de droite contre progressistes égalitaristes de gauche. Le résultat ? Un manteau d'Arlequin, des tranches napolitaines. On dirait que chaque secteur de l'éducation (école, collège, lycée, supérieur) s'est autonomisé et mis à fonctionner pour lui-même.

Le résultat ? Ce qui était une succession d'étapes le long d'un processus continu est devenu un ver de terre tronçonné, dont chaque morceau ignore superbement les autres. Ce qui a disparu du système éducatif français, c'est la continuité nécessaire du processus que constitue l'instruction publique.

Et je ne parle pas du massacre accompli contre les filières techniques et professionnelles : demandons-nous pour quelle raison mystérieuse les entreprises artisanales en France ont toutes les peines du monde à trouver des personnes qualifiées à embaucher.

Qu'est-ce que l'école, finalement ? Voici la conception que j'aimerais partager : l'école, c'est l'effort accompli par une société, par une nation, pour s'élever parmi les sociétés, parmi les nations. Les performances d'une école dépendent de l'ambition (du « projet », de l' « objectif ») de toute une société, de toute une nation. C'est peut-être là précisément que le bât blesse. Qui voit encore la France en perspective, derrière l'école ?

Voilà ce que je dis, moi.

Note : Je ne suis pas le seul à le dire, et à l'écrire (on peut cliquer pour s'en assurer). Je me sens de moins en moins seul

 

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mardi, 12 mai 2015

FOULE ESCLAVE, DEBOUT !

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Détail de surface vitrée.

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CONCESSION A L'ACTUALITÉ

Le chef de bureau (capitaine de pédalo n'était pas mal non plus) qui nous gouverne adore inscrire dès qu'il le peut son nom au fronton des temples symboliques où se pressent les foules prosternées devant les idoles actuelles pour rendre un culte dévotieux à ces modernes créatures de la propagande forcenée mise en oeuvre par « L'Empire du Bien ». M. François Hollande a donc accompli un « devoir de mémoire », en inaugurant un majestueux monument en souvenir des victimes de la traite négrière.

L'esclavage, ah, mesdames, voilà du bon fromage au lait qui vient du pays de celui qui l'a fait (chanson d'autrefois). Il est sûrement très beau, très majestueux, très grandiose, le mémorial de l'esclavage (Mémorial ACTe, texto), quelque part dans les îles caribéennes. Je veux croire que c'est une simple coïncidence, si un livre de 2002 vient d'être opportunément réédité : L'Esclavage expliqué à ma fille, de Christiane Taubira. La dame a sur la question un point de vue pour le moins sélectif, pour ne pas dire restrictif.

Nous sommes d'accord : l'esclavage est une honte. La preuve, c'est que personne ne se vante aujourd'hui d'avoir des esclaves, quand il en a. Quand on en trouve, par exemple en France (« esclavage domestique »), les gens font profil bas. Ils sont même condamnés par les juges quand on arrive à prouver les faits. 

Sans parler de l'Antiquité grecque et romaine, il y a eu depuis mille cinq cents ans, aux dépens de l'Afrique, trois esclavages successifs. 

1 - L' « esclavage africain » : noirs asservissant d'autres noirs vaincus dans des guerres "tribales". Celui-ci n'a jamais cessé et dure toujours (Niger, Mauritanie, ...). Les témoignages et reportages ne manquent pas.

2 - L' « esclavage islamique » : ce furent les Ottomans qui, à partir du 14ème siècle, allèrent, en direction des pays chrétiens (Europe orientale, Balkans), s'emparer militairement des jeunes garçons pour en faire des "janissaires", des cuisiniers, etc., au service de la "Sublime Porte". Jusqu'à ce que le Sultan d'alors décide de les exterminer pour les empêcher de lui disputer le pouvoir.

Mais les Arabes avaient depuis fort longtemps monté des expéditions guerrières à partir de la péninsule arabique et de l'Egypte à travers le désert pour aller s'approvisionner en humains dans les populations noires. Ils suivaient en particulier la « Piste des quarante jours », qui s'est constamment montrée beaucoup plus meurtrière que n'importe quelle traversée de l'Atlantique par un navire négrier. Cette traite a duré sept siècles (et bien davantage).

