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mercredi, 07 mars 2018

MON PRINTEMPS DE LA POÉSIE 4/7

LIVRE TRADUIT D'UN PUR DE LANGUE IV

 

Le comédien, en corps d’enfant,

meurt à la plume,

acculé à l’hilarité.

Le prédateur attend,

dans son lieu sûr,

le bout du compte.

 

En retenu, en succédé,

le devenu de l'infraction

comprend le legs

avec son dépôt nul.

 

C'est un oiseau d'hilarité

qui se tient devant le vide.

Sous l'aile, avec dédain,

l'aliment vraisemblable du secret.

 

On n'y va pas au précipice.

Avec du lourd dans l'idée,

le nom veut léguer son lieu sûr

au fond d'ici.

 

Avec la mémoire,

on fait un corps-type,

émergé du mort-né.

Couvert de vies en essayage,

le prédateur a fait concret,

des bruits de table.

C'est un banquet.

Il met fin à l'éternité.

On entrera dans les contours.

 

Le trou de tout,

c’est pas de l’appétit.

On fabrique en devenu,

ça fait de l’émergé,

la partie chaude en apparence.

L'enfant joue au devenu.

Mais il n'a pas la source.

 

Comptoir de vain,

des tas de vies.

Ca coagule, pris dans la masse.

On est en gel dans la fabrique.

Le lourd avec des ailes

a voulu dire

avant de consommer.

 

Dans le trou d'os,

l'occipital d'apparence,

banquet de vies à retourner

avant le quand d'éternité.

 

Dans le corps-type en écriture,

on a fourni le chaud.

C'est l'appétit de bruits.

On vient pour consommer

le courant dur,

l'hiver de la personne.

 

Avec jamais,

le retourné de l'essayage,

autour du trou.

Est-ce qu’on a vu le vent,

tiré l’escroc de soi,

escorté la limite ?

Le corps d’escorte ?

Qui sera le fils,

s’il nage en vrai

dans le trou d'os ?

 

Il erre entre les morts nés.

A court de vie,

il se désigne, il se nomme.

Mais il s'est trompé de foule.

Il a tenu dans son gel

le lourd avec les ailes.

 

Il est devenu, sans avoir,

le vent d'à-peu-près.

Voyage après le désert d'eau,

il nage en corps

dans le trou d'os,

la tanière occipitale

avec ivresse opératoire.

 

C’est le couvert de vie

qui reste en devenu.

Avec la soif dans le sourire.

Il imprévoit d’être plus loin.

Il court au fond d’ici.

Il s’amuse.

 

Travail en bord,

suspendu aux marges.

On attend d'être invité.

Silhouette en suie,

avec trous dans les contours.

Format de vie,

mais celle qu'on cache.

Travail en tige,

avec temps d'incubation.

Vrillé dans le courant dur.

 

La pierre à souche,

et la formule à faire,

ça fait beaucoup d’écriture.

C’est arrivé en bord,

le pur de langue,

le dur mort en délivré.

On a tenu à devenir.

 

Travail dedans la nuit,

dans la couleur du corps,

on est le visité de son vivant.

 

Dans le damier organique,

il déduit le trop-perçu.

Avec le caractère qui finit,

c'est le pourquoi du rien

qui se souligne au fond d'ici.

Dans l’après du parcours,

qui va compter ?

 

Travail en suie,

avec vie déclarée.

On perpétue la précédente.

Le prédateur voit bien,

la silhouette est vernie,

ça brille avec surface.

Dans le travail en proie,

la personne a fait forme.

Avec le corps complet,

le toit de tuile,

on se reçoit dans le trou d'os.

 

La joie d'ici est suspendue.

Le bras s'oriente,

l'effort déplace,

ça devient du visage,

tout un travail d'écorce.

Ce n'est plus vague,

ça veut dire.

 

Au fort des lignes,

on a du mal.

Il y a du construit,

avec des traces.

Le devenu fait son ailleurs.

Le soir convient.

As-tu cette ombre ?

 

On fait le choix des choses,

Avec idée entre les traces,

On n'est pas né à condition.

C'est tout de suite autrement,

le défi dans les apparences.

On entre avec muscle.

On comprendra.

 

Muni du semblant,

on se bascule en soi,

on met la forme,

avec travail.

 

La voûte est ronde.

Les couleurs sont confondues.

Avec la vie, la correctrice.

