samedi, 23 mai 2020
EXPÉRIENCE ...
... PHOTOGRAPHIQUE.
Photo non recadrée.
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jeudi, 21 mai 2020
LES AFFAIRES ONT REPRIS
L'action se passe rue Boussange (69004).
Là, c'était avant, quand les lieux ne servaient à presque rien de franchement utile et à presque personne de vraiment important.
Là, à 6000€ le m², ça va sûrement servir à quelques importants (état du chantier au 4 mai 2020).
Là, on voit que le promoteur ne plaisante pas. Je passe sur l'édification des immeubles projetés. Presque toute la couleur verte de la photo Google est promise à disparition, mais ils vont peut-être garder le cèdre (la couleur ne trompe pas les connaisseurs).
J'attire juste votre attention, ci-dessus, sur la bande de terre qui sépare le chantier des immeubles anciens, dont le côté "cour" est limité par un haut mur (visible au sud de la petite verrière). Une bande de terre qui, elle non plus, ne sert à rien ni à personne (je plaisante). En fait, c'est un creux, peut-être le fossé des anciens remparts qui protégeaient Lyon des ennemis venus du nord en général et de Caluire-et-Cuire en particulier (commune limitrophe). C'est là-dessus que je braque mon objectif.
Ci-dessous le mur qui sépare la bande de terre de la rue Boussange, mur caché - à droite - sur les photos Google. L'indispensable Café de la Crèche est voisin immédiat.
La brosse métallique a déjà clarifié le terrain, et la disqueuse a déjà tracé les contours de ce qu'il faudra enlever.
Voilà ce que ça donne, l'ancienne bande de terre qui ne servait à rien, quand la future porte des garages est ouverte. Il faut tenir le mur qui tient le mur de séparation. L'immeuble du fond arrive à son quatrième étage. Je pense aux habitants des immeubles anciens (à droite), qui voyaient quelque chose d'agréable de leurs fenêtres.
Une couverture pour garder au chaud (pour boucher, aussi) : on ferme.
Plus qu'à attendre que ça tienne. On est dans le dur de la réalité.
La Croix-Rousse ? En route vers la modernité moderne, on vous dit !
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mercredi, 20 mai 2020
EXPÉRIENCES ...
... PHOTOGRAPHIQUES.
Ou :
Du fémur approximatif radiographié en couleur à l'IRM d'un gros intestin préoccupé de son microbiote, en passant par l'ADN d'une asperge officinale en état de marche au supplice.
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mardi, 19 mai 2020
QUE C’ÉTAIT CHOUETTE, ...
... LE CONFINEMENT, ....
... POUR LES PIGEONS.
Celui-ci paradait au beau milieu d'une rue passante, le 3 mai, entre 15h14' et 15h15'. C'était le bon temps. Que c'est beau, une société, quand elle s'arrête. Quelle éclatante démonstration de la prescience du grand écrivain Alexandre Vialatte, qui écrivait :
« On n'arrête pas le progrès : il s'arrête tout seul ».
Oui, mais voilà, ... on commence à entrevoir, une semaine après le déconfinement, que c'est Houellebecq qui avait raison : si la société s'arrête un peu trop, rien ne va plus, on sait que ce qui va arriver sera plus pire, beaucoup plus pire, très très pire, de plus en plus pire. Si ça reprend comme avant au bout d'un temps raisonnable, ce sera simplement la même chose,
« en un peu pire ».
Houellebecq a nécessairement raison. C'est ça, être réaliste. Contrairement à ceci :
Quand Gébé avait inventé son utopie de L'An 01, avec son slogan
« ON ARRÊTE TOUT. ON RÉFLÉCHIT. ET C'EST PAS TRISTE. »,
il n'avait pas prévu que ce jour arriverait effectivement. Il n'avait pas prévu non plus que ce serait dû à l'extrême malignité d'un virus. Il avait déjà moins prévu que les foules seraient loin d'adhérer à l'idée de renoncer à leurs objets et à leur train-train habituel. Ni qu'ils n'auraient rien de plus pressé, pour des raisons compréhensibles, que de reconstituer leur paysage familier d'avant le confinement.
Il aurait encore moins pu prévoir que tous les penseurs, tous les intellectuels, tous les spécialistes de sciences humaines appliqueraient avec enthousiasme la deuxième partie du slogan pendant toute la durée du confinement, au point de saturer l'air ambiant de toutes sortes de vapeurs imaginaires, d'ectoplasmes "prémonitoires" et de fragrances tout droit venues de l'île d'Utopia, l'incroyable Non-Lieu - sens précis - inventé par Thomas More. Ah ça, on peut dire que ça a phosphoré dans les boîtes crâniennes "autorisées". Avec un "succès" que l'on commence à mesurer.
