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vendredi, 12 juillet 2013

RECREATION

GRAVURE MODERNE POUR ILLUSTRER UNE OEUVRE D'ANDRÉA DE NERCIAT

(voir plus bas)

***

Comme j’ai un peu travaillé ces derniers temps pour alimenter mon espace de réflexion, je permets à mon petit théâtre de faire relâche. Je laisse la place, la parole ... et le reste à Betty Boop, ainsi qu'à deux ou trois figures connues des « comic strips » qui, avec le jazz, constituent le meilleur de ce qu'a jamais pu nous léguer l'Amérique. Il faut bien dire que, pour tout le reste ...

 

Pour que la source à laquelle les amateurs de ce blog font l'amabilité de venir s'abreuver ne se trouve pas brutalement tarie, comme la cyprine dans les parties autrefois amoureuses de la femme ménopausée (mais je sais qu'à cet égard, il y a des forces de la nature), et, en quelque sorte, pour qu’il n’y ait aucune rupture de ton avec la modeste série hautement ...

 

... philosophique des billets que je viens de consacrer à Michel de Montaigne et à ses Essais, j’ai décidé, pour alimenter mon marécage, de détourner un autre des affluents célestes du fleuve de mon inspiration. J’ai nommé : sa Majesté le CUL. 

 

Remarquez, certains des visiteurs de ce lieu ont-ils pressenti pareille parenthèse de haute abstraction, à la vue, hier, de telle gravure illustrant quelque édition moderne des Ragionamenti de Pierre Arétin, ...

 

... où la dame (consentante, voire frétillante) offrait avec une certaine impatience son orifice le plus ténu à la pénétration judicieuse de l’argument le plus masculin dont un homme puisse espérer faire sa figure de proue. 

 

Soudain, le souffleur apparaît, l'air d'un cadavre qui se meut et éclairé de biais, et s’adresse, sentencieusement, en aparté, au public : « Pour faire de pareilles phrases, il faut vraiment être resté sous l’influence d’Andréa de Nerciat, ou d’un quelconque de ses pairs et contemporains ».

POUR LA SOUPLESSE, RIEN NE VAUT LE YOGA

Le public reste sans réaction, ce nom n’éveillant aucun écho dans sa conscience. 

 

On le comprend : Andréa de Nerciat (1739-1800) n’est en effet plus guère connu aujourd’hui que pour Félicia ou mes fredaines, que l’on ne lit plus guère, même si l’on a bien tort, et que les messieurs atteints de certaine mollesse mal placée au moment fatidique feraient bien de potasser pour redresser leur barre avachie (voir photo incitative en en-tête).

 

Mais on en parlera une autre fois.

 

Voilà ce que je dis, moi.