Imaginons la peur,

en corps coulé,

corps copulé,

ciseau des tectrices.

C'est un ciel.

 

Le dos du lent

retourne à son portique.

Il a du froid dans l’effort.

Il fait avec son moi,

monument d’imparité,

le nageur dans l'eau drôle.

La force est contenue

dans le trou d'os.

On ne savait pas qu'il faisait.

 

La courbe d’huile est en retard.

Au fond de la citerne en quoi,

si ce n'est pas le sec de l’énergie...

Je ne dis pas ce qui devient.

Je m'éclos. C’est mon aventure.

J'entends la forficule.

 

Tour du sommeil

en quarante-cinq lampes.

Le corps se vide.

A bout de traces,

le bord en boule.

Derrière le trop d'hiver,

on a des jours.

 

Il a mouru, le corps des traces.

Il a raison, l'effort sans masse.

Il a pris le dépôt en marche.

Il s'habitue, il se déplace.

Avec le vide en laisse,

dans son hiver avec la coque.

 

En vide, il est le souvenu.

Il est d'ici, le désert dur.

La cour du vrai

dépose en alphabet

le respiré de la frontière.

 

Entre deux vagues de lignes,

j'ai le ciel creux,

avec sa dune en place.

L'effort de corps

se voudrait vague.

 

Le mal déplie les habitudes,

on confond l'horizon avec plus tard.

On monte à bord des formes.

A travers, ça dérive.

 

Au bout du corps sans masse,

le désert d'eau,

le mort sans trace.

Au bord du construit,

on dérive, on répare.

Dans la pendule,

ça fait du cœur

au fond d'ici.

 

A bord des traces,

on se déplace avec effort.

L'hiver du vent,

au bout du temps d’ici,

résonne en suie

dans le courant de la personne.

 

Ai-je un noyé ?

C'est non, dit le regard en torse.

On est venu,

la dune en marche,

sans laisser le corps

dans son désert d'écorce.

 

Corps dans sa coque.

Il nage avec son jour,

dans son désert d'hiver.

Corps pris dans sa cosse.

Il faut monter à bord

pour marcher dans les traces.

Corps dans sa suie,

avec progrès, pour la musique.

Le dévolu, avec sa place,

inscrit son vide.

 

Il reste un son sans masse,

un doigt de plaisir sans voix.

Dans l'autre cas,

on creuse en vif

dans les contours.

Avec le vif, on fait du songe.

Il faut du fort.

 

La forme en douce,

un corps de fort,

projet défait,

dessin libéré de quoi ?

 

Je dors en frousse,

le cœur court après moi,

j'existe en douce.

 

A force d'ombre,

en vision crise,

je compte en clair,

à la chaux vive.

 

J'ai du final

dans les nageoires.

Trouver le trou dans l'origine,

ça ne délivre pas du grave.

 

Il y a du gel.

On ne sait pas ce qui se nomme.

Le caractère est trou,

à travers du pénible.

Un os de forme.

On se répare.

 

Il faut du beau.

Comme un loup de visage,

dans le choix des choses,

on se doit un ailleurs,

le temps a trouvé son ombre.

 

Autour de l'os de forme,

voir comment ça danse.

On voit, à fleur de son,

le capturé, le tu, le coi.

La flore occipitale

vient de source chaude.

 

Les poissons courts,

en trébuché de soi,

font de l'ivresse.

Ils jouent avec la conscience.

On est au confin.

 

S'il y avait du déplaisir,

on sait que ça bascule.

Autour de l'os de forme,

on s'entraîne à consentir.

 

On est le devenu, le divisé,

le possesseur de quoi,

le trébuché du tour à tour.

 

Dans la cour du vrai,

le soi du sexe, avec désir,

et le trouvé, avec son doute,

incite au corps.

 

De l'effondré aux habitudes,

il y a du construit.

Qu'est-ce qui se répare ?

 

Rendez-vous en fin de ruine.

Il faut du beau,

la ruine est un caractère.

 

On fait le choix des choses

avec un corps qui se devient.

On fait du repentir

avec le dos dur,

mais le visage apprenti.

 

Friture dans la cour du vrai.

Courir en moins,

dans le sec de nage,

la fleur occipitale.

 

On danse avec le tu,

le dit de moins,

ce qui rit en sombre.

Depuis la capture,

on a cueilli.

 

On a gardé le son des traces.

Dans la pensée, on a des chances.