Aujourd'hui, ce ne sont plus des noirs, mais des Philippins, des Népalais et autres que les royaumes, émirats ou sultanats font venir pour leur faire subir un traitement qui n'a pas grand-chose à envier à l'esclavage (chantiers au Qatar en vue de la Coupe de 2022).

3 - L' « esclavage atlantique », le plus célèbre, le plus dénoncé, le plus reconnu. Il a été prospère pendant deux siècles. Voir la BD de François Bourgeon Les Passagers du vent (à partir du tome 3). 

Aucune de ces formes ne peut évidemment trouver quelque justification que ce soit. Mais à entendre, sur France Culture la semaine dernière, madame Taubira vociférer, dire sa haine (c'est elle qui prononce le mot), vomir son Niagara d'imprécations contre les sales occidentaux esclavagistes, l'auditeur pourrait croire que l'esclavage, sous sa forme "africaine" ou "islamique", est de la roupie de sansonnet.

Une simple anomalie sans conséquence. Presque pardonnable. Il faut l'avoir entendue réduire au silence tous les participants de l'émission, à commencer par l'animateur. Quand elle est là, c'est elle qui commande. C'est elle qui tient le crachoir. Elle a une revanche à prendre. Elle a quelque chose à venger.

On dirait que seul l'esclavage atlantique constitue un crime contre l'humanité. Madame Taubira est aussi culottée que Nicolas Sarkozy pour tirer la couverture à soi, mais en plus violent. Pour ne prendre de la vérité que ce qu'elle peut mettre au seul service de ses objectifs et de ses intérêts. Impunément. Arrogance et intimidation en sont les procédés. Et cette dame est ministre de la justice de la république française ! Pour faire la leçon à la république française, et non plus parler au nom de la RF. Quelque chose a dû m'échapper. Qui donc l'a autorisée à cracher sur la république qu'elle est censée représenter ? Devinez. 

Ne parlons pas de la "traite africaine" (les noirs n'aiment pas les noirs, voir les conflits entre Nuers et Dinkas, Hutus et Tutsis, etc.). Les différences entre la "traite islamique" et la "traite atlantique" sont de deux ordres :

a) Les Arabes montaient des expéditions militaires pour capturer au loin les hommes et les femmes dont ils avaient besoin. Les Européens se contentaient d'acheter les esclaves à des potentats locaux, en leur laissant le soin de les leur procurer. Les Arabes sont des guerriers, les Européens des commerçants. M'enfin, les rôles sont interchangeables ou complémentaires.

b) Les esclaves emmenés aux Amériques par les Européens le restaient toute leur vie et leurs enfants héritaient du statut, alors que les Arabes affranchissaient les leurs après une vie de bons et loyaux services, même si la discrimination ne cessait pas pour autant. 

Je rappellerai juste à la haineuse madame Taubira que, si l'esclavage a été aboli, ce n'est par personne d'autre que les Européens, disons les Occidentaux. Que, s'il existe des lois qui répriment l'esclavage, on les trouve en France et autres pays "évolués".  Et accessoirement, que ce sont les pays occidentaux qui ont aboli la peine de mort (à de notables exceptions près). C'est l'Occident, après tout, qui a inventé le Progrès (pas ce qu'il a fait de mieux, peut-être).

L'Occident est tout sauf innocent, mais sait parfois corriger ses fautes. Oui, ça arrive. L'abolition de l'esclavage en est peut-être l'exemple le plus flagrant. Vous êtes priée de ne pas l'oublier, madame Taubira : la raison et la république voudraient que vous laissiez là votre discours de haine.

Montrez, dites que vous aimez la France, madame Taubira. Que vous aimez la république que vous êtes supposée incarner. Faites-nous entendre que vous êtes une Française de cœur.

Si vous le pouvez.

Voilà ce que je dis, moi.

