dimanche, 28 août 2016
UNE PHOTO POUR L'ÉTÉ
"Matières, textures, strates, reliefs, surfaces et autres aspects" - XII.
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Un indice demain.
Photographie Frédéric Chambe (15 août 2016).
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samedi, 27 août 2016
UNE PHOTO POUR L'ÉTÉ
"Matières, textures, strates, reliefs, surfaces et autres aspects" - XI.
Bois.
Photographie Frédéric Chambe.
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vendredi, 26 août 2016
UNE PHOTO POUR L'ÉTÉ
"Matières, textures, strates, reliefs, surfaces et autres aspects" - X.
Tôle.
Photographie Frédéric Chambe.
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jeudi, 25 août 2016
BAUDELAIRE À LYON
Les amateurs des Fleurs du Mal, les spécialistes de la question, les professeurs de Lettres le savent : Baudelaire est passé par Lyon. Il y a même demeuré de 1833 à 1836 : le lieutenant-colonel Aupick, qui a épousé sa mère restée veuve, est en poste dans la ville. En 1834-1835, Charles est élève en classe de troisième, interne au Collège Royal de Lyon (aujourd’hui lycée Ampère). S’il ne brille pas parmi les « premiers-de-la-classe », il n’est pas mauvais élève. La preuve, c'est qu'à la fin de l’année scolaire, il obtient quelques récompenses (qui ne l'empêcheront pas de redoubler sa troisième l'année suivante à Paris, au collège Louis-le-Grand).
A cette époque d' "obscurantisme moyenâgeux", le romantisme dévoyé d'un Prévert n'avait pas encore élevé le cancre à la dignité de héros moderne et de modèle à suivre. A cette époque d' "arrogance élitiste", un égalitarisme intégriste et fanatisé n’avait pas encore causé les ravages auxquels on assiste depuis quatre décennies, et qui ont ruiné le système éducatif républicain. A cette époque "bourrée de stéréotypes archaïques", on craignait si peu de reconnaître les mérites scolaires des meilleurs élèves que ceux-ci étaient célébrés en fin d’année au cours de la cérémonie dite « Distribution des Prix », cette vieillerie que mai 68 a jetée à la poubelle, en même temps que les insupportables « chaires » et autres estrades, qui soulignaient par trop l'imméritée supériorité du maître sur l'élève. Le Collège Royal de Lyon avait même si peu honte qu'il faisait imprimer la liste de ceux qui méritaient le plus d’être distingués. C’était l’imprimeur Boursy, rue de la Poulaillerie (où se situe aujourd’hui le musée de l’imprimerie), qui était chargé de la fabrication de ce "tableau d'honneur".
C’est ainsi que le nom de Charles Baudelaire, en ce jour solennel du 28 août 1835, fut prononcé à six reprises, dans autant de disciplines :
« Thème »,
« Version latine »,
« Vers latins »,
« Version grecque »,
« Arithmétique »
et « Dessin » (spécialité « Figures », les deux autres étant « D'après nature » et « Académies »).
Certaines paraîtront aller de soi, d’autres sembleront plus surprenantes. Quant au dessin, il sera une évidence aux familiers de cette partie de son œuvre où le poète se livre à la critique artistique.
Ce n’est qu’un document, à peine une anecdote ; c'est, si l'on veut, de l'histoire littéraire abordée par son tout petit côté. Pourtant cela me fait quelque chose de voir imprimé noir sur blanc le nom de Charles Baudelaire adolescent (il a 14 ans), dans ce mince volume que je tiens dans la main,
où ont été reliés (demi-basane rouge) les tableaux d'honneur de 1835 et 1836 d'un grand lycée de province. Il ne me semble pas indifférent de pouvoir toucher du doigt un témoignage, si modeste soit-il, du passage d’un tel génie dans notre ville (il n'engloba pas celle-ci dans la même aversion que celle dont le nom d'Aupick était pour lui l'objet. On raconte qu'il criait, sur les barricades de 1848 : « Fusillez le général Aupick ! »). J'ai l'impression de parvenir à lui par une voie facile et proche (si j'ai obtenu un premier prix de version latine [au royaume des aveugles ...], j'ai toujours été infoutu de composer des vers latins), mais inconnue du plus grand nombre.
C'est un privilège.
Voilà ce que je dis, moi.