A la surface, on voit le fond triché,

la couleur molle en conséquence.

 

Trait dur, cœur court,

la parodie défait, refait

le coup de l'ombre,

la ruine en cours.

 

Il fait le destiné,

le mort en contre,

un tour de forme avec du digne.

Mais il faut plus de libre.

 

En répété, en prolongé,

on a grossi la solitude.

Dans son respect,

travail tiré de soi,

ça consiste en deux lèvres,

la joie.

 

L'introuvé, dans sa cache,

depuis le corps du vif,

la sonde à cris,

attend sa forme.

 

L'arrêt du son,

friture en ligne,

à fond l'effet.

 

C'est toi le double

à court d'acquis.

Vis ton mortel

en fort de trace.

Ton résistant se porte

avec du trapu dans les pointes.

 

La frontière à bout d'acte,

la tour de vie touche au bord,

la boussole en pierre.

 

Avec la mort nocturne,

l'étrangère en bruit,

il reste un lien.

Je me respire en suie,

un ornement du nu

qui se retient au mur d'après.

 

Tu comprends pur

le choix des choses.

Avec odeur de vie.

 

Donne ton nom en entier,

avec urgent,

le blanc s'accroche.

Mû par son nom,

le mort en suspendu.

C’est son être qui rit dans l’encore.

 

En eau drôle,

à refrain de fabrique,

l'oiseau s'éparpille.

En alouette à voix,

l'envers du vent s'aiguise.

 

Il s'agit de serrer du soi-même.

Il s'agit de fatigue,

au bord du courant dur.

Je regarde occipital.

Le seul blotti qui prend son être,

c'est un peut-être avec du temps.

 

L'assourdi part en souffle,

il appartient au coi,

l'introuvé thoracique,

il sait le tu,

il attend dur.

 

Le droit d'y voir,

dans le désert de forme.

Dans l'effondré,

c'est la dérive.

Le réparé fait sa carcasse.

Il faut du beau,

peut-être du visage.

 

C'est dans le désert d'eau,

la flore occipitale.

Le temps maintient le ciel

en ordre vague.

Dans son hiver,

le fond des traces

n'a pas la force.

 

Trouble-moi,

dit son ombre.

A coups de forme,

on est monté.

Jusqu'en lumière,

on a joué.

 

Dans l'acquis du non-dit,

le muscle fait semblant.

Il faut que l'autrement du mort

progresse en sorte de matière.

L'indécis reste libre,

mais ce n'est pas un monopole.

A court de chair,

le digne se défait.

 

Il y a du construit.

Un courant dur traverse.

Le fort est basculé,

le songe a suivi son réel

à court de chair.

Dans le mécanique des contours,

on a trouvé de quoi.

 

Le pur de langue,

c'est le respiré.

Il a trouvé en dur

le quoi des choses.

Il voulait de l'insu,

du tu, de l'étranger.

Il restait des liens.

 

Le pur de langue,

c'est un muscle.

Avec le beau de l'ordre vague,

il faut du fort.

Il a le respiré.

Le dur de mort,

en terre entière,

avec des noms,

il a l'envers,

avec poème en peur.

 

Le pur de langue,

il a tout fabriqué.

 

Avec sa peur.

 

Entre deux fatigues,

sans se regarder.

Il a tout son temps, le thoracique.

Dans le seul du profond,

le dur de soi résonne.

 

Un cœur monnaie courante.

Dans l'hiver de la parole,

on se retient d'amour.

Le désert d'eau,

le cœur de libre,

la ficelle à bas prix.

 

Qu'est-ce qui répond ?

Le regard ? Le reflet ?

La voix blanche ?

On voit l'intime.

Mais dans l'écran,

l'actif de vie,

c'est le confort qui déborde.

 

Au promené,

le corps extrême a débranché.

Pourquoi l'intense ?

Le délivré.

Le cours de l'air

ne fait pas nul.

Pour un ouvert,

combien de fissurés ?

 

A moitié eau,

le paysage en tort.

A fleur de flaque,

le débranché.

Dans la fenêtre,

un sommeil fort.

Qui tu vois dans la foule ?

 

Avec redit de la parole,

j'ai fait l'intense.

On est rebelle.

Vêtu d'extrême,

le devoir onirique.

On fait du corps

comme on branche un sommeil.

 

Là où le pied d'espace,

au cœur de moi,

franchit le sec.

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