jeudi, 26 mars 2020
FRATERNITÉ ASTÉRIX
GOSCINNY ET UDERZO, LES DEUX INSÉPARABLES.
René ΓΟΣΚΙΝΝΥ et Albert ΥΔΕΡΖΟ en bas-relief se traitant (en caractères grecs) de "despote" (ΔΕΣΠΟΤΗΣ) et de "tyran" (ΤΥΡΑΝΝΟΣ, dans Astérix aux jeux olympiques, p.29) : les auteurs ne sont pas spécialement analphabètes.
Ci-dessous, Uderzo s'est fait la gueule de Laverdure. Ça en dit long comme le bras à ceux qui connaissent.
(petit exercice de révision des classiques : fastoche, j'ai respecté l'ordre de parution des albums, ici il y en a vingt-quatre : ceux que les deux compères ont réalisés ensemble, avant que Goscinny lâche brutalement la rampe)
Mine de rien, le banquet final, c'est une vraie trouvaille. La fraternité, telle que la rêvent Goscinny et Uderzo, n'est pas un besoin : elle est une nécessité.
Moralité, les Français savent quel usage il faut faire de la surpopulation des sangliers, sanglochons et autre cochongliers : il faut les MANGER.
Si possible rôtis, ... et ensemble.
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J'aimerai diantrement être du festin quand tous les PERSONNELS DE SANTÉ pourront enfin souffler.
Juliette, tiens bon : le petit Macron vient de découvrir le monde, l'hôpital et sa basse réalité ! Il promet un PLAN MASSIF D'INVESTISSEMENT POUR L'HÔPITAL. Il l'a dit, il l'a promis, il s'est engagé. On verra ce qu'il en sera dans la basse réalité !
09:02 Publié dans BANDE DESSINEE | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : bande dessinée, astérix et obélix, les aventures d'astérix, albert uderzo, rené goscinny?personnels de santé, soignants, infirmiers, médecins, aides-soignants
mercredi, 25 mars 2020
ALBERT UDERZO N'EST PAS MORT ...
... SON ŒUVRE RESTE.
Les deux compères des Aventures d'Astérix (Astérix et la rentrée gauloise). Goscinny est mort le 5 novembre 1977.
On apprécie l'ambiance : vraiment "bretonne".
Le banquet final du Tour de Gaule d'Astérix. Tout un programme, et ... de circonstance.
Les deux compères présentant Obélisc'h à l'équipe de Pilote. Ils l'ont rencontré alors qu'il se promenait, lui aussi, sur les quais d'un petit port breton. Il ne se sépare jamais de sa "chose en pierre" qui "prend la place de deux personnes". Un très ancien parchemin (ci-dessous) rappelle les armoiries, ainsi que la fière devise de sa très illustre lignée.