Note : j'aurais pu faire figurer dans ce billet les noms des trois élèves de cette classe de troisième (« Professeur, M. Carrol ») qui jouent les Usain Bolt pour truster les médailles. Je les mentionne pour mémoire : Benjamin Marcouire, de Montpellier, élève interne, vainqueur toutes catégories, qui revient à sept reprises, dont cinq sur la plus haute marche du podium (« Excellence »,« Thème », « Version », «Vers latins » et « Histoire ») ; Nestor de Songeon, de Bourgoin, élève interne, huit fois cité, mais plus souvent en position de Poulidor ; Jean-Jacques Hardouin, de Lyon, élève interne, excellent "troisième couteau", dont le nom apparaît cinq fois. On trouve encore les noms d'Auguste Blanc, Marius Ginoyer, Eugène Turin, Jean-Baptiste Gérentet, Victor Boisset, Décius Giamarchi (de Vescovato, Corse).
Figure aussi un certain Dominique Barnola (« de Lyon, pension Champavert ») qui me rappelle les monstrueux chahuts que, élèves de 2de dans les antiques bâtiments de ce même lycée Ampère, nous avions fait subir au nouveau professeur de physique-chimie, qui portait ce patronyme, pour étrenner sa première année d'enseignement (dévissage intégral des plateaux - en bois - et des pieds - en fonte - des tables, entre autres, avec les conséquences qu'on peut imaginer). Nous retrouvant à la rentrée suivante, il s'était cruellement vengé, en crucifiant dans les trois premières minutes du premier cours notre camarade Pons, beaucoup moins méchant que nous autres, mais pas assez "discret" (ce qu'on appelle "faire un exemple"). Cette année-là, il fut tranquille. Comme quoi ...
09:05 Publié dans LITTERATURE, LYON | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : charles baudelaire, lyon, poésie, lycée ampère, général aupick, baudelaire à lyon, collège royal de lyon, éducation nationale, najat valaud-belkacem, jacques prévert, distribution des prix, littérature, les fleurs du mal, littérature française
UNE PHOTO POUR L'ÉTÉ
"Matières, textures, strates, reliefs, surfaces et autres aspects" - IX.
Béton, peinture.
Photographie Frédéric Chambe.
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mercredi, 24 août 2016
UNE PHOTO POUR L'ÉTÉ
"Matières, textures, strates, reliefs, surfaces et autres aspects" - VIII.
Bois, traces de papier-colle.
Photographie Frédéric Chambe.
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mardi, 23 août 2016
UNE PHOTO POUR L'ÉTÉ
"Matières, textures, strates, reliefs, surfaces et autres aspects" - VII.
Béton, peinture.
Photographie Frédéric Chambe.
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lundi, 22 août 2016
UNE PHOTO POUR L'ÉTÉ
"Matières, textures, strates, reliefs, surfaces et autres aspects" - VI.
Métal.
Photographie Frédéric Chambe.
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dimanche, 21 août 2016
VU A LA CROIX-ROUSSE
Photographie Frédéric Chambe, 19 août 2016.
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samedi, 20 août 2016
UNE PHOTO POUR L'ÉTÉ
"Matières, textures, strates, reliefs, surfaces et autres aspects" - V.
Pierre, ciment, bois.
Photographie Frédéric Chambe (juillet 2016).
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vendredi, 19 août 2016
UNE PHOTO POUR L'ÉTÉ
"Matières, textures, strates, reliefs , surfaces et autres aspects" - IV.
Métal.
On arrive à lire "FIG" (c'est d'un bateau qu'il s'agit).
Photographie Frédéric Chambe (2014).
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jeudi, 18 août 2016
UNE PHOTO POUR L'ÉTÉ
"Matières, textures, strates, reliefs, surfaces et autres aspects" - III.
Photographie Frédéric Chambe.
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mercredi, 17 août 2016
UNE PHOTO POUR L'ÉTÉ
"Matières, textures, strates, reliefs, surfaces et autres aspects" - II.
Papier.
Photographies Frédéric Chambe.
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mardi, 16 août 2016
UNE PHOTO POUR L'ÉTÉ
"Matières, textures, strates, reliefs, surfaces et autres aspects" - I.
Béton, peinture craquelée, résidus de pots d'échappement.
Photographie Frédéric Chambe.
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lundi, 15 août 2016
UNE PHOTO POUR L'ÉTÉ
Dans la série "Verroteries".
Deux détails d'une vitrine particulièrement méritante, courageuse et résistante.