 

Note : Le choix du titre de ce billet (un fragment de vers du poème d'Eugène Pottier connu dans sa version musicale sous le titre L'Internationale) ne saurait être fortuit.  

samedi, 09 mai 2015

L'HOMME EST APPROXIMATIF

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Est-ce ainsi que Pierre Reverdy envisageait ses "Flaques de verre" ?

A moins que ce ne soit qu'un grain de café presque transparent.

(Murakami Ryu a écrit l'allumé halluciné Bleu presque transparent.)

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Je n’ai jamais pu me dépêtrer de L’Homme approximatif. Cette œuvre de Tristan Tzara (qui a bien connu Pierre Reverdy), qui n'a pas arrêté de me courir après depuis des millénaires, m’a convaincu que, quand on est poète, on ne saurait se résumer au croupion d'un quelconque Mouvement Dada, ou au squelette d'une vulgaire Révolution Surréaliste. Et qu'il y a de la chair, et de la bonne, sur les os de cette volaille : c'est du corpulent.

Que l’homme ne sait jamais ce dont il est porteur quand il fait. Qu’il n’est jamais ce qu’il croit être. Qu'il est une flèche lancée par l'arc d'il ne saura jamais qui. Que la trajectoire humaine n'est jamais une ligne droite. Que ce qu’il est dépasse (je n’ose pas dire "transcende") de loin l’image qu'il s'est faite de ce qu'il doit être. Quand le poète est en état de produire cet effet, il dégage un puissant souffle de vérité. Ici, il me dépasse.

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 L’Homme approximatif me colle à la peau. Tenez ce petit fragment :

 

« frileux avenir – lent à venir

un écumant sursaut m’a mis sur ta trace de regard là-haut où tout n’est que pierre et nappe de temps voisin des crêtes argileuses où les jamais s’enflent sous robe d’allusion

je chante l’incalculable aumône d’amertume

qu’un ciel de pierre nous jette – nourriture de honte et de râle –

en nous rit l’abîme

que nulle mesure n’entame

que nulle voix ne s’aventure à éclairer

insaisissable se tend son réseau de risque et d’orgueil

là où l’on n’en peut plus

où se perd le règne du silence plat pulsation de la nuit ainsi se rangent les jours au nombre des désinvoltures et les sommeils qui vivent aux crochets du jour sous leur joug

jour après jour se rongent la queue et dansent autour et là-haut là-haut tout n’est que pierre et danse autour »

 

Rien que le titre du livre est un chef d’œuvre. 

Voilà ce que je dis, moi. 

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Babioles :

Elections législatives en Grande-Bretagne.

Une fois de plus, prosternons-nous devant l'infaillibilité Royale et Scientifique de leurs Majestés et de leurs Excellences les Sondages d'Opinion.

mercredi, 06 mai 2015

L'ASPECT DES CHOSES

OS OU CAILLOU ? LES DEUX, MON COMMANDANT !

 

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 Ici, avec flash.

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Ici en lumière naturelle.

Et ci-dessous avec soleil direct inclus.

 

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Atelier

 

Les yeux fabriquent la vie

La chose est faite pour l’œil

On sait mieux doser le regard

Que ressentir du quoi

 

On dira : « La faute au cœur de service »

Et que l’âme fabrique du désordre

Et que le corps n'aurait pas dû

 

Mais l’apprenti palimpseste

A repeint la toile aux origines

 Et le maître a dit oui

 

Il a deviné qui vient

 

mardi, 05 mai 2015

VU A LA CROIX-ROUSSE

 

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Ça ressemble à une maison

D’avant  l’électricité

L’image a du mal à vivre

Mais l’œil est tout l’être

Quand le corps est tout seul

 

Et se confond avec elle

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Note : je précise qu'il conviendrait de ne pas prendre un poème pour la légende d'une photo.

samedi, 02 mai 2015

DANS MON PERISCOPE

 

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Le paysage.

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Ces deux images ne sont pas des sténopés. Elles sont obtenues sans aucun artifice technique, simplement recadrées. 