09:02 Publié dans PAS PHOTOGRAPHE MAIS | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : coronavirus, covid-19, sars-cov-2, condinement, déconfinement, michel houellebecq, gébé, l'an 01, on arrête tout on réfléchit et c'est pas triste, alexandre vialatte, thomas more l'utopie, photographie, zoologie, pigeons
lundi, 18 mai 2020
PHOTOGRAPHIE
Vue sur la salle du restaurant, avec rétro-éclairage de la rue Dumenge, à 18h25', le 17 mai 2020 (je vous dis tout, sauf le nom du restaurant, dont la carte est un peu tarabiscotée à mon goût).
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dimanche, 17 mai 2020
MON MUSÉE AFRICAIN
Dogon.
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jeudi, 14 mai 2020
MON MUSÉE PRIMITIF
L'ESTHÉTIQUE SUPÉRIEURE DES RAVAGES DU TEMPS.
Maya.
De toute beauté.
On appelle ça un "bois raviné par le temps et les intempéries" (voir 26 avril et 7 mai).
Je n'ai rien à dire. Je contemple.
Je suis touché de la même manière quand j'écoute Billie Holiday, dont la "voix ravinée par les intempéries" m'enchante (Songs for distingué lovers). J'y entends une vie qui n'a pas été un long fleuve tranquille.
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mardi, 12 mai 2020
L’ŒUF DANS SA NUDITÉ
9 mai 2020 à 13 heures 54.
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dimanche, 10 mai 2020
MON MUSÉE AFRICAIN
Couple Tellem, falaise de Bandiagara (Mali), sans doute bien avant les Dogon : voir l'article de Bernard de Grunne "La sculpture classique Tellem", dans la revue Arts d'Afrique noire, n°88, hiver 1993. "Tellem", en langue Dogon, veut dire : "Nous les avons trouvés". J'ai choisi, pour garder un minimum de netteté sur l'essentiel (la "croûte"), de ne montrer que les "visages". L'objet entier est haut de 42 centimètres. Ci-dessous la double statuette.
Etonnant, non ?
Moi, ce qui me renverse, ici, en dehors des proportions fantasmatiques de cette représentation d'un couple humain, c'est l'incroyable "croûte" accumulée au cours du temps sur le bois. On y trouve, dit la notice, de la fiente de chauve-souris, de la cire d'abeille et du sang sacrificiel. Sans parler de ce qu'on ne sait pas.
Bernard de Grunne, dans son article, évoque quant à lui l'étrange croûte caractéristique des statues Tellem, qu'on ne retrouve pas exactement sur la statuaire Dogon : « ... couche uniforme de patine sèche, croûteuse, crevassée de couleur généralement brun clair et recouvrant entièrement la statue ». L'auteur de l'article émet l'hypothèse que cette patine unique dans la statuaire africaine est obtenue par immersion totale de l'objet votif dans le liquide sacrificiel. Ci-dessous un village Dogon à l'abri de la falaise de Bandiagara.
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vendredi, 08 mai 2020
MON MUSÉE AFRICAIN
Encore un incroyable contraste entre les surfaces, les aspects et les lignes. Je ne sais pas pourquoi ça me fait penser au Japon de Tanizaki Junichiro (quelques pages d'Éloge de l'ombre, peut-être ?).
Bamileke.
***************
J'apprends que 92 % des décès dus au Covid-19 concernent des personnes de plus de 65 ans. J'en ai 72. Est-ce grave, docteur ?
Question : quel pourcentage de personnes de plus de 65 ans sont mortes du Covid-19 ? Si je compte bien, 92 % de 25987 (chiffre officiel à la date du 7 mai), ça fait à peu près 23000 individus. Par rapport à ça, combien de millions de Français de plus de 65 ans ? Alors là, j'avoue que je suis un peu rassuré.
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mardi, 05 mai 2020
MON MUSÉE AFRICAIN
COMMENT J'AI PLONGÉ DANS L'ART AFRICAIN IL Y A UN DEMI-SIÈCLE.
***
Allez, aujourd'hui j'avoue, et je dénonce : voici la coupable.
Quand j'avais à peu près 18 ans, j'ai acheté, tout à fait par hasard, Les Arts de l'Afrique noire, un livre (un grand classique) de Jean Laude. La photo ci-dessus, reproduite ici telle que je l'ai découverte, m'a littéralement sauté à la figure.