Photographie Frédéric Chambe (août 2016).
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dimanche, 14 août 2016
UNE PHOTO POUR L'ÉTÉ
Dans la série "Verroteries".
Ou : "Mon art abstrait".
Photographie Frédéric Chambe (août 2016).
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samedi, 13 août 2016
UNE PHOTO POUR L'ÉTÉ
Dans la série "Verroteries",
ou encore "Mon art contemporain".
Photographie Frédéric Chambe.
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vendredi, 12 août 2016
JOURNALISTES MINABLES
LE JOURNALISTE POLITIQUE EST UN MINABLE
Les pauvres gens, vraiment ! On a pitié d'eux en les voyant se précipiter, le doigt sur la couture du pantalon, au moindre claquement de doigts de nos "hauts responsables politiques". Prenez François Hollande ou Nicolas Sarkozy, c'est kif-kif la même chose. Convoqués, les journalistes politiques accourent, se mettent au garde-à-vous et répondent en chœur : « Chef ! Oui chef ! », comme les bidasses face au "sergent La Terreur" de Full metal jacket. Même si les pisse-copie, eux, sont à l'affût des propos tenus « off the record », attendant comme le messie la petite révélation qui leur permettra de tartiner, le résultat est le même : ils sont "aux ordres".
Hollande revient des JO et glisse quelques "confidences savamment dosées" dans l'oreille des folliculaires aux ordres, bidasses de la presse française, trop honorés d'avoir été admis dans l'avion du général en chef ? Echo garanti maximum, chers téléspectateurs et néanmoins (on le dit) citoyens !
Les intentions qui transparaissent dans les confidences, les discours, les déclarations de François Hollande peuvent-elles sérieusement être considérées comme des événements ? Des actions dont tout bon journaliste se fait naturellement un devoir de rendre compte ?
Sarkozy "donne" une interview "choc" à une revue classée à droite de la droite (prière de noter le "positionnement" sur la carte électorale), où il remet en cause le droit du sol ? Echo maximum garanti, chers gogos électeurs et néanmoins (paraît-il) citoyens !
Les intentions qui transparaissent dans les déclarations et les interviews de Nicolas Sarkozy peuvent-elles être sérieusement considérées comme des événements ? Des actions dont tout vrai journaliste a évidemment à cœur de rendre compte ?
La réponse aux deux questions ci-dessus est NON.
Le journaliste politique se moque éperdument d'informer : il se goinfre et se repaît (et nous gave) de mots, de discours, de "petites phrases". Le journaliste politique s'efforce désespérément de transformer le monde virtuel où grenouille le marigot parisien en monde réel. Toute une entreprise (politiciens, journalistes, sondeurs, politologues, tous complices) travaille à donner corps et consistance à des ectoplasmes, tout comme des photographes astucieux donnaient corps à des apparitions fantomatiques, vers la fin du XIX° siècle. Une entreprise d'illusionnistes.
En vérité, une entreprise de mystificateurs.
Pour montrer qu'il a tout compris, voulant passer pour un fin analyste de la chose, en bon faire-valoir, le journaliste politique invite en effet toutes sortes de politistes, politologues et autres directeurs d'instituts de sondage, pour s'efforcer de percer à jour les intentions des uns et des autres. Les VRP multicartes de la discipline se bousculent aux portillons des antennes : Stéphane Rozès, Roland Cayrol, Brice Teinturier et compagnie pour venir jouer les "madame Irma".
Le journaliste spécialisé en politique intérieure et le journaliste sportif se ressemblent comme deux gouttes d'eau : ce dernier suppute les chances d'untel de faire cadeau à la France d'une médaille d'or, quitte, le lendemain de la défaite, à remâcher les espoirs déçus. Le journaliste politique dessine quant à lui la figure des lendemains qui nous attendent, quitte, le lendemain, à se déjuger sans vergogne en soutenant qu'il avait raison d'avoir tort. Alors que son tort principal est de faire semblant de considérer comme une "information" indispensable un propos qui n'est qu'une rumeur, que celui qui le tient voudrait bien voir considérée comme une vérité. Tant que le journaliste politique n'a pas renoncé à appeler la propagande par son nom, il se condamne à n'être qu'une chambre d'écho de celle-ci. Tant qu'il accepte de participer à ce petit jeu, qu'il le veuille ou non, il en est le complice. Il est le gardien vigilant du système à la conservation duquel il travaille.
