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mercredi, 20 février 2019

EMPREINTE 3

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Dans l'actualité.

L'agression dont Alain Finkielkraut a été l'objet samedi dernier donne une image enfin réaliste de ce qu'est, sous son masque pacifique et "modéré", "l'islam de France". Cette image fait froid dans le dos.

Les cris de haine de ce salafiste ont montré le vrai visage de ce soi-disant "islam de France" : derrière la bonhomie tranquille des braves pépères, inoffensifs retraités qui bavardent sur les bancs de la place de la Croix-Rousse, il faudrait que nos "responsables" politiques acceptent enfin d'apercevoir les silhouettes noires et barbues (et barbares) qui se démènent, infatigables et invisibles, et dont les femmes en robes de bure terne et en cagoule qui se répandent dans les rues ne sont que l'affiche de propagande.

Le salafiste parisien a beau se déguiser en gilet jaune (rien de plus facile en effet), il suffit d'un peu de lucidité pour se rendre compte que lui et ses comparses (combien de divisions ?) sont à l'offensive. Le but de l'offensive ? Guère de doutes là-dessus : le salafiste qui rugit sa haine de Finkielkraut l'a crié : « La France est à nous ! ». Les salafistes ont recyclé un slogan qui courait en mai 1968 au sein d'un groupuscule rétrospectivement ridicule (Was Wir Wollen), mais aussi prémonitoire : « Ce que nous voulons : TOUT ». Ce salafisme-là a des visées totalitaires.

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