mercredi, 05 août 2015
LYON EN 1956
C'est les vacances, le droit à la paresse. J'ai programmé le pilote automatique. A partir d'aujourd'hui, on trouvera ici un coup d’œil jeté dans le rétroviseur de la ville de Lyon (et territoires circonvoisins). Tout Lyonnais de Lyon (ou d'ailleurs) sera à même, au fil des jours, de mesurer de quelle façon le temps s'est écoulé. Malheureusement, le format des photos ne m'a pas permis de les faire figurer en entier. Ces photos sont loin d'être inconnues, je le précise.
J'ai quand même fait l'effort, avant d'aller me reposer, d'agrémenter chaque photographie d'une sentence, choisie parmi les plus délectables qu'un certain Catherin Bugnard (à l'existence elle-même incertaine) a rassemblées au sein de sa Plaisante sagesse lyonnaise, un classique, quoique le bouquin soit vraiment minuscule, en taille et en nombre de pages. Il est riche en substance. Ça compense.
«Tout le monde peuvent pas être de Lyon. Il en faut ben d'un peu partout.»
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LA COLLINE DE FOURVIÈRE ET LA SAÔNE
(comme on voit, il y avait encore le pont du Change, entre la place du même nom et la place d'Albon, qui butait sur l'église Saint-Nizier. Le pont Alphonse-Juin qui l'a remplacé fait face à la rue Grenette, qui traverse la presqu'île : c'est un peu plus "logique")
Mes excuses : je ne suis pour rien dans la pollution de l'image ci-dessous par les mille petits étrons qui la souillent. L'image ci-dessus, quant à elle, est fournie sans parasites.
09:00 Publié dans LYON | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : lyon, lyonnais, canuts, fourvière, catherin bugnard, la plaisante sagesse lyonnaise, photographie
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