Pauvre engeance, en vérité, que ces corbeaux plumitifs, que les vieux renards de la politique - vieux poissons, gros reptiles, perdreaux de l'année qui se rêvent en volatiles aguerris, ... -, font semblant de flatter (« Que vous me semblez beau ! »), pour mieux s'essuyer les pieds sur leur conscience, les mettre à leur service et "faire passer leurs messages".
Le journaliste politique aujourd'hui est un minable par fonction : c'est juste une antenne-relais, dont le rôle objectif consiste à perpétuer un système factice, moribond, vide de toute substance de vérité. Un propagandiste asservi à la tâche misérable de prodiguer les soins palliatifs à l'organisation politique de la France. Un urgentiste sommé de donner les apparences de la vie à une momie. Un « storyteller » avide de débiter les belles histoires féodales (adoubements et allégeances, fiefs électoraux, suzerains et vassaux, pieds à l'étrier, dynasties, ...) qui animent et déchirent les deux mafias rivales qui se disputent le gâteau "FRANCE".
Quelle pauvre presse, en vérité, qu'une presse gastéropode ! Heureusement, l'estomac des journalistes politiques n'est pas hérissé de pointes acérées comme la coque des oursins : les parquets des palais de la "République" n'y résisteraient pas longtemps.
Voilà ce que je dis, moi.
Note : si je ne parle pas d'un autre parti, que la rumeur (je veux dire les sondages) voit poussé irrésistiblement par un vent qui lui souffle en plein dans la poupe, c'est tout à fait intentionnel : on essaie de nous vendre comme un produit nouveau une vieille mécanique boutiquière, au prétexte que ce parti bousculerait les "lignes". Que ce parti bouscule les deux autres, je veux bien, mais dans le paysage politique sinistré de la France, il a tout l'air du petit malfrat qui vient marcher sur les plates-bandes des deux "familles" installées pour se faire une place au soleil. Je veux dire que le Front National est, dans ses visées comme dans ses façons de faire, sous ses airs de chien dans le jeu de quilles, une copie conforme du parti socialiste et de "les républicains", dont il est juste une caricature, qui a le seul défaut de ne pas bénéficier de la patine suave et veloutée que procure l'exercice du pouvoir dans la longue durée.
09:05 Publié dans DANS LES JOURNAUX | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : politique, france, société, françois hollande, nicolas sarkozy, journalistes, journalisme, journal le monde, journal libération, journal le figaro, journal valeurs actuelles, politologues, politistes, instituts de sondage, stéphane rozès, parti socialiste, parti les républicains, ump, front national, jean-marie le pen, marine le pen, marion maréchal le pen
UNE PHOTO POUR L'ÉTÉ
Dans la série "Verroteries".
Photographie Frédéric Chambe (juillet 2016).
09:00 Publié dans PAS PHOTOGRAPHE MAIS | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : photographie
jeudi, 11 août 2016
UNE PHOTO POUR L'ÉTÉ
Dans la série "Verroteries".
Photographie Frédéric Chambe (juillet 2016).
09:00 Publié dans PAS PHOTOGRAPHE MAIS | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : photographie
mercredi, 10 août 2016
UNE PHOTO POUR L'ÉTÉ
Dans la série "Verroteries".
Photographie Frédéric Chambe (juillet 2016).
09:00 Publié dans PAS PHOTOGRAPHE MAIS | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : photographie
mardi, 09 août 2016
UNE PHOTO POUR L'ÉTÉ
Dans la série "Verroteries".
Photographie Frédéric Chambe (juillet 2016).
09:00 Publié dans PAS PHOTOGRAPHE MAIS | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : photographie
lundi, 08 août 2016
DANS UN ALBUM ANCIEN
Lieu et date non identifiés (Vichy ?).
Claudius Couton, photographe (sic ! mais c'est le cheval qui a bougé) à Vichy.
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dimanche, 07 août 2016
UNE PHOTO POUR L'ÉTÉ
"Matières, textures, strates, reliefs, surfaces et autres aspects" - VI.
Pierre, ciment.
Photographie Frédéric Chambe (juillet 2016).
09:00 Publié dans PAS PHOTOGRAPHE MAIS | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : photographie
DANS UN ALBUM ANCIEN
Lt. Maurice Roux.
Alphonse Bernoud, photographe à Lyon.
09:00 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : photographie, lyon, photos anciennes, alphonse bernoud