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On entrouvre le vieil homme

Pour exhumer le paradis

Peut-être est-on autorisé

L’enfant ne comprend pas

Il faut que le silence

Impose d’être soi

Quand la vie reprendra

Il pourra respirer à nouveau

Derrière son rideau

Le ciel qu'il façonnait

 

vendredi, 01 mai 2015

DANS MON PERISCOPE

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Ah tiens, on aperçoit une cheminée.

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Ça se précise !CARTE NON POSTALE.JPG

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C’est un peintre sur chemin

Dessinant avec les pieds

L’aube des aventures

Un soleil tangentiel

Eclaire une étendue de blé

Des reliefs légers

A peine est permise une brume

Et plutôt que le clair-obscur 

Le flou du regard

lundi, 27 avril 2015

PHOTOGRAPHIE

Lyon, sans doute place des Jacobins, j'ai oublié.2 POIGNEE PORTE.jpg

dimanche, 26 avril 2015

PHOTOGRAPHIE

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Dans un musée dijonnais.

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Tout va mieux : le sauvetage de l'école française se poursuit dans la joie et la bonne humeur. La réforme du collège comporte des innovations décisives qui vont, personne n'en doute, améliorer prodigieusement le niveau des élèves (youkaïdi, youkaïda !). Najat Vallaud-Belkacem, fortement appuyée par Manuel Valls, va introduire au niveau du collège des options d'enseignement dans lesquelles les gamins pourront piocher au gré de leurs préférences (au gué, au gué !). C'est ainsi que sur le même présentoir, ils se verront offrir à égalité le latin, le grec et l'improvisation selon Jamel Debbouze. Enfin une décision politique fondamentale. Soyons convaincus qu'il s'agit d'un Progrès déterminant.

Alléluia !

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Dans le même temps, l'inépuisable ingéniosité lexicale des inventeurs de pédagogie s'en donne à cœur joie. On savait qu'en éducation physique, il ne fallait plus dire « ballon », mot vulgaire, devenu ringard et dépassé, mais « référentiel bondissant ». Dans ce domaine, l'innovation fait rage. En technologie, les cycles scolaires délivrent un enseignement « de manière spiralaire et curriculaire ». De même, les élèves ne devront plus « nager », mais « traverser l'eau en équilibre horizontal par immersion prolongée de la tête ». Mais surtout pas dans une piscine, mais dans un « milieu aquatique profond standardisé ». Bravo : « piscine », ça fait antédiluvien, tout le monde est d'accord. Tout ce langage limpide émane du Conseil supérieur des programmes. 

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On ne peut pas dire que les fonctionnaires du ministère de l'Education nationale sont payés à rien foutre, où ceux qui partent en avance croisent ceux qui arrivent en retard. Ils travaillent même d'arrache-pied. 

Vous savez quoi ? 

L'école française est sauvée.

vendredi, 24 avril 2015

PHOTOGRAPHIE

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jeudi, 23 avril 2015

PHOTOGRAPHIE

 

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Lyon, quelque part dans la presqu'île.

mercredi, 22 avril 2015

LES GALETS DE MARC AVERLY

Marc Averly est un passionné du travail du bois. Les beautés de la matière sont une source inépuisable de joie sensorielle. Ci-dessous de haut en bas, on trouve le noyer noir, le sapin gutte, le filaire, le wenge, l'oranger des osages et le hêtre.

Marc Averly vous dira tout, si vous lui demandez gentiment, sur l'oranger des Osages. Que les Osages sont une tribu amérindienne. Que l'Osage est un affluent du Mississipi. Que le fruit de cet oranger, qui se rabougrit drôlement quand on le fait sécher, est impropre à la consommation, et qu'il produit une espèce de latex qui jaunit au contact de l'air.

Pour ce qui est du wenge (le plus sombre de la série), je connais un joueur de oud dont les lamelles de la caisse de l'instrument (fabriqué par un maître de la lutherie tunisienne) sont façonnées dans cette essence. Il paraît que c'est rare, parce que difficile.