On trouvait beaucoup d'autres objets reproduits dans les pages du bouquin, dont beaucoup d'intéressants et quelques-uns tout à fait remarquables, mais ce masque-ci, avec le contraste entre la pureté des lignes du visage et le cisèlement raffiné du décor où il s'insère, j'en suis tombé raide amoureux. Et ça ne m'a pas lâché. C'est de l'ivoire et ça mesure 24,5cm. C'est un "masque de ceinture". C'est dans les collections du British Museum, qui a fourni la photo à l'auteur du livre, selon la légende du cliché imprimé.
J'ai retrouvé cet objet fascinant dans les pages de l'énorme L'Art africain de Jacques Kerchache-Jean-Louis Paudrat [un élève de Jean Laude]-Lucien Stephan (éditions Citadelles, 1988), avec cette fois une photo techniquement parfaite et superbement imprimée.
Oui, mais on voit très vite, au dessin et à l'état du collier, à la conformation des yeux, malgré les "scarifications" quasi-identiques et à divers détails (on pourrait lancer un jeu des sept erreurs), que ce n'est justement pas le même objet. Celui-ci se trouve en fait au Metropolitan Museum de New York.
Et revoici le masque du haut, tel qu'on en trouve aujourd'hui la photo sur le site du British Museum. A chacun de contempler à sa guise ces joyaux de la sculpture mondiale qui ont vu le jour au royaume de Bénin (Nigéria) entre le 15ème et le 16ème siècles. Il est très vraisemblable que ces deux renversantes œuvres d'art ont été façonnées par la main d'un seul et unique artiste, qui n'a rien à envier à un certain Michel-Ange qui vivait, en gros et à peu près, à la même époque.
J'ai ensuite élargi tant soit peu le cercle de mes centres d'intérêt en matière d'art primitif, peuplant mon musée imaginaire de nombre d’œuvres admirables ou simplement curieuses ou intéressantes. Mais je garde bien en vue, au sommet de ma hiérarchie esthétique, le souvenir de ce chef d'œuvre indépassable, dont on trouve encore une photo brutalement éclairée dans un "hors-série" de Télérama paru en 2000 "Les arts premiers entrent au Louvre".
***
« Elle est la dernière que l'on oubliera,
La première fille qu'on a tenue dans ses bras ».
Tonton Georges.
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lundi, 04 mai 2020
MON MUSÉE AFRICAIN
Surtout pas de commentaire.
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dimanche, 03 mai 2020
MON MUSÉE PRIMITIF
Ceci n'est ni une guitare, ni un violoncelle, mais une massue cérémonielle en os de baleine (38cm). Ce sont les Maori (Nouvelle-Zélande) qui ont donné vie à cette forme aux proportions et aux lignes absolument parfaites. Une merveille.
***
Oui, je sais, d'après les gendarmes du vocabulaire convenable, c'est très vilain de dire "primitif". Vous savez ce que je leur dis, aux gendarmes du vocabulaire convenable ?
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vendredi, 01 mai 2020
MON MUSÉE AFRICAIN
Beauté du contraste des surfaces et des lignes.
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jeudi, 30 avril 2020
MON MUSÉE AFRICAIN
Une certaine idée de la perfection formelle.
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mercredi, 29 avril 2020
POUR LE PREMIER 1er MAI CONFINÉ ...
... LAISSEZ TOMBER LE MUGUET : OFFREZ DES PELURES D'OIGNONS !
N'est-ce pas que c'est beau ?
Photo prise le 27 avril 2020, à 13 h 53'. J'espère qu'on a noté que l'oignon est parti, et qu'il n'en reste que la chemise.
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lundi, 27 avril 2020
MON MUSÉE AFRICAIN
Ayant cessé de penser (jusqu'à quand ?), je reviens à des amours esthétiques que j'ai trop longtemps négligées.
Ossyeba (Gabon), tête "Naja". Vous ne trouvez pas qu'il y a quelque chose d'inquiétant dans la forme et l'aspect de cet objet ?
Il semblerait que "Kota" soit l'ethnonyme englobant (le terme générique), et que "Ossyeba" et "Mahongwe" soient, selon les catalogues d'exposition et les catalogues de ventes, des variantes particulières. Quand on commence à regarder la question d'un peu près, on est effaré par la complexité de l'histoire des peuples africains : qu'il s'agisse de langue, de territoire, de coutumes, de formes artistiques ou de migrations (et je ne parle pas de la musique), l'écheveau semble indémêlable. Et on commence à comprendre pourquoi les Européens ont tant de mal à comprendre ce qui se passe en Afrique. Et pourquoi la notion d' "Etat" à l'européenne (à l'occidentale) a tant de mal à s'enraciner sur le "continent noir".
