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vendredi, 07 juillet 2017

PIERRE HENRY

J'ai appris, comme tout le monde, la mort de Pierre Henry.

Je ne suis plus, on le sait peut-être, le grand amateur des musiques savantes qui s'inventent aujourd'hui, mais je garde un reste de tendresse pour celles que créait Pierre Henry, ce compositeur qui avait fait de sa propre maison un laboratoire musical, voire une salle de concert, comme le montre le disque qui est sorti d'une de ses expériences publiques.

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Je garde sans doute, avant tout, ce reste de tendresse à cause de la répugnance qu'il a toujours manifestée à l'égard de l'invention satanique d'Arnold Schönberg, je veux parler de la musique sérielle, alias dodécaphonisme, qu'adoptera d'emblée et avec enthousiasme Pierre Boulez, le commissaire politique, l'ayatollah du sérialisme intégral.

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