jeudi, 08 novembre 2018
3/8 VOUS AVEZ DIT "CENTENAIRE" ?
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J'ai gardé de l'amitié pour une autre photo prise pendant la même marche Metz-Verdun de 1976. Une photo moins "signifiante" d'un certain côté, bien que ce ne soit pas sûr, mais qui fait revivre un personnage que j'ai beaucoup aimé, moi qui n'ai jamais vraiment habité Paris. Un personnage qui fut une personnalité, clochard magnifique, candidat cycliste à la mairie de Paris, harangueur de foule. Je veux parler d'Aguigui Mouna. Je ne dirai rien de la carriole poussée par le camarade Dupont (son vrai nom, et André, son vrai prénom), ni de ce qui était inscrit sur ses flancs, ni des gamins véhiculés, ni ...
Je l'avais retrouvé le même été, toujours sémillant, autour de la centrale de Creys-Malville (un surgénérateur en construction, contesté, puis abandonné), tenant compagnie, face aux gendarmes mobiles, à Lanza del Vasto. Mouna était un indécrottable idéaliste, pacifiste, antinucléaire, anarchiste, etc., capable d'entonner ex abrupto le célèbre refrain du trio Leclerc-Vigneault-Charlebois : « Quand les hommes vivront d'amour, Il n'y aura plus de misère, Les soldats seront troubadours, Mais nous, nous serons morts, mon frère » (2'27" ci-dessous), et dans la foulée de faire scander par les gens attroupés : "Les-soldats-troubadours-Les-soldats-troubadours !".
Aujourd'hui, on peut penser ce qu'on veut de ce qui, rétrospectivement, peut apparaître comme un entêtement dans la rêverie éveillée et le monde enfantin de la paix universelle réalisée. Je ne me prive pas d'en penser ce que je veux. Je suis devenu un peu réaliste. Et j'ai cessé de rêver d'un paradis.
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mercredi, 07 novembre 2018
2/8 VOUS AVEZ DIT "CENTENAIRE" ?
EN MONTANT A DOUAUMONT
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Il m'est arrivé de regretter d'avoir été antimilitariste. C'était à l'époque où il y avait encore un service militaire. De militaire, d'ailleurs, il ne restait que le nom, puisque les exercices proprement militaires (à part les exercices de tir deux fois dans l'année et monter la garde devant le portail endommagé du hangar où dormaient les "Alouettes III", à Corbas) s'étaient faits rares à l'époque, sans doute faute de budget suffisant, et que la hiérarchie se creusait la tête pour trouver un peu d'occupation à "la troupe". Il y a cependant quelque chose que je ne regrette nullement, c'est d'avoir participé un jour à une grande marche européenne non violente pour la démilitarisation (c'était à peu près comme ça que ça s'appelait).
J'étais sorti de mes douze mois moralement amoindri, mais j'étais enfin dans la "vie active". Le rendez-vous de départ était donné dans un parc de Metz, un jour de juillet ou d'août 1976, l'arrivée étant fixée environ une semaine après, quelque part autour de Verdun. Je me souviens d'avoir croisé ou rencontré bien des gens étonnants, parmi lesquels un flamboyant Italien du nom de Marco Panella, leader à l'époque du Partito Radicale ; un homme à la mine humble et grave qui s'appelait Théodore Monod, qui n'arrêtait pas, m'avait-il semblé, de torturer son couvre-chef, un genre de chapeau de marche assez mou ; un Cabu attentif qui ne cessait de griffonner ce qu'il voyait ; bref : du beau monde.
Théodore Monod et son chapeau.
Il est vrai que s'agissant d'antimilitarisme, on peut dire que Cabu représente à jamais la quintessence de la chose. Il n'aurait pas pu imaginer ne pas être présent sur les lieux mêmes de cette "manif" unique en son genre (celle de l'année suivante, "Haguenau-Landau", fut un innommable n'importe quoi). Monod était plus pacifiste qu'antimilitariste, si cette distinction dit quelque chose à quelqu'un.