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dimanche, 26 avril 2020
MON MUSÉE AFRICAIN
Dans l'état d'apesanteur murmurante et confinée, dans cet univers en suspension dans le brouillard où j'ai cessé de penser et qui me sert en ce moment de cocon protecteur, je reviens à une très ancienne prédilection : la contemplation d'œuvres des arts primitifs (tout au moins de leurs photos, faute de "moyens"). Parmi mes préférences absolues, ce masque Baoulé (Côte d'Ivoire), haut de 60cm. Combien d'années a-t-il vécu au centre du village, en plein vent, à l'air libre et à la belle étoile ? Le temps qui a creusé la chair de l'ancêtre fait vivre le cœur battant de la beauté de cette œuvre.
Ne me demandez pas pourquoi cette œuvre (ou du moins sa photo) me fascine : pour moi, ça touche au sublime.
***
Retour à la réalité.
Me Jean-Louis Picard, en vue de la vente du 8 octobre 1991 à Drouot-Montaigne, estimait la "valeur" de ce masque dans une fourchette de 80.000-100.000 francs (≅ 15.000€). J'ignore la hauteur de l'adjudication.
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vendredi, 24 avril 2020
LE BOUT DU TUNNEL ?
L'espoir ?
Une lueur ?
La lumière ?
Le bout du tunnel ?
Juste contempler le zigzag de l'horizon.
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jeudi, 23 avril 2020
EN AVANT VERS LE TRICOLORE !
Bon, d'accord, le bleu est un peu sourd, le blanc est un peu sale, le rouge manque un peu d'éclat. Pas une raison pour douter de mon patriotisme.
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samedi, 04 avril 2020
PHOTOS DU CONFINEMENT
Le confinement n'a fait que développer et accentuer chez moi une pente naturelle : voir des choses intéressantes dans la banalité du décor le plus quotidien. Par exemple, je tiens (depuis 1980) de ma chère tante Marie-Thérèse, qui fut d'une piété impeccable et qui avait bon goût, un bénitier qui a ceci de particulier qu'y est figuré un tableau de Filippino Lippi (1457-1504), fils d'un curé dévergondé et peintre génial, Fra Filippo Lippi (1406-1469). On y voit une Vierge Marie agenouillée mains jointes devant un Jésus dodu et tout nu, et accompagnée d'un ange et de Saint-Jean Baptiste. Voici ce que ça donne quand la lumière se met à faire des siennes sur la surface curieusement modelée.
D'abord le thème de base.
A présent, les variations.
Les "artistes-plasticiens" à la mode d'aujourd'hui peuvent toujours s'aligner : la lumière et la réalité seront toujours les plus fortes.
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vendredi, 03 avril 2020
PHOTOS DU CONFINEMENT
THÈME ET VARIATIONS POUR PASSER LE TEMPS.
Tiens, on pourrait appeler ça : "Représentations de l'expansion du son dans l'espace après le coup de gong". Ou, pour complaire à quelques-uns, qui trouvent ce titre trop concret pour figurer de l'art contemporain : "Composition WBX18". Pour tout dire, je ne me prononce pas sur la pertinence. En revanche, je garantis que les couleurs sont authentiques.
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lundi, 30 mars 2020
DÉTAIL
09:00 Publié dans PAS PHOTOGRAPHE MAIS | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : photographie
samedi, 28 mars 2020
CORONAVIRUS : MASQUER LES MASQUES
09:00 Publié dans PAS PHOTOGRAPHE MAIS | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : photographie, confinement, coronavirus, covid 19, sras-cov-2
vendredi, 27 mars 2020
LE FOND DE LA CASSEROLE ...
... APRES LA CUISSON DES ARTICHAUTS.
***
Pendant le confinement, j'oublie la casserole sur le feu (ce n'est pas vraiment une habitude, mais...).
Recette : oublier la casserole avec son fond d'eau, et surtout ne pas éteindre le feu après la fin de la cuisson. Et puis ne plus y penser, jusqu'à ...
***
Détail 1 : une figure intéressante.
***
Détail 2 : les points de contact, après.
***
L'artichaut était délicieux, la sauce exacte et le cœur à point.
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