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Sculpture, agencements, objets, aménagements, tout est bon dans le bois pour faire flèche. Il s'appelle MARC AVERLY (on peut cliquer, pour 6'52", en oubliant la niaiserie de Noëlle Bréham).

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mardi, 21 avril 2015

LA LUMIÈRE AU TRAVAIL

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Image simplement recadrée. 

dimanche, 19 avril 2015

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samedi, 18 avril 2015

FACE ET PROFIL

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Je ne m'en lasse pas, de cette tête en verre de chez Kosta Boda.

Eh oui, que voulez-vous, je n'y peux rien : « La Treizième revient... C'est encor la Première ».

Gérard de Nerval

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lundi, 13 avril 2015

LA LUMIÈRE ET LES OBJETS

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dimanche, 12 avril 2015

LA LUMIÈRE ET LES OBJETS

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samedi, 11 avril 2015

C'EST VRAIMENT LE PRINTEMPS

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vendredi, 10 avril 2015

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Un recadrage est l'unique modification apportée à ces images.

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 Oui, je sais, il faudrait que je vous dise ce que c'est.

Mais voilà ....

jeudi, 09 avril 2015

UNE PETITE GUEULE BIEN SYMPATHIQUE

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Je ne me lasse pas de l’infinie variété des façons qu'invente sans cesse la lumière pour traverser ce simple objet en verre, sorti de la fabrique Kosta Boda, que quelqu’un que j’aime m’a offert il y a quelques années.

Moralité du jour : « Les amoureux du Bien Public avaient des p'tites gueules bien sympathiques ». Requiescant in pace.

Merci Tonton Georges. Et avec mes excuses.

jeudi, 02 avril 2015

PHOTO-GRAPHISME

 

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Image sans autre retouche que le recadrage.

samedi, 28 mars 2015

UNE GUEULE BIENVEILLANTE

QUELQUES FIGURES (PRESQUE) HUMAINES 2

Barong est un bon dieu : il combat éternellement la déesse du Mal. Elle s'appelle Rangda. Mais ça date de bien avant l'arrivée de George W. Bush, vous savez, ce cinglé qui s'est mis à la tête de la « Croisade » contre « L'Axe du Mal ».

Et puis par ailleurs, je pose la question : qu'attendent les féministes (vous savez, ces combattantes de L'Empire du Bien selon Philippe Muray) pour monter à l'assaut de ces traditions balinaises, odieuses, archaïques, dépassées, patriarcales, et pour tout dire sexistes et machistes (pour faire bonne mesure), qui osent faire d'une femme le principe du Mal ? Il faut en finir avec les hommes primitifs. Qu'attend la Civilisation pour y mettre bon ordre ?

La femme tant aimée, à laquelle Baudelaire adressait ce compliment : 

« Oui, telle vous serez, ô la reine des grâces,

Après les derniers sacrements,

Quand vous irez, sous l'herbe et les floraisons grasses,

Moisir parmi les ossements ».

Il est vrai que c'est le même qui écrivait ailleurs : « La femme est bien dans son droit, et même elle accomplit une sorte de devoir en s'appliquant à paraître magique et surnaturelle ; il faut qu'elle étonne, qu'elle charme ; idole, elle doit se dorer pour être adorée. Elle doit donc emprunter à tous les arts les moyens de s'élever au-dessus de la nature pour mieux subjuguer les cœurs et frapper les esprits ».

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vendredi, 27 mars 2015

UNE BONNE BOUILLE

QUELQUES FIGURES HUMAINES 1

Oui, une bonne bouille, sculptée dans un beau morceau de racine (lui-même sculpté par les eaux), par un des hommes du village d’Oberammergau en Bavière qui participe, comme 2000 autres habitants, chaque année en 0, au spectacle qui perpétue par tradition la représentation de la Passion du Christ, depuis 1634. Le spectacle est intitulé le « Jeu de la Passion ». 

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mardi, 24 mars 2015

LA TORTUE DESSUS-DESSOUS

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