J'ai à peu près tout oublié, en ce qui concerne les détails. Il me reste cependant de cet événement si éphémère, et après tout dérisoire, un souvenir qui a gardé la compacité du granit. Je veux parler de la lente montée par une route forestière vers la nécropole de Douaumont. Verdun, la grande bataille de 1916 (février à octobre), où l'Allemand Falkenhayn avait l'intention de "saigner l'armée française". A l'arrivée, selon les décomptes, 20.000 morts en moins pour l'Allemand, auquel Pétain a cependant dit fermement : « On ne passe pas !». Et qui a fait exactement ce qu'il fallait faire pour cela ("Voie sacrée" et toute l'action concrète de masse que ça impliquait). Mais à quel prix ?
Tant de gens marchant gravement, dans un silence absolu (on n'entendait que le bruit des chaussures sur le bitume, c'était une intense et unanime communion), en direction du symbole absolu de l'absurde don de soi exigé de tous ces hommes de France envoyés là, autrefois. C'était très beau. La chose avait un aspect grandiose : pas un mot, pas un slogan, pas un "message". Seulement la manifestation d'un chagrin définitif, d'un deuil irréparable, d'un respect total devant le "sacrifice". J'ai oublié la déception à l'arrivée, l'accès interdit à la nécropole, les gendarmes en rang et les "beaufs" coiffés de bérets rouges qui nous attendaient à l'entrée, rigolards et avinés. Oui, sincèrement, seuls me restent cette marche sereine, ce silence accompli, cette gravité résolue.
J'avais juste, en levant bien haut mon appareil, pris cette photo.
J'ai repensé à cette marche silencieuse un certain dimanche 11 janvier 2015. C'était pour Charlie Hebdo.
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mardi, 06 novembre 2018
1/8 VOUS AVEZ DIT "CENTENAIRE" ?
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On s'est acheminé tout doucement vers un drôle de centenaire, et puis voilà que, tout par un coup, nous y voilà. Il va de soi que j'honorerai le 11 novembre dignement, mais à ma manière. Je n'ai pas fait que collecter, sur internet et en grand nombre les photos de monuments aux morts. J'avais commencé bien avant, en allant de village en village, au hasard de pérégrinations solitaires ou familiales, m'arrêtant à chaque fois à proximité de l'édifice, qu'il fût le plus humble ou le plus grandiloquent. Il me semble que la photo inaugurale de ce très long compagnonnage fut prise à Creissels (Aveyron) en 1976, à moins que ce ne soit à Rivière-sur-Tarn (idem). Tout ça pour vous dire la permanence de la préoccupation.
En attendant le jour fatidique, anniversaire si l'on veut, où les officielles sonneries "Aux morts" retentiront partout en France et où toutes les cloches de toutes les églises de France sonneront à toute volée comme le 11 novembre 1918 à 11 heures, je voudrais dresser ici ma modeste haie d'honneur au plus gigantesque cortège funèbre auquel la France a jamais assisté dans toute son histoire, qui fut en même temps le premier suicide historique de l'Europe et la première extermination industrielle de masse de sa jeunesse masculine.
Voici donc quelques trop rares clichés cueillis année après année, auxquels j'ai mêlé deux réalisations remarquables. J'ai choisi, pour l'occasion, de montrer, non pas l'exaltation de l'héroïsme patriotique, mais des images du deuil et de la douleur. Un reflet infinitésimal d'un malheur qui reste définitivement unique en son genre.
PLEHEDEL (Côtes-du-Nord, entre Paimpol et Saint-Brieuc). On ignore, apparemment, le nom du sculpteur.
LODEVE (Hérault). Sculpture de Paul Dardé.
MONTFAUCON (Haute-Loire). Sculpture de Gaston Dintrat.
PLOUHINEC (Finistère). Sculpture de René Quillivic (voir Plozévet plus bas).
PONT-CROIX (Finistère). Sculpture de René Quillivic (idem).
