mercredi, 31 juillet 2013
JOURNAL DES VOYAGES 17
J’avais préparé une note où l’Islam était mise en scène, en pièces et en question. Une fausse manoeuvre l'a fait disparaître. En voici les traces.
J'en tirais des conclusions sur les carpettes. Surtout en regardant ce fidèle musulman qui se relève après le passage du cheval caparaçonnné du prophète.
Qui me faisait penser (j'ai mauvais esprit) à cette vignette de Tintin au pays de l'or noir, où Dupont laisse libre cours à sa fantaisie primesautière. De toute façon, il s'en prenait à un mauvais mahométant, puisqu'il n'officiait pas sur un tapis de prière digne de ce nom. Je citais ensuite Bérénice, à cause de l' « Orient désert» décrit par Antiochus (je crois que c'est à l'acte I.
Je concluais sur la supériorité génétique du menhir et de l'esprit gaulois sur le sable du désert, ajoutant, pour justifier la présence d'Obélix et d'Abraracourcix, que la soeur aînée de Cléopâtre se nommait précisément Bérénice.
« Dans un mois, dans un an, comment souffrirons-nous,
Seigneur, que tant de mers me séparent de vous ?
Que le jour recommence et que le jour finisse,
Sans que jamais Titus puisse voir Bérénice,
Sans que, de tout le jour, je puisse voir Titus ? »
Mais c'était après avoir cité quelques répliques géniales que Racine a placées dans la bouche de Bérénice elle-même, dans la pièce éponyme.
09:18 | Lien permanent | Commentaires (0)
Les commentaires sont fermés.