vendredi, 21 octobre 2016
EFFLORESCENCE
Ce qu'il advient du vivant : mou et un peu gluant dans un premier temps (voir ici 12 octobre).
Photographie Frédéric Chambe.
« Quand de la chair que trop avons nourrie,
Elle est piéçà dévorée et pourrie,
Et nous les os devenons cendre et poudre.
Mais priez Dieu que tous nous veuille absoudre ».
F. V.
(Je n'oublie jamais que le poème commence par : « Frères humains ».)
09:05 Publié dans PAS PHOTOGRAPHE MAIS | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : photographie, poésie, françois villon, ballade des pendus
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