TENCE (Haute-Loire). Sculpture de Chastenet de la Ferrière. Le monument n'est plus, comme ici, devant la mairie et en plein centre, mais relégué au fin fond du Chatiague (où avait lieu, dans les autres fois, le marché aux veaux, tous les mardis, avec le père Digonnet à la pesée).
PLOZEVET (Finistère). Sculpture de René Quillivic, habitant de la localité, qui avait pris un de ses voisins (Sébastien Le Gouil qui a perdu ses trois fils) pour modèle (confidence de l'homme faisant le bedeau ce jour-là). La pierre de 9 mètres de haut dressée à son côté, a été extraite du sol de la commune, qui a perdu 200 jeunes hommes dans la guerre (sur une population de 4699 hbts. en 1911).
CAMPAN (Hautes-Pyrénées). Sculpture d'Edmond Chrétien.
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mercredi, 17 octobre 2018
SOUS LE GRAIN DE FOLIE
Voilà, "Le Grain de Folie" a plié bagage. Il sera remplacé par un trio de "bistronomes". C'est plus "tendance" (il paraît qu'il faut dire "trend"). On regrettera à jamais Kamel et son "duo rognons-ris de veau" accompagné de son succulent gratin de pennes (bourré de crème).
Les nouveaux propriétaires ont bien sûr enlevé l'enseigne (celle qui se reflète vaguement dans la baie vitrée rétro-éclairée sur la photo ci-dessous, après remise à l'endroit), et révélé l'ancienne raison sociale. Assez pour deviner que, avant "Le Grain de Folie", ça s'appelait le "Bar à Thym". Fallait y penser, non ? Ce thym, il ne titrait pas 12°, par hasard ?
Ah, j'allais oublier : le futur établissement s'appellera le "Copper Roots". Hachement branchouille, non ? La classe, non ? Bon, c'est sûr, ça ne fait pas très "canut", mais il faut vivre avec son temps, non ? Après la petite boutique "Perles de Jouvence", après la petite boutique "Le Papier merveille", je me dis que la Croix-Rousse change de plus en plus vite.
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lundi, 24 septembre 2018
PETIT-DÉJEUNER
S'agissant de certaines traditions, je suis d'un conservatisme féroce.
Il ne manque plus qu'une couche de beurre salé (de l'île de Ré) nappé d'un excellent miel (en ce moment, il vient du massif de la Grande Chartreuse).
En fait, pour dire le vrai, je ne parie pas un sou sur le sort du monde tel qu'il se présente aujourd'hui, mais chaque moment qu'il me reste à vivre m'est infiniment précieux. C'est la raison d'être de mon petit-déjeuner.
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dimanche, 23 septembre 2018
ÉTAIN
MON ART CONTEMPORAIN
Faites couler de l'étain fondu dans une casserole d'eau portée à température.
Observez le résultat.
C'est cuit.
« Ithyphalliques et pioupiesques,
Leurs insultes l'ont dépravé ;
A la vesprée ils font des fresques
Ithyphalliques et pioupiesques ;
Ô flots abracadabrantesques,
Prenez mon cœur, qu'il soit sauvé !
Ithyphalliques et pioupiesques,
Leurs insultes l'ont dépravé. »
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mardi, 18 septembre 2018
LE FLÉAU DE LA PLAINE D'ALSACE ...
... ET LE BIENFAIT DE L'AGRICULTURE PRODUCTIVISTE.
Ça n'est pas fait pour nous nourrir, mais il paraît que c'est ça qui rapporte. Et tant pis pour les nappes phréatiques. Et tant mieux pour la chimie agricole.
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lundi, 17 septembre 2018
DU BON USAGE ...
... D'UN ANCIEN BUNKER.
Région de Strasbourg.
Au sous-sol (sous un bon mètre de béton), on ne sait pas si c'est une cave à vin ou un abri anti-atomique. Les deux ?
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dimanche, 16 septembre 2018
UN SOPHORA
Vu hier dans le cimetière au-dessus de Blaesheim (Bas-Rhin). On lui a fait la coupe au bol !
A comparer avec mon sophora des origines (photo prise au temps de sa splendeur).
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vendredi, 14 septembre 2018
UNE VEILLÉE ...
... A LA CHANDELLE.
Cela se passait sous la tente, cet été.
Dans l'ordre : Nina, Gabriel, Capucine, Gaston.
J'aurais tellement aimé être l'auteur de cette photo ! Mais pour dormir en slalomant entre les racines de pins et les cailloux, merci, j'ai amplement donné !
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jeudi, 30 août 2018
OISEAUX DE FEU
MON ART ABSTRAIT
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lundi, 27 août 2018
CINQUANTE NUANCES DE ROUILLE
MON ART ABSTRAIT
Ça travaille fort, sur la péniche ! Mais ça y est, tout ce qui est métal est terminé. On peut passer à l'habillage.
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dimanche, 26 août 2018
MARQUISE
MON ART ABSTRAIT
« Marquise, si mon visage
A quelques traits un peu vieux...... ».
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mercredi, 22 août 2018
INCANDESCENCE
MON ART ABSTRAIT
Je mets au défi quiconque de trouver où et comment obtenir cette image.
Cette image, dans laquelle il m'arrive de voir la tête d'un gorille qui ouvre largement la gueule (ça n'engage que moi), a pour moi le mérite de rendre visible quelque chose dont j'ignore absolument la signification, et qui n'en a peut-être aucune.
A l'image du monde actuel, que plus personne n'est en mesure de comprendre, et dont plus personne n'est en mesure de maîtriser la marche : le pilote a sauté en parachute. Le tableau de bord de l'appareil est notre moderne "Pierre de Rosette", et il n'y a plus de Champollion pour la déchiffrer.
Ou plutôt, il y a tellement de Champollion armés des dards acérés de leurs sciences dites "humaines", que le cerveau humain est noyé sous un Niagara de traductions diverses, hétéroclites et contradictoires, et que l'on n'entend plus que la cacophonie de leurs interprétations et de leurs prophéties, comme à l'époque d'une certaine Babel.
Voilà où nous en sommes : on y est, dans la tour de Babel, n'en déplaise à George Steiner (auteur d'un mémorable Après Babel, Albin Michel, 1978). Enfermés à l'intérieur. Et le concierge a jeté la clé à l'égout.
Et Dieu dit : « Démerdez-vous ! ».
A moins que ce ne soit : « Allez au diable ! ».
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mercredi, 15 août 2018
BANDE
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lundi, 13 août 2018
COUCHER DE SOLEIL
Photo obtenue en appuyant seulement sur le déclencheur.
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lundi, 06 août 2018
UNE SÉPULTURE
Quelque part dans le cimetière de Loyasse, Lyon V° arrt.
09:29 Publié dans LYON | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : photographie, lyon, cimetière de loyasse
mercredi, 01 août 2018
QU'EST-CE QUE LE TEMPS ?
Les effets du temps qui passe,
au cimetière de Loyasse
(Lyon 5).
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samedi, 28 juillet 2018
DÉTAIL
MON ART ABSTRAIT
09:00 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : photographie
mardi, 24 juillet 2018
DÉTAIL
09:00 | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : photographie
lundi, 23 juillet 2018
DÉTAILS
Allez, un indice.
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mardi, 17 juillet 2018
VARIATIONS SUR UN THÈME
MON ART ABSTRAIT : PÉRIODE DIVISIONNISTE.
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vendredi, 13 juillet 2018
UNE SORTE DE VITRAIL
Un matin d'été à la Croix-Rousse, avec le soleil en face.
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jeudi, 12 juillet 2018
PHOTOGRAPHIE
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dimanche, 08 juillet 2018
105 ANS
1986
Il aurait 105 ans aujourd'hui. Il s'appelait Jacques. Le chapeau, même gondolé (il a dû prendre la pluie), était précédemment celui de ...
... l'homme que nous appelions Bela (ne me demandez pas pourquoi). Lui, il serait dans sa cent trente-deuxième année.
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